2024

06 juin 2024 - Quels sont les impacts de nos pompes solaires au Sénégal ?


Quels sont les impacts de nos pompes solaires au Sénégal ?  

Notre responsable Ibrahima SECK nous en dit plus dans ce 1er épisode de notre "Série Impacts".

N'hésitez pas vous abonnez à notre chaîne pour suivre les prochains épisodes de cette série, riche en enseignements et en surprises, à la découverte des impacts extraordinaires de notre activité de soutien à l'agriculture paysanne sénégalaise.

Likez ce post, commentez et partagez : le Sénégal et le monde doit savoir ce que notre jeunesse est capable de réaliser ! 

Ensemble développons une véritable industrie verte #madeinsenegal !

Et faîtes passer le message : Dans l'Agriculture comme partout ailleurs : "La qualité n'est pas une option ! Elle doit être fournie par défaut ! "

Visitez notre site : www.woomalmbay.com

Ou appelez-nous aux 77 135 42 86 ou 78 010 66 20

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L'équipe SAV (Service-Après-Vente) Woomal Mbay de Nadji.Bi Sénégal a pour objectif d'assurer un service continu aux pompes solaires que nous avons installées.  

Effectivement, 3 jours sans eau peuvent être fatals pour un oignon en pleine croissance, et il est primordiale de permettre à nos clients producteurs une garantie durable de leurs accès à l'eau, grâce à nos solutions solaires.  

L'équipe SAV passe régulièrement chez les clients pour faire des inspections et des tests gratuits des équipements, ainsi que pour s'assurer que les utilisatrices et utilisateurs respectent les consignes d'utilisation, de nettoyage et de maintenance préventive.

En plus de ces passages réguliers, une série de services payants sont aussi proposés, comme le nettoyage de pompe ou le remplacement de pièces non couvert par la garantie (en cas d'effondrement du forage par exemple).  

La réalité du terrain et souvent plus complexe que ce que ingénieurs de conception produits ont pu envisager... et notre expertise locale est primordiale pour assurer un amortissement réel de ces équipements solaires productifs.

Durant ces visites SAV, notre équipe Suivi-Évaluation est aussi de la partie, et en profite pour récolter des informations précieuses, permettant d'évaluer les résultats et les impacts réels que nos pompes ont pu apporter.

Félicitations à Saly Aw et Mor Diakhoumpa du Service-Après-Vente et à Ibrahima Seck pour le Suivi-Évaluation, et évidemment à toutes les équipes Études, Production, Installation, Technique, Digital, Admin, Véhicules, etc... pour leurs abnégations à servir sans compromis toutes nos clientes et nos clients !

Et à contribuer à rendre le Sénégal plus fort, plus vert et plus durable !

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Parlons peu, parlons bien, parlons argent... et agriculture !

100 000 000 FCFA (€150 000) pour la 1ère année, c'est l'économie effectuée par les 100 hectares de culture maraîchère que nous avons étudiés.   

Soit une moyenne d'1 million de FCFA par an et par hectare (environ € 1 500), de dépenses de carburant en moins pour les producteurs de la région des #Niayes au #Sénégal qui ont la chance d'utiliser nos pompes solaires connectées Woomal Mbay.  

Pour les 10 000 hectares que nous équiperons d'ici 5 ans, l'économie pourrait se chiffrer à 10 milliards de FCFA par an (€15 millions) ou encore à 100 milliards pour 10 ans (soit €150 millions).

La conclusion de notre petite étude (que nous continuons chaque semestre à mener et qui sera partagée avec vous est la suivante : la mécanisation solaire est en marche dans la région des Niayes au Sénégal et rien ne l'arrêtera !

Lundi 22 avril dernier (2024), lors d'un atelier organisé par CECI et IPAR think tank, avec la présence de notre partenaire La Banque Agricole, les responsables études, installations et SAV de Nadji.Bi Sénégal ont eu l'occasion de partager leurs connaissances et leurs expériences à leurs parents producteurs maraîchers de Darou Khoudoss et alentours.

La conclusion sur les perspectives sont claires : "La mécanisation du pompage grâce à Woomal Mbay va provoquer l’expansion des exploitations équipées par le solaire et la disparition des exploitations qui sont restées au gasoil ou avec d’autres sources de pompage plus chères ou de mauvaise qualité".

Autrement dit, le pompage solaire va provoquer une expansion des surfaces agricoles cultivées et une consolidation des surfaces agricoles qui ont fait la transition vers le solaire à temps et avec la qualité requise.

Les lois du marché étant ce qu'elles sont, nous ne pouvons que nous réjouir de voir des solutions propres et économiques remplacer de manière naturelle des solutions archaïques et carbonées.

Au cœur de cette « destruction créatrice » portée par l'innovation, si chère à l'économiste Schumpeter, l'enjeu est donc de renforcer les offres financières et techniques adaptées (et de qualité) permettant de tirer parti de ce phénomène naturel. Et d'éviter la prolifération de solutions bas de gammes par défaut (à l'obsolescence programmée et aux conséquences économiques et sociales certaines, et encore mal étudiées).

Notre enjeu en tant qu'industriel du secteur étant de localiser un maximum de valeur-ajoutée, afin de garantir la souveraineté technologique et industrielle du Sénégal et de la sous-région.

Avis donc aux membres de l'écosystème agricole Sénégalais, et aux partenaires financiers qui souhaitent nous rejoindre dans cette magnifique aventure : ensemble impactons durablement l'agriculture paysanne sénégalaise et ouest-africaine !

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L’eau est plus précieuse que l’or , et le solaire c'est la vie !

Nos pompes solaires Woomal Mbay transforment notre Sahel en Oasis  

Nos pompes couplées à des systèmes de goutte à goutte de précisions, permettent de maîtriser nos ressources en eau tout en développant notre agriculture et en contribuant à notre souveraineté alimentaire  

Petit à petit construisons ensemble un Sénégal et une Afrique de l'Ouest plus verts et plus indépendants  

Suivez-nous pour en connaître plus sur nous et sur notre environnement  

Woomal Mbay : Votre solution de pompage solaire immergé clé en main : Pompes Solaires au Sénégal  

Un produit proposé par La Banque Agricole, distribué par Nadji.Bi Sénégal, avec le soutien de USAID - US Agency for International Development et du West Africa Trade & Investment Hub.  

Appelez pour une étude pompe solaire offerte (sous conditions d'éligibilités) : +221 77 135 42 86 et +221 78 010 66 20

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  62,8% des parcelles maraîchères des #Niayes au #Sénégal utilisent des Motopompes gasoil.  

C’est ce que nos équipes études ont découvert en étudiant 545 parcelles maraichères des Niayes en 2023.

Représentant environ 1 700 hectares, elles ne sont qu'un échantillon de l’ensemble des surfaces irriguées de la zone.

Il ne s'agit en effet ici que des parcelles appartenant aux producteurs ayant appelé le département Études de Nadji.Bi Sénégal afin de bénéficier d’une étude gratuite Woomal Mbay.

21,2% de ces parcelles étaient équipées de panneaux solaires, et 11,2% étaient raccordées à la Senelec.

Le point commun de l’ensemble des ces surfaces, est que leurs propriétaires n’étaient pas satisfaits de leur équipements, et qu'ils souhaitaient avoir recours à nos services pour améliorer leurs installations et leurs rentabilités.

Ainsi sur une échelle de 0 à 10 pour déterminer leurs satisfactions vis-à-vis de leur système de pompage, les exploitants de motopompes gasoil ont accordé une note moyenne de 4,47 /10, les utilisateurs de pompes solaires ont accordé la note moyenne de 4,54 /10 et les utilisateurs raccordés au réseau Senelec ont quant à eux accordé une note moyenne de 3,90 /10.

Aux vues des installations parfois étonnantes, souvent décevantes et quelques fois vraiment dangereuses, cela n'a malheureusement pas été une surprise pour nos équipes.

À titre de comparaison, la dernière note moyenne de satisfaction de nos clients Woomal Mbay concernant la qualité de nos installations était de 9,31 /10.

La voie vers le développement de l’agriculture sénégalaise passera indéniablement vers le renforcement d’initiative comme la nôtre, permettant de sortir des trappes à pauvreté que constituent les pompes à gasoil, les installations solaires déficientes et ne respectant aucune norme de qualité, ainsi que les prix élevés de l'électricité de la Senelec (quand celle-ci est disponible).

L'électricité n’est pas seulement le sang de l’économie (pour paraphraser #AkinwumiAdesina de la African Development Bank Group) : c’est aussi l’eau qui irrigue nos champs et nous nourrit tous les jours.

​Nous avons le choix de continuer à nous nourrir de légumes pleins de pétrole ou de profiter de la générosité du soleil et de son énergie illimitée.

Pour cela notre initiative #woomalmbay liant maîtrise technique locale, digitalisation, formation professionnelle de qualité (à travers notre initiative QualiSolaire Sénégal), et finance verte locale grâce à La Banque Agricole, est plus que jamais une voie à suivre et à encourager pour atteindre la souveraineté alimentaire, ainsi qu'un développement véritablement durable de notre agriculture !

N'hésitez pas à jeter un coup d'œil au site internet de notre initiative :
www.woomalmbay.com  

Et à nous contacter en cas de besoin d'informations

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Pourquoi assurer la sécurité des personnes dans son entreprise ?

La question de la sécurité des personnes est malheureusement encore loin d’être une préoccupation au Sénégal et dans nos pays d’Afrique de l’Ouest.

À voir l’état pitoyable du parc automobile, nous ne pouvons qu’observer le peu de préoccupation qu’ont nos compatriotes à la sécurité d’autrui et même à leur propre sécurité.

De manière regrettable, on retrouve ce manque de culture de la sécurité dans nos entreprises et dans les chantiers en cours à travers la sous-région.

Qu’il s’agisse de petites entreprises individuelles ou de multinationales, très rares sont les entreprises qui appliquent les règles les plus élémentaires en matière de sécurité et de protection individuel.   

Il ne se passe pas une semaine, sans qu’on relève un mort sur un chantier ici au Sénégal : un manœuvre qui tombe du 3ème étage, un ouvrier qui se fait écraser par un engin, des doigts coupés, des ouvriers d'un chantier d'autoroute qui réclament des gants… les exemples sont pléthore !  

On peut déplorer que le « grand méchant État » ne montre pas l’exemple, en ne faisant respecter qu’extrêmement difficilement les règlements permettant d’assurer la sécurité des personnes sur les chantiers et dans les entreprises… mais comme on dit : la charité bien ordonnée commence par soi-même.

Dans le domaine de la sécurité, comme partout d'ailleurs, la formation est primordiale. Nul ne peut appliquer un concept qu’il ignore. Nul ne peut respecter des consignes de sécurité dont il n’a jamais entendu parler.

La formation est la clé, et c’est pour cela que nous avons lancé notre formation-incubation QualiSolaire Sénégal qui a déjà permis à plusieurs centaines d’entrepreneuses et d’entrepreneurs de bénéficier du retour d’expérience et d’expertise de nos intervenants professionnels.

Au sein de Nadji.Bi Sénégal, nous nous efforçons d’équiper nos équipes, de mettre en place des procédures de sécurité, ainsi que des supports et des formations, pour qu'ils puissent évoluer en toute sécurité.

Nous oublions souvent de le dire, mais la diffusion d’EPI (Équipements de Protection Individuelle) est un investissement rentable pour nos entreprises. 

​ Dans nos pays où les frais d’hôpitaux sont totalement prohibitifs et où la main d’œuvre expérimentée ne cours pas les rues. Avoir du personnel qui évolue en sécurité, et dans un environnement sain, contribuera pleinement à l’atteinte de vos objectifs opérationnels et financiers.

Passez le message, il n'est jamais trop tard pour s'y mettre  

Pour en savoir plus sur nos initiatives, visitez nos sites internet :
- Pompes solaires : www.woomalmbay.com
- Centres de services et de moulins solaires Walalma : www.walalma.com
- Formation-Incubation à l'Entrepreneuriat Solaire QualiSolaire Sénégal : www.qualisolaire-senegal.com 

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26 mars 2024 - Comment déploie-on des solutions à impacts au bénéfice des filles et des femmes de Ndiaganiao au Sénégal ? (Épisode 1)


​ Comment déploie-on des solutions à impacts au bénéfice des filles et des femmes de Ndiaganiao au Sénégal ? (Épisode 1)

​ Dans le village de Soussoum (commune de #Ndiaganiao au #Sénégal), réparties dans plusieurs quartiers, près d'un millier de filles et de femmes ​ s'activent du matin au soir pour gérer les tâches quotidiennes : puisage de l'eau, ramassage des bouses de vaches utilisées comme combustibles, gestion des enfants, nettoyage, lessives, préparation de la cuisine, gestion des petits animaux, etc... ​  

Auxquelles s'ajoutent les corvées du mil...

Le mil, cette céréale sans gluten est pourtant riche, pleine de fibres, de protéines et d'antioxydants, à faible indice glycémique et riche en glucides non digestibles. ​  

​ ​Malgré tout cela, pour pouvoir bénéficier des bienfaits de cette céréale millénaire et vivrière, les tâches sont nombreuses et chronophages.  

Décorticage, 1er mélange humidifié et 1er séchage, pillage au mortier ou en ville chez un meunier, préparation du couscous et cuisson...

Les étapes sont innombrables, avant de pouvoir déguster un bon thiéré (couscous de mil) ou un bon thiakry (dessert au lait caillé et au mil). ​  

Le mil s'il est consommé trois fois par jour dans ces foyers de culture sérère du département de Mbour au Sénégal, demande une grande quantité d'efforts pour pouvoir satisfaire sa fonction nourricière première. ​​  

Le mil ne tue pas, mais il fatigue et rend malade, les filles et les femmes qui s'en occupent. ​  

Sans électricité, sans mécanisation, et en plus de l'ensemble des tâches quotidiennes à effectuer, la vie devient vite un calvaire pour les filles et les femmes affectées à ces tâches pénibles et répétitives. ​  

​ C’est pour répondre à ce problème et à cette demande sociale, que Nadji.Bi Sénégal a sillonné les quartiers de Soussoum dans la commune de Ndiaganiao, pour mieux comprendre le contexte que vivent ces filles et ces femmes du monde rural.

​ En perspective, une solution solaire et durable, #madeinsenegal

Restez connecté pour la suite de cette magnifique histoire Walalma

Walalma : un projet Nadji.Bi Sénégal, dont le "centre solaire connecté au service des femmes du monde rural - Walalma 2" de Soussoum a été cofinancé par #agencedesmicroprojets de La Guilde et l’Association Argonne-Manengouba

www.walalma.com 

#pompe #solaire #pompesolaire #sénégal #senegal #Afrique #africa #agriculture #development #Banques #investissement #finance #verte

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Quelle est la capitale de l'énergie électrique au Sénégal ?

Taïba Ndiaye évidemment  

La commune de Taïba Ndiaye fait partie de l'arrondissement de Méouane, du département de Tivaouane et de la région de Thiès au #Sénégal.

La population qui compte près de 26 500 personnes habitant dans 35 villages, abrite une capacité nominale installée combinée de 276,5 MW, soit plus de 10 kW par habitant (contre 0,12 kW pour la moyenne nationale sénégalaise, 2 kW pour la France et 4 kW aux USA).

Cela représente en effet 12% des 2 301 MW de capacité nominale installée au Sénégal à date, grâce à ses 2 centrales électriques :

Lancé en 2016 et détenue depuis 2019 par Azura Thermal Power Station, la centrale au fioul lourd (HFO) de Tobene Power SA a une capacité de 115 MW et a été pensée pour être convertie dans les années, voir les mois à venir.

Tandis que le parc éolien de Lekela Power mis en service en 2020 avec une puissance totale installée de 158,7 MW, a été racheté en mars 2023 par la coentreprise Infinity Power du groupe égyptien Infinity et de l'émirati Masdar.

Situé dans la région naturelle des Niayes, et limitrophe de la capitale des Niayes Mboro, Taïba Ndiaye est également une zone de production maraîchère de 1er plan: Grâce aux pompes solaires connectées Woomal Mbay de Nadji.Bi Group

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Woomal Mbay : Votre solution de pompage solaire immergé clé en main : Pompes Solaires au Sénégal

Un produit proposé par La Banque Agricole, distribué par Nadji.Bi Group, avec le soutien de USAID - US Agency for International Development et du West Africa Trade & Investment Hub.

Appelez pour une étude pompe solaire offerte (sous conditions d'éligibilités) : +221 77 135 42 86 et +221 78 010 66 20

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Célébrons la journée internationale des droits des femmes !

C’est pour cela que nous essayons tous les jours de nous améliorer.

Savoir et l'expérience n'ont pas de prix, ils sont la clé de la réussite et de la liberté.

Célébrons la journée internationale des droits des femmes !

L'environnement, le développement, l'innovation et la condition féminine sont nos moteurs et notre ADN

Merci aux combattantes de Nadji.Bi Sénégal and QualiSolaire Sénégal, qui au même titre que nos combattants, portent nos actions, nos résultats et nos impacts !

#journéeinternationaledesdroitsdesfemmes #égalitéfemmehomme

Let's celebrate International Women's Rights Day!

For women, life is a struggle.

Knowledge and experience are priceless, they are key to success and freedom.

Let's celebrate International Women's Rights Day!

Environment, development, innovation and women's empowerment are our driving forces and our DNA

Thank you to the fighting women of Nadji.Bi Sénégal and QualiSolaire Sénégal, who, like our fighters, are the driving force behind our actions, our results and our impacts!

#InternationalWomensDay #equality

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Nous ne sommes pas les Numéro 1, nous ne sommes pas les 1ers et nous ne sommes certainement pas les meilleurs.  

C’est pour cela que nous essayons tous les jours de nous améliorer.  

Le propre d’une entreprise innovante comme la nôtre est de savoir qu’elle ne doit jamais cesser d’innover, là réside notre meilleure garantie de continuer à satisfaire nos clients.

Dans notre mission d’apporter une technologie propre, efficace, maîtrisée localement et à fort impacts, nous avons dû apprendre énormément de métiers, que nous avons incorporé dans notre quotidien et dans notre entreprise.

Nos pompes solaires Woomal Mbay, sont un petit condensé de notre savoir-faire en matière d’innovations, et nous espérons qu’il s’agisse là que d’un début.  

Ces pompes solaires triphasées sont connectées et communiquent en temps réel avec notre plateforme située dans le Cloud, cela permet notamment : 

- à nos clients de contrôler et de commander leurs pompes solaires en temps réel, peu importe où ils se trouvent ;  

- à notre service après-vente (SAV) de pouvoir surveiller en temps réel notre parc installé et d’intervenir de manières préventives en cas de besoins ;  

- à notre Suivi et Évaluation de pouvoir collecter en temps réel de précieuses données sur les performances de notre parc de pompes solaires connectées (ensoleillement moyen, production électrique, débits et quantités d’eau pompés, émissions de CO2 substitués, etc…) ;

Ces performances en matière d’innovations sont le fruit d’un travail que nous avons commencé fort longtemps avec peu de moyens, et qui nous a permis de convaincre quelques-uns de nos partenaires financiers, et nombreux de nos clients.  

Ces technologies 100% Nadji.Bi Group, développées entièrement et de A à Z au Sénégal, n’ont rien à envier à ce qui se fait ailleurs et équipent depuis quelques années des centaines d'équipements solaires que nous avons fabriqués et déployés à travers notre pays et au-delà, et qui communiquent avec nous tous les jours.  

Nous sommes convaincus, que seule la science, le savoir, le travail, la méthode et enfin l’humilité peuvent nous aider à continuer à innover, et à impacter nos clients et notre environnement comme nous le faisons depuis notre 1er jour.

Suivez-nous pour connaître nos prochains épisodes  

Woomal Mbay : Votre solution de pompage solaire immergé clé en main : Pompes Solaires au Sénégal

Un produit proposé par La Banque Agricole Agricole, distribué par Nadji.Bi Sénégal, avec le soutien de USAID - US Agency for International Development et du West Africa Trade & Investment Hub.

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#pompe #solaire #pompesolaire #sénégal #senegal #afrique #africa #agriculture #développement #banque #investissement #finance #verte


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En terme de solaire et de pompage solaire, le Service-Après-Vente (SAV) n'est pas nécessaire : il est obligatoire !

Une installation solaire travaille tous les jours.  

Alors qu’il paraît logique de faire des vidanges régulières pour les véhicules qui roulent souvent, les utilisateurs d’installations solaires négligent souvent le nettoyage, l’entretien et la maintenance de leurs installations. 

Concernant le pompage solaire, la majorité des exploitations agricoles sénégalaises bénéficiant de nos pompes solaires connectées Woomal Mbay utilisent des puits ou des forages artisanaux.

Ceux-ci ont la particularité de mettre les pompes solaires à dures épreuves, et le type de sol dans lequel l'eau est pompée peut souvent poser de véritables challenges pour les équipements (même les meilleurs). 

Lors d’acquisition d’équipements solaires, il est impératif d’exiger une formation à l’entretien et au nettoyage, sans oublier de demander les équipements adéquats. Chez Woomal Mbay, nous fournissons les équipements d’entretien et de nettoyage à tous nos clients (seau, balai, chiffons doux, etc…).

Il faut également vous assurer auprès de votre fournisseur qu’il viendra faire des maintenances régulières et qu’il est capable de procéder au nettoyage votre pompe.

Au même titre que le nettoyage des panneaux solaires, le nettoyage des pompes permet dans certains cas d’augmenter sensiblement leurs rendements et de rallonger leur durée d’utilisation.  

Bonne campagne agricole et bon SAV à toutes et à tous !

Woomal Mbay : Votre solution de pompage solaire immergé clé en main : Pompes Solaires au Sénégal 

Un produit proposé par La Banque Agricole, distribué par Nadji.Bi Group, avec le soutien de USAID - US Agency for International Development et du West Africa Trade & Investment Hub.

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BAR-LÈS-BUZANCY Aider les femmes de l’ouest du Sénégal, c’est le gros projet de l’année pour l’association Argonne Manengouba. Elle va créer un centre de services.

Les femmes de la région de Soussoung n’auront plus besoin de marcher 15 km par jour.

L’association Argonne Manengouba est sur tous les fronts. Après avoir aidé les refugiés ukrainiens, les victimes du tremblement de terre en Turquie et au Maroc l’an dernier, elle s’attaque à un gros morceau pour cette année 2024 : l’amélioration de la condition féminine au Sénégal.

Alors de quoi s’agit-il exactement ? « En janvier 2023, nous étions au Sénégal et nous avons constaté que les femmes devaient marcher 15 km par jour, pour aller faire moudre le mil, qui est l’alimentation de base là-bas (l’équivalent de notre blé). Cela leur prend une demi-journée, pendant ce temps-là, ces femmes ne peuvent pas faire autre chose, comme s’occuper de l’éducation des enfants, par exemple », explique Francis Potron, Président d’Argonne Manengouba.

« Ce dispositif va soulager les femmes, actuellement contraintes de moudre le grain manuellement ou de faire 15 km à pied pour aller chez un meunier »
Francis Potron, Président d’Argonne Manengouba

Les bénévoles de Bar-lès-Buzancy ont même pu voir dans une ville de l’ouest du Sénégal, qu’une association avait construit un bâtiment où il est possible de moudre le mil. Ils ont alors décidé de faire pareil, dans la région de Soussoung.

« Nous avons récupéré un local, nous allons le réhabiliter et faire un moulin solaire. »

Ce projet consiste à financer les équipements d’un centre de services situé dans une zone sans électricité dans le village de Soussoung, commune de Ndiaganiao.

« Ce centre de services devra servir et aider les membres de trois groupements féminins du village, soit une centaine de femmes ».

UN PROJET À 22 000 EUROS

Dans ce bâtiment, il sera possible de décortiquer et de moudre les graines de mil, mais il y aura aussi la possibilité de recharger le téléphone et de vendre des pains de glace pour les congélateurs. « Ce dispositif va soulager les femmes, car actuellement elles sont contraintes de moudre le grain manuellement avec un pilon ou bien, elles vont dans un village voisin qui se situe à 15 km aller-retour pour accomplir cette tâche chez un meunier, et cela trois fois par semaine. »

L’association a planché sur un projet dont le coût total est de 22 000 euros et recherche actuellement des fonds pour compléter son financement. « Nous avons déjà été retenus par une fondation, la Guilde, qui nous a octroyé 10 000 euros, l’association a mis 6 000 euros, il faut maintenant compléter avec des dons. » L’association est très vigilante sur l’utilisation des dons.

« Nous avons toujours des contacts sur place. En ce moment par exemple, notre contact gère la maçonnerie du bâtiment en réfection, nous savons exactement où ils en sont. Et fin février, avec trois autres bénévoles de l’association, nous nous rendrons au Sénégal. »

Ce voyage servira aussi à mettre en place l’organisation du chantier. « J’ai demandé aussi qu’on passe un reportage sur le mil aux membres de l’association, pour bien se rendre compte des effets de notre action. »

Francis Potron estime à 4 000 le nombre de femmes à terme qui seront soulagées par la construction de ce centre de services. « Les membres de l’association ont tout de suite été partants pour cette action, nous avons récolté par exemple 650 euros la semaine dernière. » Cet argent sert à payer les entreprises qui interviennent sur le chantier.

Une fois l’étape de construction du centre de services passée, des formations seront proposées aux participantes et deux femmes seront embauchées afin de gérer l’activité, qui devra être disponible sept jours sur sept pour répondre aux besoins de la zone.

VIRGINIE KIEFER
L'UNION

https://www.lunion.fr/id561783/article/2024-01-25/les-benevoles-dargonne-manengouba-vont-aider-les-femmes-du-senegal 

2023


Comment avoir un taux de satisfaction client de 100% ?

En terme de solaire productif : la qualité ne doit jamais être une option !

Du choix des composants, au contrôle Qualité avant production ; de la production à l'assemblage ; en passant par l'installation et par la surveillance des équipements à distance et en temps réel, jusqu'à notre SAV (Service-Après-Vente) et notre service Suivi-Évaluation :

La Satisfaction client est une obsession chez Nadji.Bi Sénégal

Seule la Qualité permets d'atteindre la pleine satisfaction de nos clients

Demandez toujours les certificats constructeurs à vos fournisseurs et si vous avez un doute, contactez l' Association Sénégalaise de Normalisation ASN

Découvrez notre dernière vidéo concernant Woomal Mbay, nos pompes solaires connectées !

Woomal Mbay Série Qualité : Qualité Solaire Certifiée / Pompes Solaires - Wolof sous-titres en français

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How to have a 100% customer satisfaction rate?

In terms of productive solar: quality should never be an option!

From the choice of components, to the quality control before production; from production to assembly; from the installation and monitoring of equipment remotely and in real time, to our after-sales service and our Monitoring and Evaluation service:

Customer satisfaction is an obsession at Nadji.Bi Group

Only through Quality can we achieve the full satisfaction of our customers

Always ask your suppliers for manufacturer's certificates and if you have any doubts, contact the Association Sénégalaise de Normalisation ASN

Check out our latest video about Woomal Mbay, our connected solar pumps!

Woomal Mbay Quality Series: Certified Solar Quality / Solar Pumps - Wolof

Woomal Mbay: Your turnkey submersible solar pumping solution: Solar Pumps in Senegal

A product proposed by La Banque Agricole, distributed by Nadji.Bi Group, with the support of USAID West Africa and the West Africa Trade & Investment Hub.

Call for a free solar pump study (subject to eligibility): +221 77 135 42 86

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  https://web.facebook.com/NadjiBiGroup/videos/333272716322376?locale=fr_FR


Une fois n'est pas coutume, découvrez l'article de notre fondateur Julien Potron, sur l'importance de la finance verte pour le développement de l'agriculture durable au Sénégal :

https://www.linkedin.com/.../julienpotron_agtech-eau.../

  https://web.facebook.com/photo/?fbid=757550529726249&set=a.456973749783930&locale=fr_FR


Woomal Mbay : Sénégal : Le Saviez-Vous ? : 11x

Activité : Woomal Mbay : pompes solaires : www.woomalmbay.com

11x : c'est la multiplication de la production de pomme de terre au Sénégal en 30 ans de 1990 à 2020. (Sources : Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO))

Selon Feed the Future Sénégal, en 2018 un sénégalais consommait en moyenne 18,4 Kg de pomme de terre par an, soit une moyenne de 24,4 Kg pour les dakarois et 14,5 Kg pour les autres régions du Sénégal.

La pomme de terre locale est plus consommée que la pomme de terre importée et gagne chaque année un peu plus de parts de marché.

Les ménages sénégalais dépensaient en 2017 en moyenne environ 50 000 FCFA par an pour leurs achats de pomme de terre (soit environ EUR 75 ou encore USD 80).

Si l'ANSD a en octobre 2023 recensé 1 991 012 de ménages au Sénégal, le marché de la pomme de terre pourrait donc avoisiner les 100 milliards de FCFA (soit environ EUR 152 millions ou encore USD 165 millions).

Woomal Mbay : un projet de La Banque Agricole et de Nadji.Bi Sénégal avec le soutien de USAID - US Agency for International Development et de West Africa Trade & Investment Hub

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#energiesolaire #pompesolaire #pompes #senegal #productive #pumps #solaire #agriculture #innovation @followers

Source : https://www.ansd.sn, https://www.papa.gouv.sn/.../Fiche-dinformation-N%C2%B08..., https://www.fao.org/faostat

Son : https://www.youtube.com/@DelfaBeatz

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Woomal Mbay Testimonial series: The pump pressure

Woomal Mbay: your turnkey solar submersible pumping solutionSolar pumps in Senegal

A solution developed by La Banque Agricole and Nadji.Bi Group, with the support of USAID - US Agency for International Development and West Africa Trade & Investment Hub.

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#solar #africa #senegal #solarpump #pump #energy #agriculture #productive #water #investment


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13 septembre 2023, 13h14, Zone de Thieppe, Sénégal

Activité : Woomal Mbay : pompes solaires : www.woomalmbay.com (𝘌𝘯𝘨𝘭𝘪𝘴𝘩 𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘣𝘦𝘭𝘰𝘸)

Chers clients, chers partenaires, 

M. BEYE a fait installer une pompe Woomal Mbay de 3ha20m par l'équipe Nadji.Bi Sénégal sur sa parcelle de 5,35 hectares à Saré Dao depuis le 31 janvier 2023. L'équipe Woomal Mbay SAV (Service-après-vente) est passée chez lui, pour sa visite annuelle et pour évaluer les impacts de cette pompe solaire sur son exploitation agricole.

Depuis son installation, il y a 8 mois, M. BEYE a déjà récolté 10 tonnes d'oignons , 2 tonnes de piments , 1 tonne de pomme de terre et 1 tonne de choux pour une valeur à la vente de presque 6,000,000 FCFA (env. USD 16,000 ou EUR 9,150).

Grâce à sa pompe Woomal Mbay, M. BEYE a déjà fait pas moins de 1,200,000 FCFA d'économies en 8 mois (env. USD 3,200 ou EUR 1,830).

Et grâce à la substitution de son ancienne motopompe à gasoil par une pompe solaire connectée , environ 700 kgs de CO2 n'ont pas été émis dans l'atmosphère à date. 

Productions effectives : choux , oignons , piments , pommes de terre ;

Emplois directs : 4 personnes dont 4 jeunes ;  

Emplois saisonniers : 8 personnes dont 6 jeunes et 6 femmes ;

Impacts :  

- Réduction des émissions de CO2 et des gaz à effets de serres

- Baisse des charges d'exploitations

Woomal Mbay : un projet de La Banque Agricole et de Nadji.Bi Sénégal avec le soutien de USAID - US Agency for International Development de West Africa Trade & Investment Hub

www.woomalmbay.com

--------- English below ---------

September 13th 2023, 13h14, Thieppe area, Sénégal

Activity: Woomal Mbay: solar water pumps: www.woomalmbay.com

M. BEYE had a 3ha20m Woomal Mbay pump installed by the Nadji.Bi Sénégal team on his 5.35-hectare plot in Saré Dao on January 31, 2023. The Woomal Mbay SAV (After-Sales) team visited him for its annual visit and to assess the impacts of this solar pump on his farm.

Since its installation 8 months ago, Mr BEYE has already harvested 10 tonnes of onions , 2 tonnes of chillies , 1 tonne of potatoes and 1 tonne of cabbage for a sale value of almost 6,000,000 FCFA (approx. USD 16,000 or EUR 9,150). 

Thanks to his Woomal Mbay pump, Mr. BEYE has already made no less than 1,200,000 FCFA in savings in 8 months (approx. USD 3,200 or EUR 1,830).

And thanks to the replacement of his old diesel motor pump by a connected solar pump around 700 kgs of CO2 have not been emitted into the atmosphere to date.

Actual production: cabbages , onions , hot peppers , potatoes

Direct jobs: 4 people including 4 youths, 

Seasonal jobs: 8 people including 6 youths and 6 women, 

Impacts: 

- Reduction of CO2 emissions and greenhouse gases

- Decrease of operating expenses

Woomal Mbay: a La Banque Agricole & Nadji.Bi Sénégal project, with the support of USAID - US Agency for International Development and West Africa Trade & Investment Hub

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#solaire #pompe #senegal #solarpump #senegal #productive #pumps


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Woomal Mbay Serie 01 Episode 02 : A free study

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2 août 2023, 11h30, Loumatyr, Ndiaganiao, Sénégal

Activité : Walalma : moulin solaire : www.walalma.com (𝘌𝘯𝘨𝘭𝘪𝘴𝘩 𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘣𝘦𝘭𝘰𝘸)

Il est conseillé de pratiquer le sarclo-binage 8 jours, 15 jours et 60 jours après la levée du mil.

En Afrique de l'Ouest, la culture du mil a lieu durant la saison des pluies (l'hivernage). Cette période coïncide avec la période des vacances scolaires et il n'est pas rare que les étudiants et les jeunes du village viennent prêter mains fortes pour ces activités.

Le sarclo-binage est effectué soit à l’aide d’une houe tractée par un cheval, soit manuellement à l’aide d’une iler (un outil agricole polyvalent constitué d'une lame arrondie à l'avant, avec deux ailes latérales, et d’un long manche en bois).

Cette opération de sarclo-binage a donc 2 effets : permettre de désherber et de contrôler les herbes indésirables par le sarclage et permettre de casser la croûte du sol et de faire remonter l’eau par capillarité grâce au binage.

Comme le dit l’adage : « qui bine arrose » ; le binage est donc absolument indispensable dans notre région sahélienne ou l’eau est très précieuse même en saison des pluies.

Walalma : Centres solaires au service des femmes du monde rural : un projet Nadji.Bi Sénégal.

www.walalma.com

--------- English below ---------

August 2nd 2023, 11h30, Loumatyr, Ndiaganiao, Sénégal

Activity: Walalma: solar mill: www.walalma.com

It is advisable to practice weeding and hoeing operation 8 days, 15 days and 60 days after the emergence of millet.

In West Africa, the cultivation of millet takes place during the rainy season (wintering). This period coincides with the school holidays and it is not uncommon for students and young people from the village to come and lend a helping hand for these activities.

The weeding and hoeing operation is carried out either using a hoe towed by a horse, or manually using an iler (a versatile agricultural tool consisting of a rounded blade at the front, with two side wings, and a long wooden handle).  

This weeding and hoeing operation therefore has 2 effects: to make it possible to weed and control unwanted herbs by weeding and to make it possible to break the crust of the soil and to raise the water by capillarity thanks to hoeing.

As the saying goes: "who hoing waters"; hoeing is therefore absolutely essential in our Sahel region where water is very precious even in the rainy season.

Walalma: Solar services centers impacting rural women: a Nadji.Bi Sénégal.

www.walalma.com 

#energiesolaire #moulinsolaire #moulin #mil #céréales #sénégal #offgridsolar #solaire #offgrid #offgridsolar #senegal #solar #solarenergy #millet #IYM2023


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25 août 2023, 11h23, Zone de Mboro, Sénégal

2022 a été une année extraordinaire pour Nadji.Bi Group 

Activité : Woomal Mbay : pompes solaires : www.woomalmbay.com (𝘌𝘯𝘨𝘭𝘪𝘴𝘩 𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘣𝘦𝘭𝘰𝘸)

L'équipe Woomal Mbay SAV (Service-après-vente) est passée chez Dame KANDJI à Fass Boye pour former les ouvriers agricoles à la maintenance et à l'entretien de leurs panneaux solaires et de leur installation de pompe solaire.

D'après certaines sources, sans nettoyage, la production solaire peut chuter jusqu'à 15 % par mois. L'incidence directe pour une pompe solaire est de ralentir son démarrage le matin et de diminuer son débit d'eau journalier. Cela a donc un impact négatif direct sur la bonne irrigation et donc sur le rendement de l'exploitation agricole.

Producteur maraîcher à Fass Boye, Monsieur KANDJI s'est spécialisé dans la culture de pommes de terre et de carottes, il possédait déjà une installation solaire, mais celle-ci n'était pas satisfaisante pour ses 2,5 hectares à irriguer. Il a donc opter pour Woomal Mbay et pour une pompe connectée de qualité ; garantissant son besoin journalier de plus de 125m³ par jour.

Productions effectives : pommes de terre , carottes ;

Emplois directs : 4 personnes dont 4 jeunes ;Emplois saisonniers : 70 personnes dont 10 jeunes et 60 femmes ;

Impacts : 

- Réduction des émissions de CO2 et des gaz à effets de serres

- Baisse des charges d'exploitations ,

Woomal Mbay : un projet de La Banque Agricole et de Nadji.Bi Sénégal avec le soutien de USAID - US Agency for International Development et de West Africa Trade & Investment Hub

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--------- English below ---------

August 25th 2023, 11h23, Mboro area, Sénégal

Activity: Woomal Mbay: solar water pumps: www.woomalmbay.com

The Woomal Mbay after-sales service team visited Dame KANDJI in Fass Boye to train farm workers in the maintenance and upkeep of their solar panels and solar pump installation.

According to some sources, without cleaning, solar production can drop by up to 15% per month. The direct impact on a solar pump is to slow down its start-up in the morning and reduce its daily water output. This has a direct negative impact on proper irrigation and therefore on farm yields.  

A market gardener in Fass Boye, Mr. KANDJI specializes in growing potatoes and carrots. He already had a solar installation, but it was not sufficient for his 2.5 hectares of irrigated land. He therefore opted for Woomal Mbay and a quality connected pump, guaranteeing his daily requirement of over 125m³ per day.

Actual production: potatoes , carrots

Direct jobs: 4 people including 4 youths,

Seasonal jobs: 70 people including 10 youths and 60 women,

Impacts: 

- Reduction of CO2 emissions and greenhouse gases

- Decrease of operating expenses

Woomal Mbay: a La Banque Agricole & Nadji.Bi Sénégal project, with the support of USAID - US Agency for International Development and West Africa Trade & Investment Hub

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#energiesolaire #pompesolaire #pompes #senegal #solarpump #senegal #productive #pumps

 

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Walalma : Le Saviez-Vous ? : 28%

Activité : Walalma : moulin solaire : www.walalma.com (𝘌𝘯𝘨𝘭𝘪𝘴𝘩 𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘣𝘦𝘭𝘰𝘸)

28% : c'est la part de la surface cultivée au Sénégal occupée par le mil.

En 2020, selon Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO), ce n'est pas moins de 1 144 855 tonnes de mil qui ont été récoltées au Sénégal, soit une valeur marchande moyenne de 550 milliards de FCFA, soit environ 1 Milliard de USD.

L'année 2023 a été décrétée "Année international du mil" par l'assemblée générale des United Nations. #IYM2023

Le mil peut pousser sur des sols très pauvres aussi bien que sur des sols fertiles. Mais aussi, dans des conditions de forte aridité, et n’épuise pas les nutriments du sol. C'est une céréale qui mérite tout notre attention et qui en plus d'être utile ravit les gourmandes et les gourmands de tout âge.

Walalma : Centres solaires au service des femmes du monde rural : un projet Nadji.Bi Sénégal

www.walalma.com

--------- English below --------- 

Walalma: Did you know? : 28%

Activity : Walalma : solar mill : www.walalma.com

28%: that's the share of Senegal's cultivated area occupied by millet.

In 2020, according to Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO), no less than 1,144,855 tons of millet were harvested in Senegal, representing an average market value of 550 billion FCFA, or around 1 Billion USD.

The year 2023 has been declared "International Year of Millet" by the United Nations General Assembly. #IYM2023

Millet can grow on both very poor and fertile soils. It can also grow in very arid conditions, and does not deplete soil nutrients. It's a cereal that deserves all our attention and that, in addition to being useful, delights gourmands of all ages.

Walalma: Solar services centers impacting rural women: a Nadji.Bi Sénégal project. 

www.walalma.com

#energiesolaire #moulinsolaire #moulin #mil #céréales #sénégal #offgridsolar #solaire #offgrid #offgridsolar #senegal #solar #solarenergy #millet #IYM2023

Source : https://www.fao.org/faostat/en/, https://www.fao.org/millets-2023/fr  

Son : https://www.youtube.com/@DelfaBeatz

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12 juillet 2023, 17h35, Lompoul Village, Sénégal

Activité : Woomal Mbay : pompes solaires : www.woomalmbay.com (𝘌𝘯𝘨𝘭𝘪𝘴𝘩 𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘣𝘦𝘭𝘰𝘸)

L'équipe Woomal Mbay SAV (Service-après-vente) de Saly AW et l'équipe Woomal Mbay Suivi-Evaluation (MEL) de Ibrahima Seck en pleine collecte de données d'impacts et de satisfaction chez Maimouna MBAYE.

Productrice maraîchère depuis plus de 16 ans à Lompoul Village, Maimouna MBAYE a remplacé sa motopompe diesel le 10 décembre 2022 par une pompe solaire Woomal Mbay 1ha20m.

Maimouna estime faire une économie d'environ 1 600 000 FCFA (EUR 2 450/USD 2,660) par an sur sa parcelle de 1ha grâce à sa pompe solaire Woomal Mbay, et envisage maintenant d'investir dans un système goutte-à-goutte.

L'enquête de satisfaction est très positive et Maimouna a donné 10/10 à La Banque Agricole et également 10/10 à Woomal Mbay (Service Etudes, Usage de la pompe, Qualité de l'installation, Service Après-Vente). La barre est haute, tâchons de garder le cap pour nos prochains clients

Productions effectives : tomates , chou ;

Emplois directs : 2 personnes dont 2 jeunes;

Emplois saisonniers : 15 personnes dont 3 jeunes et 9 femmes;

Impacts : 

- Réduction des émissions de CO2 et des gaz à effets de serres

- Baisse des charges d'exploitations

Woomal Mbay : un projet de La Banque Agricole et de Nadji.Bi Sénégal avec le soutien de USAID - US Agency for International Development et de West Africa Trade & Investment Hub

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--------- English below ---------

July 12th 2023, 17h35, Lompoul, Sénégal

Activity: Woomal Mbay: solar water pumps: www.woomalmbay.co

The After-Sales team (SAV) of Saly AW and the Monitoring and Evaluation team of (MEL) of Ibrahima Seck are collecting impacts and satisfaction data from Maimouna MBAYE.

Farmers for 16 years at Lompoul Village, Maimouna MBAYE replaced her gas-powered motor pump on December 10th 2022 by a Woomal Mbay 1ha20m solar water pump.

Maimouna is estimating her savings to be around 1 600 000 FCFA (EUR 2 450/USD 2,660) annualy on her 1.3ha/2.4 acres field, thanks to her Woomal Mbay solar water pump. She's now planning to invest in a drop-by-drop irrigation system.

The satisfaction survey was very positive and Maimouna gave the score of 10/10 for La Banque Agricole and also a 10/10 Woomal Mbay. The level is high, let's keep it there for our next customers  

Effective production: tomatoes , cabbage ;

Direct jobs: 2 people including 2 youths, 

Seasonal jobs: 15 people including 3 youths and 9 women,

  Impacts: 

- Reduction of CO2 emissions and greenhouse gases

- Decrease of operating expenses ,

Woomal Mbay: a La Banque Agricole & Nadji.Bi Sénégal project, with the support of USAID - US Agency for International Development and West Africa Trade & Investment Hub 

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#energiesolaire #pompesolaire #pompes #eau #senegal #offgridsolar #solarenergy #solarpump #senegal #pulse #pure #productive #pumps #water

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May 31st 2023, 13h21, Galdamel Salif, Thieppe, Sénégal

Activity: Woomal Mbay: solar water pumps (𝑉𝑒𝑟𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑛-𝑑𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠)

The Woomal Mbay Study team of Aissatou Ndiaye with Ndeye Taye BOYE and Mame Diarra Mbengue are gathering data on the cultivated field of Mr Issa KA.

Farmer active since more than 20 years in the Niayes area, Issa KA is currently using a gasoline water pump to irrigate its 1.3ha/2.4 acres field, and would like to save hundreds of EUR/USD per month thanks to solar water pump .

Already a La Banque Agricole customer at the Louga agency, he asked the Woomal Mbay Etude team to provide him a free technical and financial study in order to have a full understanding about his future investment .

Forecast production: eggplants , cabbages , carrots , peppers and chillies ,

Woomal Mbay: a La Banque Agricole & Nadji.Bi Sénégal project, with the support of USAID West Africa and West Africa Trade & Investment Hub

--------- Français en-dessous ---------

31 mai 2023, 13h21, Galdamel Salif, Thieppe, Sénégal

Activité : Woomal Mbay : pompes solaires

L'équipe Woomal Mbay Etudes de Aissatou Ndiaye avec Ndeye Taye BOYE et Mame Diarra Mbengue en pleine prise d'information sur la parcelle de M. Issa KA.

Producteur maraîcher depuis plus de 20 ans dans la zone des Niayes, Issa KA utilise un générateur diesel pour irriguer sa parcelle de 1,3ha, et aimerait faire des économies en passant à l'énergie solaire , et économiser plusieurs centaines d'EUR/USD par mois.

Déjà client de La Banque Agricole auprès de l'agence de Louga, il a sollicité l'équipe Woomal Mbay Etude pour bénéficier d'une étude technique et financière gratuite et avoir tous les éléments en main pour mieux préparer son investissement .

Productions prévues : aubergines , chou , carottes , poivrons et piments ,

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#energiesolaire #pompesolaire #pompes #eau #senegal #offgridsolar #solarenergy #solarpump #senegal #pulse #pure #productive #pumps #water


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July 27th 2023, 15h20, Loumatyr, Ndiaganiao, Sénégal

Activity: Walalma (www.walalma.com)

In the middle of Loumatyr, the #MadeinSenegal solar Offgrid service center "Walalma 1" is serving the women of this village; equipped among others by a millet huller and a cereal milling machine (millet, sorghum, maize ).

In operation since November 2021, the "Walalma 1" center is open 7 days a week thanks to its solar panels ,

The villagers in addition to cereal processing, can also buy ice blocks and charge their electrical devices in this solar service center.

Direct jobs: 2 people;

Number of direct beneficiaries: 165 clients (including 97 women with VIP account);

Number of indirect beneficiaries: about 1,500 people;

Activity of the month of July 2023:

- 108 various customers (66 women with VIP accounts, 42 other customers);

- Hulling activities: 588 kgs of millet;

- Milling activities: 1 184 kgs of millet, 119 kgs of sorghum, 177 kgs of maize;

- Ice block sales: 219 of 750 g blocks of ice;

- Electrical devices charging: 61 phones, 118 smartphones;

Walalma: a Nadji.Bi Sénégal project, with the pilot of Loumatyr "Walalma 1" cofounded by the Efficiency for Access R&D fund (UK Department for International Development (DFID), IKEA Foundation)

#solarenergy #solarmilling #milling #millet #cereals #senegal #offgridsolar #solar #offgrid #offgridsolar #MadeinSenegal


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July 3rd 2023, 11h47, Khonkh Yoye, Senegal

Activity: Woomal Mbay

The Woomal Mbay Installation team is installing a 3ha20m connected solar water pump within the borehole of Mr THIAO to replace his 5kVA gas powered motor pump  

The Woomal Mbay pumps are composed of 100% stainless steel and are equipped with stainless steel cables in order to ensure easy maintenance for several years.

Forecast production: carrots, tomatoes, peppers and chillies

Direct jobs: 3 people,Seasonal jobs: 15 people including 5 youths and 10 women,

Impacts: - Reduction of CO2 emissions and greenhouse gases, - Improvement of air quality and of sound environment, - Improvement of workers working conditions health conditions, - Decrease of operating expenses ,

Woomal Mbay: a La Banque Agricole & Nadji.Bi Sénégal project, with the support of USAID West Africa and West Africa Trade & Investment Hub

 

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Discover our latest video about Woomal Mbay, our connected solar water pumps!

Woomal Mbay Serie 01 Episode 01 : Importance of the technical study

Woomal Mbay: your turnkey solar submersible pumping solutionSolar pumps in Senegal

A solution developed by La Banque Agricole and Nadji.Bi Sénégal, with the support of USAID - US Agency for International Development and West Africa Trade & Investment Hub.

 

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La nouvelle Cohorte 5 QualiSolaire Sénégal est bien arrivée, bienvenue à toutes et à tous

Bonne chance pour les durs mois d'apprentissages et d'incubations qui vous attendent !

Et à très bientôt avec toutes les équipes pédagogiques du CFPT Sénégal-Japon, de Nadji.Bi Sénégal et des nombreux partenaires du programme

Merci au PDCEJ, au ministère de la Formation professionnelle, de l'Apprentissage et de l'Artisanat (MFPAA) du #Senegal et à la African Development Bank Group pour la confiance


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Bienvenue à la nouvelle Cohorte 4 QualiSolaire Sénégal

Bonne chance pour les durs mois d'apprentissages et d'incubations qui vous attendent !

Et à très bientôt avec toutes les équipes pédagogiques du CFPT Sénégal-Japon, de Nadji.Bi Sénégal et des nombreux partenaires du programme

Merci au PDCEJ, au Ministère de la Formation professionnelle, de l'Apprentissage et de l'Artisanat (MFPAA) du #Senegal et à la African Development Bank Group pour la confiance


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Cérémonie de remise d’attestations à 90 jeunes formés dans le domaine du Solaire

2022 a été une année extraordinaire pour Nadji.Bi Group 

Chers clients, chers partenaires, 

Au nom de toutes les équipes de Nadji.Bi Group, je souhaitais vous remercier pour la confiance, le soutien et simplement pour être d’excellents clients et d’excellents partenaires. Vous nous inspirez tous les jours et vous nous aidez à innover en permanence et à continuer de développer de meilleurs produits, de meilleures solutions, ainsi que des expériences toujours plus enrichissantes.

Nadji.Bi Group est une société basée sur l’humain. Et j’apprécie chaque jour d’avoir à mes côtés des équipes aussi passionnées et dévouées à leurs tâches et à leurs missions, essayant d’offrir à nos clients la meilleure qualité de services, la meilleure qualité produits et les solutions digitales les mieux adaptées à nos réalités. En faisant cela, ils permettent à Nadji.Bi Group d’impacter positivement et de manière durable des milliers de femmes, d’hommes, de familles et de communautés à travers notre magnifique continent et au-delà. Ce message est aussi une opportunité de remercier sincèrement et chaleureusement l’ensemble des équipes Nadji.Bi Group pour leurs incroyables réalisations en 2022.

Le secteur de l’énergie en 2022 a encore une fois été un secteur problématique et d’autant plus pour nos régions d’Afrique Sub-Saharienne dépendantes des importations de pétroles et victimes des prix élevés du transport international, de l’approvisionnement industriel ou encore de l’inflation mondiale. Cette année 2022, plus que jamais nous a démontré l’importance et la nécessité absolue de développer le secteur des énergies renouvelables jusqu’au plus profond de nos régions, mais aussi de développer une industrie du secteur des énergies renouvelables innovante et adaptée à nos réalités, comme nous essayons modestement de le faire avec notre centre de Recherche et Développement, et notre centre de production, basés tous les deux à Mbour au Sénégal.

Cette situation est également une énorme opportunité pour le développement d’une agriculture locale durable et résiliente se basant sur les énergies renouvelables qu’il s’agisse de l’irrigation, à l’image de notre programme Woomal Mbay développé avec La Banque Agricole et le soutien du West Africa Trade & Investment Hub - USAID - US Agency for International Development, ou qu’il s’agisse de solutions de transformations agricoles, à l’image de nos plateformes solaires connectées de transformations céréalières Walalma développées avec le soutien de Efficiency for Access, UK Aid Direct et de la IKEA Foundation.

Cette situation est aussi une opportunité de développer et de diffuser des solutions solaires hybrides compétitives pour nos usines, pour nos bureaux et pour nos habitations urbaines et péri-urbaines. J’encourage les fonds d’investissements spécialisés, les banques de développement, ainsi que les banques commerciales à se rapprocher des acteurs locaux pour développer des solutions financières adaptées et capables d’être mises à l’échelle pour répondre enfin à la demande extraordinaire émanant des différents secteurs informels de nos pays, qui y constituent la colonne vertébrale de nos économies ; à l’image de Woomal Mbay.

Ce développement n’étant pas possible sans le soutien et le développement des capacités et de la formation professionnelle axées vers nos réalités et vers les besoins de nos clients, qu’ils se trouvent en villes ou encore dans les villages. Nous avons achevé notre 3ème Cohorte QualiSolaire Sénégal de formation et d’incubation en entrepreneuriat solaire avec le soutien du PDCEJ, de la Banque africaine de développement et du CFPT Sénégal-Japon, et nous comptons plus que doubler nos effectifs pour l’année 2023, afin de permettre à un maximum d’entrepreneuses et d’entrepreneurs de bénéficier de nos encadrements, de nos conseils professionnels et du financement de nos partenaires.

Dans ce contexte, 2022 a été une année extraordinaire pour Nadji.Bi Group. Nous avons renforcé sensiblement nos équipes avec de nouveaux talents, nous avons lancé de nouvelles offres, de nouveaux produits et de nouvelles solutions digitales, nous avons développé de nouveaux partenariats, nous avons sécurisé de nombreux financements, tout en consolidant fermement notre position sur le marché du pompage solaire au Sénégal, et de nombreux heureux événements nous attendent déjà pour l’année 2023.

Nous sommes confiants que cette nouvelle année, nous permettra de passer une nouvelle étape de notre croissance et de continuer à apporter qualité, innovation et satisfaction à l’ensemble de nos clients et de nos partenaires, non-seulement au Sénégal, mais aussi dans la sous-région. 

La fin d’année, si elle se termine trop souvent sur les chapeaux de roues, doit nous permettre de faire le bilan, de recharger les batteries (au solaire évidemment) avec nos proches, et de mieux préparer l’année qui arrive, c’est tout le bien que je vous souhaite. 

Au nom de toutes les équipes de Nadji.Bi Group, je vous souhaite une excellente fin d’année et par avance une année 2023 pleine de challenges, de réussites et d’heureux événements. Merci encore pour votre confiance et pour votre soutien. 

Bien cordialement. 

 

Directeur Général,
Julien Potron.

  https://web.facebook.com/NadjiBiGroup/posts/pfbid0XwWRsje5tuxPjAfKqz8coMfMhYco9Un7WtdPbzhkqwamV7zieDZ6jd77sjsnE8XAl

2022


Cérémonie de remise d’attestations à 90 jeunes formés dans le domaine du Solaire

Mme le ministre Mariama SARR , de la formation professionnelle de l’apprentissage et de l’insertion a présidé ce jeudi au CFPT Sénégal Japon, une cérémonie de remise d’attestations à 90 jeunes formés dans le domaine du Solaire.

En marge de la cérémonie , le projet PDCEJ-l’ONG Qualisolaire et le CFPT /SJ ont signé une convention tripartite pour l’accompagnement des jeunes et des femmes dans le domaine du solaire.

mefpai

  https://formation.gouv.sn/ceremonie-de-remise-dattestations-a-90-jeunes-formes-dans-le-domaine-du-solaire/

LE MINISTRE MARIAMA SARR INAUGURE LE CENTRE QUALISOLAIRE ET REMET 55 ATTESTATIONS

Le ministre de la formation professionnelle, de l’apprentissage et de l’insertion a procédé, ce jeudi 27 octobre 2022, à l’inauguration du centre de formation QualiSolaire Sénégal logé au centre de formation professionnelle et technique (CFPT). Mme Mariama Sarr a profité de l’occasion pour remettre des attestations QualiSolaire à cinquante cinq (55) apprenants issus dudit centre :

L’initiative s’inscrit en droite ligne du Projet d’appui au développement des compétences et de l’entrepreneuriat des jeunes dans les secteurs porteurs (PDCEJ) financé à hauteur de douze (12) milliards FCFA par l’État et la Banque africaine de développement (BAD). L’objectif visé à travers ce projet est l’amélioration de la qualité de la main d’œuvre et de l’entrepreneuriat des jeunes dans les secteurs porteurs.

Le centre QualiSolaire Sénégal n’a pas attendu son inauguration officielle pour commencer à former des jeunes. Le ministre Mariama Sarr a ainsi remis des attestations QualiSolaire à cinquante cinq (55) apprenants issus de deux promotions sortantes. L’occasion a été également saisie pour la signature d’une convention tripartite entre le PDCEJ, NADJI.BI et le CFPT. Ladite convention porte notamment sur la gestion des équipements et l’exposition de stands de bénéficiaires du programme.

Mbissane Tine

 
 

https://senegal7.com/video-apprentissage-le-ministre-mariama-sarr-inaugure-le-centre-qualisolaire-et-remet-55-attestations/  


Reaching Senegalese Remote Communities with Climate-Friendly Agricultural Technologies

Across the globe, agricultural production is struggling to keep up with increasing food demand. Crop yields continue to dwindle as a result of agriculture’s extreme vulnerability to climate change. These effects are felt on farmlands as extreme weather conditions hamper yield. In Senegal, La Banque Agricole (LBA), an agricultural-lending bank, is improving food security while combatting this pervasive issue, through supporting the development of climate-friendly agricultural technologies. 

Through its project, Woomal Mbay, LBA is reaching smallholder farmers in remote areas of Senegal with solar-powered pumping and irrigation systems to improve their agricultural productivity and reduce the impact of their activities on the climate. 

The USAID-funded West Africa Trade and Investment Hub awarded a $1million co-investment grant to La Banque Afrique to improve agricultural productivity and reduce the environmental footprint of Senegalese smallholders by increasing their access to solar water pumping and irrigation technologies. To effectively implement this project, LBA formed a partnership with its technical partner, Nadji.Bi, a company specializing in the research, development, and industrial manufacturing of impact solar solutions for domestic and agricultural use. 

With additional private investments of $5.5 million, LBA and Nadji.Bi will provide access to financing for at least 504 smallholder farmers in the Niayes area and Senegal River Valley, allowing them to invest in solar irrigation systems, including digital applications to manage pumping, irrigation, and agricultural production. The project will increase the value of exports from Senegal and local trade sales, with an expected sales value of at least $7.7 million. 

Following the recent successful launch of the Woomal Mbay project, LBA strategically opened a new branch in M’boro, in the northern part of Senegal, to have a more centralized presence and help boost the sales of its climate-smart irrigation systems to small vegetable producers who typically farm on one hectare of land, while also offering other services central to LBA’s overall mandate. LBA and Nadji.Bi have also completed the installation of two solar irrigation systems financed through a bank loan of $7,600 to two smallholder producers. Work is currently progressing on the installation of additional solar irrigation systems that are equally financed through a bank loan of $11,390 to three smallholder farmers, each farming on one hectare of land. 

Ouleye Ka is a fifty-year-old farmer who grows vegetables (cabbage, carrot, and onions) and is one of the beneficiaries of the project. She mentions how the solar pump has improved profit by decreasing her operating costs. 

“The pump has significantly reduced costs for me. Before, I spent close to 600,000 francs (approximately $862) per year, not counting the transport cost and regular travel time to purchase diesel, with repairs on the pumping machine alone costing 200,000 francs (approximately $296),” Ouleye shared. “Now I am saving a lot from sales and the solar pump makes it easier to supply water to the whole plot of land correctly.”

Ouleye Ka, Farmer 

To increase the volume of activities once the rainy season is over, LBA and Nadji.Bi have ordered 94 solar pumps (valued at $189,854), key components of the irrigation systems, that are currently being shipped from the United States. Also, two vehicles (valued at $44,482) have been purchased to facilitate the transportation of the technical and commercial teams that visit existing and potential clients. In the coming months, the alliance partners will focus on completing 14 solar irrigation system installations by December 2022, evaluating 14 loan applications, and extending $63,352 in loans for the installation of solar irrigation systems. 

These efforts will continue to be vital in reducing these farmers’ impact on the environment while significantly increasing their profit and thus, improving their livelihoods.

By Aor Ikyaabo, Communication Specialist

https://westafricatradehub.com/news/blog/reaching-remote-senegalese-communities-with-climate-friendly-agricultural-technologies/ 

Solution de pompage et d’irrigation solaire connectée : La Banque agricole lance son projet ''Woomal Mbay''


La finance verte au service de l’agriculture moderne et responsable est désormais inscrite au cœur des projets et programmes de la Banque Agricole (LBA). En effet, dans la dynamique de promouvoir une agriculture intelligente face au changement climatique, la Banque, en partenariat avec l’USAID Trade Hub et la société Nadji-Bi Sénégal, a lancé le projet dénommé ‘’Woomal Mbay’’. Il s'agit d'une solution de pompage et d’irrigation solaire connectée dont la cérémonie de lancement officielle a eu lieu ce mardi 19 juillet 2022, à Diogo (commune de Darou Khoudoss, département de Tivaouane). La rencontre, qui s’est tenue dans une ambiance festive, a enregistré la présence du Directeur général de la LBA, Malick Ndiaye, du directeur de la société Nadji-Bi Sénégal, Julien Potron, du représentant de l’USAID Trade Hub, Bamba Fall, des producteurs de la zone, entre autres.

https://youtu.be/CBnm3LoZ9FE

« Faciliter l’accès à l’énergie propre et améliorer la productivité agricole »

Selon le Dg de LBA, le projet répond à une préoccupation que sa banque a identifié avec son partenaire technique Nadji-Bi Sénégal pour faire face aux besoins des agriculteurs, notamment des maraîchers qui ont des difficultés à accéder à l’énergie solaire. Son objectif est de permettre aux producteurs agricoles des régions de Dakar, Louga, Matam, Saint-Louis et Thiès d’améliorer leur productivité agricole, de réduire l’impact de leurs activités sur le climat à travers la démocratisation de l’accès au pompage et à l’irrigation solaire.

A en croire Malick Ndiaye, le projet va contribuer à « l’amélioration du bien-être des communautés bénéficiaires et  faire baisser les émissions de gaz à effet de serre ».

LBA prête à financer tout producteur désireux d’acquérir

Le projet ‘’Woomal Mbay’’ comporte un volet de cofinancement pour un montant de 5 millions de dollars dont 1 million de dollars de subvention. Son offre de financement porte sur trois systèmes de pompes solaires, à savoir : 1 hectare, 2 hectares et 3 hectares de terre. Chaque offre comprend une pompe immergée Nadji-Bi 1.1KW, d’un onduleur triphasé Nadji-Bi 1,1 KW, de panneaux solaires 1,65 KW minimum, un système de montage solaire, d’éléments techniques inclus, une application de contrôle et de gestion sur Android, un Service après vente (SAV) ainsi que de logiciels de renforcement de capacités, fournis et mis en place par la société Nadji-Bi Sénégal. Et chaque catégorie d’exploitation correspond également à un type de pompe solaire qui permet de répondre aux besoins d’irrigation du demandeur ou de l’acheteur. Le coût varie entre 2 500 000 à 4 500 000 francs CFA remboursable sur 3 ans et avec 3 ans de garantie.

Objectif : positionner 500 pompes solaires sur les 3 prochaines années

Avec un objectif de positionner 500 pompes solaires sur les trois (3) prochaines années, La Banque Agricole va financer sur ces 3 ans tous les producteurs désireux d’acquérir le produit et booster leurs activités quotidiennes à moindre coût.

A travers la mise en œuvre de ce projet, qui entre en droite ligne des préoccupations du PSE Vert, LBA, première banque commerciale sénégalaise accréditée au fonds vert pour le climat, participe au développement d’une agriculture « sobre en carbone et résiliente » face au changement climatique. En effet, elle contribue à l’atteinte des objectifs d’adaptation et d’atténuation que le Sénégal s’est assignés dans sa Contribution Déterminée Nationale (CDN).

Chaque pompe peut durer jusqu’à 20 ans

Le directeur de la société Nadji-Bi Sénégal, pour sa part, a renseigné que chaque installation de ces pompes solaires est étudiée pour durer 20 ans. Et chaque pompe est livrée avec une garantie de 3 ans avec pièces et main-d’œuvre. Elle est également assurée et possède un système antivol.

Après avoir lancé le produit ‘’Woomal Mbay’’, qui est également une solution de pompage solaire immergé clé en main destinée aux maraîchers de la zone des Niayes pour la phase pilote, le Dg de LBA et ses partenaires ont procédé à la remise symbolique d’une pompe solaire au premier client. Ils ont également visité quelques champs où la pompe solaire a été installée. Ici, grâce à cette haute technologie innovante le producteur n’a plus besoin d’acheter du gasoil pour arroser sa production. Il peut désormais le faire avec le solaire durant toute la journée et à distance s’il le désire grâce à une application digitale que le partenaire technique installe dans son smartphone.

Cheikhou AIDARA & Bilal NDIAYE - Seneweb.com | 20 juillet, 2022

https://www.seneweb.com/news/Video/solution-de-pompage-et-d-rsquo-irrigatio_n_383796.html 

Découvrez tous les liens des articles en ligne ici  :

1 2022.07.20 Sen360.sn https://news.sen360.sn/actualite/solution-de-pompage-et-dirrigation-solaire-connectee-la-banque-agricole-lance-son-projet-woomal-mbay/604609/
2 2022.07.20 a4perspectives.com
https://www.a4perspectives.com/solution-pompage-dirrigation-solaire-connectee-banque-agricole-lance-projet-woomal-mbay/
3 2022.07.18
SeptAfrique.com
https://www.septafrique.com/2022/07/la-banque-agricole-lance-woomal-mbay-une-solution-de-pompage-et-dirrigation-solaire-connectee/
4 2022.07.17 Afropages https://www.afropages.fr/lejecos/la-banque-agricole-lance-woomal-mbay-une-solution-de-pompage-et-d-irrigation-solaire-connectee
5 2022.07.17
lejecos.com
https://www.lejecos.com/La-Banque-Agricole-lance-Woomal-Mbay-Une-solution-de-pompage-et-d-irrigation-solaire-connectee_a22591.html 
6 2022.07.16
Senegal Direct
https://senegaldirect.com/banque-agricole-lancement-mardi-prochain-de-woomal-mbay-une-solution-de-pompage-et-dirrigation-solaire-connectee/
7 2022.07.16 Sud Quotidien https://www.sudquotidien.sn/agriculture-la-banque-agricole-va-lancer-un-produit-denomme-woomal-mbay-mardi/ 
8 2022.07.17 Sunuker FM https://sunuker.net/2022/07/16/agriculture-la-banque-agricole-va-lancer-un-produit-denomme-woomal-mbay-mardi/ 

Chronique Énergies renouvelables & Agriculture en Afrique de l'Ouest au 20 juillet 2022

La Banque agricole a lancé hier en partenariat avec USAID Trade Hub et Nadjibi Sénégal un nouveau produit Woomal Mbay, destiné à promouvoir les  solutions de pompage et d’irrigation solaire connectée. Une initiative qui s’inscrit dans la dynamique de promouvoir une agriculture intelligente face au climat.

20 JUILLET 2022 - 18:23 | PAR COMMODAFRICA

http://www.commodafrica.com/20-07-2022-chronique-energies-renouvelables-agriculture-en-afrique-de-louest-au-20-juillet-2022 


La Banque agricole (LBA) annonce le lancement, mardi prochain à 10 heures, à Diogo (ouest), d’un produit dénommé ‘’Woomal Mbay’’, présenté comme ‘’une solution de pompage et d’irrigation solaire connectée’’.

Le village de Diogo est situé dans la commune de Darou Khoudoss et le département de Tivaouane.

‘’Le but [de ce] projet est de permettre aux producteurs agricoles des régions de Dakar, Louga, Matam, Saint-Louis et Thiès d’améliorer leur productivité, de réduire l’impact de leurs activités sur le climat, à travers la démocratisation de l’accès au pompage et à l’irrigation solaire’’, explique le communiqué.

​‘’Le projet contribuera à l’amélioration du bien-être des communautés bénéficiaires et à faire baisser les émissions de gaz à effet de serre’’, ajoute-t-il.

Cette initiative va servir à ‘’promouvoir une agriculture intelligente face au climat’’.

RédactionSA

https://www.septafrique.com/2022/07/la-banque-agricole-lance-woomal-mbay-une-solution-de-pompage-et-dirrigation-solaire-connectee/


NETTALI.COM - Un produit dénommé Woomal Mbay ou plus exactement une solution de pompage et d'irrigation solaire connectée, c'est que lance La Banque Agricole dans un secteur où son agricole et la chaîne de valeur où son expertise n'est plus à démontrer. Un lancement qu'il inscrit dans une dynamique de promouvoir une agriculture intelligente face au climat.

C'est en effet en partenariat avec avec "USAID Trade Hub" et "Nadjibi Sénégal" que La Banque lance son nouveau produit dénommé " Woomal Mbay", une solution de pompage et d’irrigation solaire connectée. Une cérémonie de lancement qui se déroulera à Diogo (Commune de Darou Khoudoss, Département de Tivaouane) ce mardi 19 juillet 2022 à partir de 10h.

https://www.nettali.com/2022/07/18/secteur-bancaire-la-banque-agricole-innove-et-lance-woomal-mbay/ 

  Projet Woomal Mbay, : Une Solution De Pompage Et D’irrigation Solaire Connectée


Dans la dynamique de promouvoir une agriculture intelligente face au climat, La Banque Agricole (LBA) en partenariat avec USAID Trade Hub et Nadjibi Sénégal lance le produit dénommé Woomal Mbay, une solution de pompage et d’irrigation solaire connectée. à Diogo (Commune de Darou Khoudoss, Département de Tivaouane) ce mardi 19 juillet 2022.

Babacar sene journal Agropasteur

https://agropasteur.com/projet-woomal-mbay-une-solution-de-pompage-et-dirrigation-solaire-connectee/ 

Au Sénégal, La Banque Agricole lancera une nouvelle offre de financement destinée aux agriculteurs


(Agence Ecofin) - Alors que l’encours global des crédits accordés à sa clientèle a baissé de 2,8 % fin 2020, La Banque Agricole veut accroître ses prêts aux agriculteurs sénégalais via Woomal Mbay, une nouvelle offre de financement axée sur le pompage et l’irrigation solaire connectée.

La Banque Agricole (LBA), un établissement bancaire sénégalais axé sur le secteur agricole, a indiqué le samedi 16 juillet, qu’elle lancera une nouvelle solution dénommée Woomal Mbay. Cette offre de financement essentiellement destinée aux producteurs agricoles du pays portera sur « trois systèmes de pompage et d’irrigation solaires, accompagnés de logiciels de renforcement de capacités et d’une application de contrôle et de gestion », explique la banque.

« Woomal Mbay permettra d’améliorer la productivité agricole, réduira l’impact des activités des agriculteurs sur le climat à travers la démocratisation de l’accès au pompage et à l’irrigation solaire », précise LBA dans sa note d’information.

Cette solution vise à promouvoir une agriculture intelligente face au climat. Elle participe de la volonté de l’institution de développer une agriculture sobre en carbone et résiliente face au changement climatique. En 2020, LBA est devenue la première banque commerciale sénégalaise accréditée au Fonds Vert pour le Climat. Cela devrait lui permettre de répondre aux besoins de financement de l’économie rurale.

Dans son dernier rapport financier comptant pour l’exercice 2020, l’encours global des crédits accordés par LBA à sa clientèle a atteint 264 926 millions FCFA (410,8 millions de dollars) en baisse de 2,08 % par rapport à son niveau de fin décembre 2019. Par ailleurs, elle a déclaré un total bilan de 335 232 millions FCFA, en hausse de 2 % par rapport aux 328 595 millions FCFA affichés au 31 décembre 2019. Du point de vue de sa rentabilité, le produit net bancaire a connu un retrait de 7 % par rapport à l’exercice 2019.

Chamberline MOKO 

https://www.agenceecofin.com/agro/1807-99836-au-senegal-la-banque-agricole-lancera-une-nouvelle-offre-de-financement-destinee-aux-agriculteurs

In Senegal, La Banque Agricole will launch a new financing offer for farmers


(Agence Ecofin) – While the overall outstanding amount of loans granted to its customers fell by 2.8% at the end of 2020, La Banque Agricole wants to increase its loans to Senegalese farmers via Woomal Mbay, a new financing offer focused on pumping and connected solar irrigation.

Banque Agricole (LBA), a Senegalese banking institution focused on the agricultural sector, indicated on Saturday July 16 that it will launch a new solution called Woomal Mbay. This financing offer, essentially intended for agricultural producers in the country, will focus on “three solar pumping and irrigation systems, accompanied by capacity building software and a control and management application”, explains the bank.

“Woomal Mbay will improve agricultural productivity, reduce the impact of farmers’ activities on the climate through the democratization of access to pumping and solar irrigation”, specifies LBA in its information note.

This solution aims to promote climate-smart agriculture. It is part of the institution’s desire to develop a low-carbon and resilient agriculture in the face of climate change. In 2020, LBA became the first Senegalese commercial bank accredited to the Green Climate Fund. This should enable it to meet the financing needs of the rural economy.

In his latest financial report counting for the 2020 financial year, the overall outstanding amount of loans granted by LBA to its customers reached 264,926 million FCFA (409.37 dollars), down 2.08% compared to its level at the end of December 2019. , it declared a total balance sheet of 335,232 million FCFA, up 2% compared to the 328,595 million FCFA posted on December 31, 2019. From the point of view of its profitability, net banking income fell by 7% compared to the 2019 financial year.

Chamberline MOKO

https://senegal.detailzero.com/news/amp/19775 


Banque Agricole : Lancement, mardi prochain, de Woomal Mbay, une solution de pompage et d’irrigation solaire connectée

Dans la dynamique de promouvoir une agriculture intelligente face au climat, La Banque Agricole (LBA), en partenariat avec USAID Trade Hub et Nadjibi Sénégal, lance “le produit dénommé Woomal Mbay, une solution de pompage et d’irrigation solaire connectée”, informe-t-elle dans un communiqué. 
“L’offre de financement porte sur trois systèmes de pompes solaires respectivement de 1ha, 2ha et 3ha accompagnés d’une application de contrôle et de gestion sur Android, ainsi que de logiciels de renforcement de capacités”, précise la Banque agricole.
Le but du projet est de permettre aux producteurs agricoles des régions de Dakar, Louga, Matam, Saint-Louis et Thiès d’améliorer leurs productivités agricoles, de réduire l’impact de leurs activités sur le climat à travers la démocratisation de l’accès au pompage et à l’irrigation solaire. Le projet contribuera à l’amélioration du bien-être des communautés bénéficiaires et à faire baisser les émissions de gaz à effet de serre.

A travers la mise en œuvre de ce projet qui entre en droite ligne des préoccupations du PSE Vert, LBA, première banque commerciale sénégalaise accréditée au Fonds Vert pour le Climat, participe au développement d’une agriculture sobre en carbone et résiliente face au changement climatique. En définitive, La Banque Agricole contribue à l’atteinte des objectifs d’adaptation et d’atténuation que le Sénégal s’est assigné dans sa Contribution Déterminée au niveau National (CDN). La cérémonie de lancement du projet Woomal Mbay se déroulera à Diogo (Commune de Darou Khoudoss, Département de Tivaouane) le mardi 19 juillet 2022 à partir de 10h.

ABENA

https://abenatv.com/banque-agricole-lancement-mardi-prochain-de-woomal-mbay-une-solution-de-pompage-et-dirrigation-solaire-connectee/# 


LA BANQUE AGRICOLE VA LANCER UN PRODUIT DÉNOMMÉ ‘’WOOMAL MBAY’’, MARDI

La Banque agricole (LBA) annonce le lancement, mardi prochain à 10 heures, à Diogo (ouest), d’un produit dénommé ‘’Woomal Mbay’’, présenté comme ‘’une solution de pompage et d’irrigation solaire connectée’’.

Le village de Diogo est situé dans la commune de Darou Khoudoss et le département de Tivaouane.

‘’Le but [de ce] projet est de permettre aux producteurs agricoles des régions de Dakar, Louga, Matam, Saint-Louis et Thiès d’améliorer leur productivité, de réduire l’impact de leurs activités sur le climat, à travers la démocratisation de l’accès au pompage et à l’irrigation solaire’’, explique le communiqué.

‘’Le projet contribuera à l’amélioration du bien-être des communautés bénéficiaires et à faire baisser les émissions de gaz à effet de serre’’, ajoute-t-il.

Cette initiative va servir à ‘’promouvoir une agriculture intelligente face au climat’’.

http://www.aps.sn/spip.php?article4992 

2021

Agrivoltaics for Mali & The Gambia (APV-MaGa): Sustainable Electricity Production by Integrated Food, Energy and Water Systems
Volume 6 / December 2021

  

Project partners and invited stakeholders from the German Embassy and Ministries during the Kick-off meeting in the Gambia. Photo credit: UNU


Dear APV-MaGa partners,

The project organized a webinar on the 16th November 2021 entitled “Sustainable electricity production by integrated food, energy and water systems: opportunities and challenges”, moderated by UNU-EHS, where colleagues from Nadji.Bi Ltd, Fraunhofer ISE, University of Freiburg and deea solutions GmbH presented different components of the project and the potential in Africa. This webinar was supported by the SIDA funded regional project "Implementing the 2030 Agenda for Water Efficiency/Productivity and Water Sustainability in NENA countries" (WEPS-NENA) under FAO led regional Water Scarcity Initiative (WSI).

Site Visit to The Gambia

In September 2021, German and Malian partners visited The Gambia. In the first week, the German partners together with FAO and Nadji.Bi conducted site visits to 10 short listed sites for the project. The Darsilami Youth Garden, Njobo Bantang Women Garden Berefet, Madina Lamin Kanteh and University of the Gambia Farm were confirmed as project sites in The Gambia.

In the second week, other project partners e.g. UNU, IPR-IFRA, Namene Solar and AMEDD joint the rest of the team for a 3-days Kick-off workshop organized and coordinated by NARI Gambia.

The Gambia

During the sites visit in September 2021, a total of 10 sites were visited, out of which 3 sites were selected based on a SWOT analysis that took into consideration, water needs, potential use of cold storage, access to market and productivity of agricultural activities. The selected sites are:

  • Darsilami Youth Garden
  • Njobo Bantang Women Garden Berefet
  • Madina Lamin Kanteh

The students hosted by NARI and Nadji.Bi for internship continue to make progress on their work. UNU-EHS is having a biweekly meeting with the three students currently conducting their master thesis research in the frame of the project. The master thesis topics are:

  • Conceptual analysis and prototypical design of a smart solar water pumping system for irrigation and community water supply.
  • Conceptual  analysis and prototypical design of a real-time crop water demand monitoring system for irrigation: Case study of the Agrophotovoltaic system in Mali.

In addition to these three sites, a fourth site is a farm located at the University of Gambia (UTG), thereby completing the four project sites in the Gambia.

  
Visit by project partners to the UTG farm. Photo credit: UNU

The site visit brought new impetus and also presented challenges ahead in the realization of project, particularly with the return of investment. The agreed starting point with the community business model espouses the flexibility to store suitable crops in a cold storage to sell them at a more favorable time. This also includes to increase agricultural output through the enhancement and implementation of a sustainable irrigation system. In parallel, further assessment which include the technology screening, processing screening report, investigation on additional energy services and potential of cooling technologies were conducted on the sites. The site visit in the Gambia ended with project partners designing specific tasks and setting deadlines with the objective to start construction of APV demonstrators by March 2022. Since then bi-weekly meetings have been held with all project partners (including physical meetings by German partners in Bonn and Freiburg) to assess progress, keep track with the deadline and the momentum generated during the site visit in The Gambia.

Students conducting their master thesis research in the frame of the project were invited to present their thesis progress before some consortium members. Constructive feedback was shared with students to enhance their research as well as to align their work with the project goals. The defense of their theses was held in November 2021.


“Goals are dreams with deadlines”


Any queries or doubts? Contact Us

United Nations University – Institute for Environment and Human Security (UNU EHS)
Ambe Emmanuel Cheo

Fraunhofer ISE
Brendon Bingwa
University of Freiburg
Nora AdelHard

deea solutions GmbH
Álvaro Royes


Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’appui au Développement des Compétences et de l’Entreprenariat des Jeunes (PDCEJ), financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) et l’Etat du Sénégal, NADJI.BI Sénégal lance la troisième campagne de recrutement de 40 apprenants, porteurs d’un projet entrepreneurial dans le domaine du solaire.   

Critères de sélections obligatoires : 

Vous êtes issus des Régions de Dakar, Kaolack, Saint-Louis, Thiès, et Ziguinchor ou votre projet se situe dans ces cinq régions ;
•      Vous êtes de Nationalité Sénégalaise ; 
Vous êtes âgés de 19 à 35 ans ; 
Vous êtes titulaire au minimum d’un Bac scientifique ou technique, d’un BTI, d’un certificat de spécialités en solaire ou d’un diplôme équivalent, et         ayant des prérequis dans le domaine de l’électricité ;
Vous disposez d’un projet entrepreneurial en lien avec l’énergie solaire ;
Vous êtes disponible pour une formation à temps plein à Dakar de mi-janvier à mi-juillet 2022 ;
Vous vous engagez à acquérir une tablette pour suivre la formation ;

CANDIDATURES FÉMININES VIVEMENT ENCOURAGÉES

Les formations se dérouleront à Dakar pour une durée de 6 mois de cours temps plein (théorie et pratique), au sein du CFPT Sénégal/Japon, à partir du 15 janvier 2022. 

Les meilleurs projets entrepreneuriaux bénéficieront d’une incubation de 6 mois, avec une possibilité de financement pour la réalisation de leur projet.

Le dossier de candidature est composé de :

Une copie de la pièce d’identité et un certificat de résidence ;
Un CV et une lettre de motivation ;
Une présentation de l’idée de projet entrepreneuriat en 1 page (avec la localisation du projet) ; 

http://qualisolaire-senegal.com ou https://www.nadjibi.com/formations

Pour toute demande de renseignements, merci d’envoyer vos emails à : pdcej@qualisolaire-sn.com

NB : L’acquisition d’une tablette à hauteur de 50 000 FCFA (représentant 10% des frais de la formation) constituera un préalable à l’inscription définitive.

Les dossiers de candidatures seront reçus jusqu’au 24 Décembre 2021.


Interview with Julien Potron, CEO of Nadji.Bi Sénégal and grantee of UNDP’s Innovation Challenge award
November 30, 2021

We spoke to Julien Potron, CEO of Nadji.Bi Sénégal and grantee of UNDP’s Innovation Challenge award, about his experience piloting an ‘intelligent ecovillage’ as part of UNDP’s Ecosystem Development Approach in Senegal and the concrete improvements the approach has led to:

  1. How did you participate in the Senegal Ecosystem Initiative for Solar Energy Inclusive Businesses?

    We joined the Senegal Ecosystem Initiative for Solar Energy Inclusive Businesses to meet and share our mutual experiences with other stakeholders involved in our industry, such as private companies, governmental agencies and ministries, NGOs, DFIs, banks, universities and training centres and other active entities. In addition to the regular meetings, we led the regulatory environment task force, where we wrote a comprehensive study on regulatory history, framework, applications and impacts on local companies. This work was shared with other involved entities and was partly used by ministries to upgrade and update the new tax applications such as the new VAT exemption regulation.

  2. How did you use the Innovation Challenge Grant? What was the result?

    Thanks to UNDP’S US$40,000 Innovation Challenge award, we were able to pilot an ‘intelligent ecovillage’ concept in Aga Biram, an off-grid rural community about 25 km outside of Mbour. The ecovillage consisted of a solar mill, solar freezer, three public lighting installations, ten public lighting kits, a solar video projector for the school, and 441 solar home systems for domestic light and phone charging. The primary objective was to understand how to build a distribution model for community solar energy solutions, like mills and freezers, by linking these to the distribution of solar home systems, for which the distribution channels are better established.

  3. How did you benefit from changes in the ecosystem?

    This pilot has further convinced us of the need to continue our endeavours to develop connected technological solutions. We are now looking at replicating this model in at least five other localities in Senegal, using our own funds and deploying our new technologies together with improved monitoring and evaluation methods.
    Our pilot also showed how relatively small investments in solar energy can considerably improve people’s daily lives and provide income generating opportunities in off-grid areas. For instance, the physical burden of milling millet grain by hand, which traditionally fell on women, has disappeared. “Our lives are much easier, and our families love the fact that we have more free time,” explains Yassine Sene, one of the members of the association running the solar mill. The mill now generates additional income for cooperative members. Health benefits from replacing paraffin lamps in homes are also significant. Last but not least, we estimates that around 42 tons of CO2 emissions per annum were saved as a result of households in the village switching to solar energy.

  4. Does the initiative continue? How?

    In early 2020, La Banque Agricole (LBA) from Senegal entered into an agreement with our company to fund PAYGo (Pay-as-you-go) solar systems. We also develop further improved Solar Productive Use Hubs, which are the natural evolution of the pilot we ran with the support of the Innovation Challenge grant. We are also conducting deeper monitoring and evaluation studies on impacts and outcomes, especially on the impacts of solar milling services on girls and women in rural off grid areas. We are finalizing a plan of implementation of several hundreds of such connected Solar Productive Use Hubs to enable more girls and women to benefit from our technologies and business models.

    Thank you Julien for taking the time and sharing your insights with us!

https://endeva.org/blog/interview-with-julien-potron-ceo-of-nadji-bi-senegal-and-grantee-of-undps-innovation-challenge-award-2

Our colleague Maimuna Drammeh, from Nadji.Bi Group  Gambia will participate in the following Webinar : "Sustainable Electricity Production by Integrated Food, Energy and Water Systems: Opportunities and Challenges", on Tuesday, November 16, 2021 - 12:30-14:00 GMT.

Nadji.Bi Group in the spotlight in the latest UNDP report entitled: "Catalyzing Impact through Business / An Ecosystem Development Approach to meet the SDGs". An experience sharing on the Inclusive Solar Energy Business Ecosystem Initiative in Senegal (IEEIES), and visuals on the activities of Nadji.Bi Group.


  

For those who are looking for the report in English, you'll find it here:

https://lnkd.in/ex7M3QU3

Our team was very glad to participate in this very innovative project and to discover FZSONICK Group technology. Thanks Entrepreneurs du Monde and Schneider Electric for the trust, and thanks Audrey Jean-Martial KAKPOHOUE for the great work in a very challenging environment.

Glad to have shared the latest  Nadji.Bi Group  digital innovations developed by   alumni to current students, and probably futures change makers. Let's keep improving lives with our  #MadeinAfrica  innovations 👍 And thanks to  Efficiency for Access  for the support to this project.

Agrivoltaics for Mali & The Gambia (APV-MaGa): Sustainable Electricity Production by Integrated Food, Energy and Water Systems
Volume 5 / June 2021

Dear APV-MaGa partners,

In the Gambia

Nadji.Bi has been processing the collected data from their field trip. Using the Epicollect cloud platform, they are preparing the report to present the ten shortlisted installation sites. Epicollect cloud platform is a service that allows the harvest of data without using an internet connection. The ten shortlisted sites will be ideally reduced to five sites prior to the site visit planned to take place in September 2021 in The Gambia. Further information regarding solar radiation data, market data, conservation and transformation opportunities are being added into the dataset to better analyze the sites and properly develop business models for potential further investments.
The students hosted by NARI and Nadji.Bi for internship continue to make progress on their work. UNU-EHS is having a biweekly meeting with the three students currently conducting their master thesis research in the frame of the project. The master thesis topics are:

  • Conceptual analysis and prototypical design of a smart solar water pumping system for irrigation and community water supply.
  • Conceptual analysis and prototypical design of a real-time crop water demand monitoring system for irrigation: Case study of the Agrophotovoltaic system in Mal i.
Local perceptions of digital technology on enhancing livelihoods in the context of Water, Energy and Food Nexus: A case study of Gambia.
The Master theses are supervised by UNU-EHS and partners. A combination of the research theses and internship has been a positive experience since the students not only received guidance from their host institutions but also use the opportunity to gather data for their research.
The German partners are considering to have an all-partners’ site visit to The Gambia toward the end of September 2021. There is also the consideration to use this opportunity to organize an official physical kick-off workshop in The Gambia, to bring together partners and stakeholders from Mali and The Gambia. All project partners would be consulted on the decision and date to organize the project kick-off workshop as suggested.


“Goals are dreams with deadlines”


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Agrivoltaics for Mali & The Gambia (APV-MaGa): Sustainable Electricity Production by Integrated Food, Energy and Water Systems
Volume 4 / May 2021


Women Garden in The Gambia. One of the 10 sites visited by Nadji.Bi Gambia Limited. Photo credit Nadji.Bi Gambia Limited


Dear APV-MaGa partners,

Over the month of May 2021, the project partners finalized the preparations needed to carry out the respective site visits in both Mali and Gambia. Among the preparations, plenty of calls, meetings and checklists have been exchanged and all relevant information such as meeting dates with stakeholder, potential data needs of the German partners, suitable travel dates, invitation letters for the German partner, visa application process etc. have been collected to facilitate the site visits in the respective countries.
Parallel to the site visit, we continue to make progress with the work packages. The University of Freiburg is preparing expert interviews to be conducted in the upcoming weeks. In addition, main research topics and methodology collected from partners in the socio-economic research network have been clustered for easy networking and building synergies with the partner institutions. Along this research approach, UNU has worked on the description of three master thesis topics for students’ scholarships in Mali and in The Gambia respectively. This also provides an opportunity for local students to directly contribute to the project through their master thesis research and develop skills locally on agrivoltaic systems. In total, 6 students will be selected through a competitive process that will be launched in the month of July 2021. A future plan is to work closely with the colleagues in Mali and The Gambia to design further master thesis research topics to permit students from local universities to get involved in the project.

Parallel to the site visit, we continue to make progress with the work packages. The University of Freiburg is preparing expert interviews to be conducted in the upcoming weeks. In addition, main research topics and methodology collected from partners in the socio-economic research network have been clustered for easy networking and building synergies with the partner institutions. Along this research approach, UNU has worked on the description of three master thesis topics for students’ scholarships in Mali and in The Gambia respectively. This also provides an opportunity for local students to directly contribute to the project through their master thesis research and develop skills locally on agrivoltaic systems. In total, 6 students will be selected through a competitive process that will be launched in the month of July 2021. A future plan is to work closely with the colleagues in Mali and The Gambia to design further master thesis research topics to permit students from local universities to get involved in the project.

Nadji.Bi Identified Ten Sites
Criteria for the selection of the 10 sites visited include:

  • Site size: The bigger the area, the higher it ranks (current sizes under consideration ranges from 1.5ha to 30ha).
  • Nearby population size: The larger the population, the higher the chances of a local market nearby to trade the agricultural yield (current population sizes under consideration range from 800 inhabitants to 96,700 inhabitants).
  • The higher the proximity to Banjul, the higher it ranks. This permits easier access to infrastructure, lower construction and logistics costs as well as maintenance costs.
  • Seasonality of production: A higher score is given to the current farms that are using a rotation in crop production.
No access to electricity: Since the APV potential is the greatest when coupling agriculture and lack of electricity, a higher score is given to those sites off-grid. Interest in cold storage as a productive use for the energy also adds points.

The Gambia

Nadji.Bi made a 5-day trip through the country to conduct feasibility visits to 10 farms and gardens. These sites were short listed by Nadji.Bi after analyzing information collected through phone calls and online surveys, taking into consideration the important criteria for implementing an APV system in the country. Many thanks to FAO Gambia for their support in the selection process as well.
Nadji.Bi and NARI are currently each hosting a master student from the Pan African University Institute of Water and Energy Sciences Tlemcen, Algeria for an internship in the frame of the project. Both students are also conducting their master thesis research in the frame of the project and are supervised by UNU-EHS. The project encourages internship placements for students from partner institutions since it fosters collaboration and builds synergies between project partners.

Photo Gallery: Gambia Site Visits


(all images by Nadji.Bi)

    

    

    

  

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Agrivoltaics for Mali & The Gambia (APV-MaGa): Sustainable Electricity Production by Integrated Food, Energy and Water Systems

Volume 1 / February 2021


APV system built in southern Germany by Fraunhofer ISE. Food crops and electricity can be harvested on the same plot of land.


Dear APV-MaGa partners,

Communication is now more than ever of key importance for the development of this project, particularly amidst this new normal as a result of which, we have not had the opportunity to host a physical meeting. Nonetheless, in keeping with the objectives of the project, and in order to keep us all up to date with the latest news, we have decided to extend the projects communication by way of a monthly newsletter. This first newsletter is just one of more updates to come!
Working in the face of a pandemic has presented new challenges for us all. It shaken the very basis of our society and put at risk many lives, ideas and dreams. This project has not been an exception, and has demanded adaptations in how we collaborated including our planned goal to kick-off the project in a physical meeting, which was aimed at strengthen our commitment to the project and concretizing future outputs and outcomes. However, we continue to leverage virtual tools to start the project and, as of today, we are putting measured to smooth the challenges that this new situation demands. In this regard we are planning an online pre-kick-off workshop on March 18th 2021, intended to promote further cooperation and engagement between all partners. We hope the online pre-kick-off workshop will strengthen our engagement, identify roles and strengths among the partners.
Apart from holding regular meetings, we intend to disseminate more information about the project management. Good news first! The cooperation agreement was signed last December 2020 by all the German partners, marking an important legal milestone for the completion of the project. Country specific project updates follow!


In The Gambia

Significant progress has been made in identifying the potential four project demonstration sites in The Gambia. The University of the Gambia (UTG) farm has been selected as one of the four sites in The Gambia. Prof Sidat Yaffa, Director of West African Science Service Center on Climate Change and Adapted Land Use-Doctoral Research Programme on Climate Change and Education-The Gambia and Professor of Agronomy at University of the Gambia has further reaffirmed the support of the University and graduate program for the successful implementation of the project on site and in the country as a whole. Furthermore, in close cooperation with the Gambian colleagues, especially Mr. Julien Potron and Mrs. Maimuna Drammeh from Nadji.Bi Gambia, FAO Gambia, National Agricultural Research Institute (NARI) Gambia and UTG, potential sites are being shortlisted for the APV location in The Gambia.
Site selection is one of the first and most crucial steps of the project since it determines the feasibility of the project. More than 56 potential sites have been shortlisted by Team Gambia. This number needs to be narrowed down to three sites which complete the total number of demonstrators in the Gambia. University of Freiburg will be in close contact with them to assess potential business models based on “energy services”, as neither grid injection nor electricity trading is possible in The Gambia due to the existent regulatory framework. Good work!

“Goals are dreams with deadlines”

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2020​

AVIS DE SELECTION D’APPRENANTS POUR FORMATION ET INCUBATION A L’ENTREPRENEURIAT SOLAIRE – QUALISOLAIRE SENEGAL – COHORTE 2

Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’appui au Développement des Compétences et de l’Entreprenariat des Jeunes (PDCEJ), financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) et l’Etat du Sénégal, NADJI.BI Sénégal lance la deuxième campagne de recrutement de 35 apprenants, porteurs d’un projet entrepreneurial dans le domaine du solaire, âgés de 19 à 45 ans et de nationalité sénégalaise, titulaire au minimum d’un Bac scientifique ou technique, d’un BTI, d’un certificat de spécialités en solaire ou d’un diplôme équivalent, et ayant des prérequis dans le domaine de l’électricité.

Les formations se dérouleront à Dakar pour une durée de 6 mois de cours (théorie et pratique), au sein du CFPT Sénégal/Japon, à partir du 15 janvier 2021.

Les meilleurs projets entrepreneuriaux bénéficieront d’une incubation de 6 mois, avec une possibilité de financement pour la réalisation de leur projet.

Le dossier de candidature est composé de :

Une copie de la pièce d’identité ;

Un CV ;

Une lettre de motivation ;

Une présentation de l’idée de projet entrepreneuriat en 1 page (avec la localisation potentielle du projet – ville ou région)

Les dossiers de candidatures seront reçus exclusivement en ligne, jusqu’au 24 décembre 2020 à l’adresse suivante :

http://pdcej.qualisolaire-senegal.com

Efficiency for Access Research and Development Fund - Nadji.Bi Lauréat avec son projet de moulin solaire connecté

Notre projet a obtenu un financement dans le cadre de l’appel de financement «Enabling Technologies» du «Efficiency for Access Research and Development Fund», qui est soutenu par UK aid et IKEA Foundation. Cela nous aidera à développer une solution de moulin à mil solaire et un modèle commercial pour la mettre en œuvre.

Le Fonds de recherche et de développement Efficiency for Access a octroyé à 20 organisations un financement total de 2,9 millions de livres sterling pour développer des projets de technologie d'appareils à énergie solaire qui aideront à uniformiser les règles du jeu tout en faisant face à l'urgence climatique dans certains des pays les plus pauvres du monde. Le programme Modern Energy Cooking Services finance six projets de cuisson propre dans le cadre de cet appel à propositions.

Pour en savoir plus sur le Fonds de recherche et de développement Efficiency for Access, cliquez ici: https://bit.ly/34NxFEu

 

Formation en entrepreneuriat solaire: QualiSolaire Sénégal déroule  

Ils sont 25 jeunes venus d’horizons diverses à composer la 1ere cohorte des apprenants en Entrepreneuriat solaire.

Cette initiative est le fruit de la convention de partenariat signée entre le Projet d’appui au Développement des Compétences et de l’Entreprenariat des Jeunes (PDCEJ) et la structure dénommée Nadji.Bi Sénégal, avec l’appui technique du Centre de Formation Professionnelle et Technique (CFPT/ Sénégal-Japon).

Lors de l’amphi d’entrée du 11 septembre 2020, les autorités des 3 structures (PDCEJ, NADJI BI et CFPT) ont attiré l’attention des apprenants sur le caractère sélectif de la formation et le caractère innovant des thématiques et des approches qui seront développés durant leur parcours d’apprentissage. D’où la nécessité pour les jeunes de s’engager à participer à la réussite de l’organisation des cours qui vont aboutir à l’incubation et au financement des meilleurs projets, présentés par les jeunes.

Le Représentant du PDCEJ a salué le partenariat et l’engagement de NADJI.BI et du CFPT pour la réussite du projet. Il a profité de l’occasion pour rappeler l’objectif principal du projet qui consiste à contribuer à la croissance et à l’emploi à travers l’amélioration de la qualité de la main d’œuvre, de la compétitivité des entreprises et de l’entreprenariat des jeunes dans les secteurs porteurs de l’industrie et de l’agriculture.

Pour rappel, la convention de partenariat entre le PDCEJ et NADJI.BI, prévoit la formation de 350 jeunes à l’entrepreneuriat solaire parmi lesquels 300 seront choisis pour l’incubation et le coaching, sur la période de 2020-2023. 

 

https://pdcej.sn/formation-en-entrepreneuriat-solaire-qualisolaire-senegal-deroule/

AVIS DE SELECTION D’APPRENANTS POUR FORMATION ET INCUBATION A L’ENTREPRENEURIAT SOLAIRE

Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’appui au Développement des Compétences et de l’Entreprenariat des Jeunes (PDCEJ), financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) et l’Etat du Sénégal, NADJI.BI Sénégal recrute 25 apprenants, porteurs d’un projet entrepreneurial dans le domaine du solaire, âgés de 19 à 45 ans et de nationalité sénégalaise, titulaire au minimum d’un Bac scientifique ou technique, d’un BTI, d’un certificat de spécialités en solaire ou d’un diplôme équivalent, et ayant des prérequis dans le domaine de l’électricité.

Les formations se dérouleront à Dakar pour une durée de 6 mois de cours (théorie et pratique), au sein du CFPT Sénégal/Japon, à partir du 31 août 2020.

Les meilleurs projets entrepreneuriaux bénéficieront d’une incubation de 6 mois, avec une possibilité de financement pour la réalisation de leur projet.

Le dossier de candidature est composé de :

Une copie de la pièce d’identité ;

Un CV ; • Une lettre de motivation ;

Une présentation de l’idée de projet entrepreneuriat en 1 page (avec la localisation potentielle du projet – ville ou région)

Les dossiers de candidatures seront reçus jusqu’au 14 août 2020 aux adresses suivantes :

NADJI.BI SENEGAL : Bâtiment Tigo 3ème, Place du Martyr Mamadou DIOP, Mbour-Sénégal, Tél : 33 957 30 97

PDCEJ : Rue Hachamiyou TALL, ex. locaux du Ministère de l’Education Nationale, Bâtiment C, 2ème étage – Dakar-Sénégal, Tél : 33 864 68 37

Ou par Email : pdcej@nadjibi.com ou pdcej@pdcej.sn

After Continental Triumph, Gambian Owned Technology Firm Eying on $500k in Geneva

The winner of Seedstars Banjul Startup Pitching Competition in September 2019 has been selected among the top ten startups of Sub-Saharan Africa in the December Seedstars Africa Summit held in Johannesburg, South Africa.

Nadji-Bi, a Gambian owned technology solution provider focusing on diversifying solar energy across the country to support all-year-round agricultural production through smart irrigation, will now wait to compete for $500, 000 at the Seedstars Global Summit in Geneva, Switzerland in April.

Any startup that emerges as a winner will also be accorded with several other mentoring opportunities and face-to-face meetings with some of the world’s biggest investors.

The pitches were presented before the judges, mentors and investors and Nadji-Bi was considered based on the solutions it provided to address Gambia’s food self-sufficiency beyond seasonal rain-fed farming system.

The C.E.O of the company, Gabriel Latjor Ndow, anticipates being crowned the winner in April as he looks towards a serious expansion across the country and Africa as a whole.

“What my company needs at this stage is investment to scale up because our solutions are not just targeting Gambia. They are also for the entire African continent because these are real needs we found across,” he told The Chronicle.

“So having a big production center here will definitely be a big boost for us to be able to reach the market and, of course, to scale up our staffing, marketing profile and our manufacturing plans so that we can start going quickly.”

According to the FAO, only 6 percent of agriculture in Africa is being conducted by irrigation and the rest is all manual causing high labor intensive and low profit for farmers. Among the 6 percent of irrigation farmers, 83 percent of them are small scale farmers.

In South Africa, Nadji-Bi presented a smart irrigation system which is designed specifically for small scale farmers to ensure all-year-round irrigation farming.

“Our focus is more on smart devices because smarts solutions needed to be impacted on the real needs on the ground,” he said.

Ndow said the three days activity in Johannesburg have allowed them to pitch to show their solutions as businesses that they are offering.

“We are a technology solution provider, but we are also manufacturing solar as our key energy for our solutions. We developed a system that once you install a solar irrigation system, we can monitor the irrigation system even as far as in Basse or anywhere so that they can have efficient system all-year-round.”

According to him, this was already tested in a farm in Saloum, south bank of Central River Region which was already harvested three times successfully.

As a participating business in the contest organized by Seedstars, Ndow said he was exposed to several productive interactions and trainings with investors and mentors.

“We had meetings – one on one with investors that are interested in the African market and the objective is to showcase us to the investors. These meetings were held before the pitching day. The feedback from the investors and also from the training sessions with the mentors went towards point scoring. It was not an academic exercise, this were sessions for the investors that are seriously looking at investing in your company and they will give feedback as to your potential for them to invest and they rank and give your score based on.”

He now hopes to become the winner in April at the global stage. However, even without that, he has already secured his company an unquantifiable visibility and exposure.

“The platform gave us exposure and the investors are contacting me on a daily basis – looking at our profile and asking questions. So the visibility I got there could have taken me tens of thousands of dollars for marketing just to get these investors to pay attention to you. That’s a positive,” he told The Chronicle.

In September, Nadji-Bi emerged victorious in Seedstars Banjul pitching competition to represent the country in South Africa.

Seedstars is a Swiss-based private group of companies with a mission to impact people’s lives in emerging markets through technology and entrepreneurship.

https://www.chronicle.gm/after-continental-triumph-gambian-owned-technology-firm-eying-on-500k-in-geneva/?fbclid=IwAR0xJIF8Old-mODjsVy-NCbNhGRfEKPPDzGBhIP4Kfoct9qnmZO65FCHiCs

Seedstars Summit invites Gambia’s Nadji.bi to compete at Globals

Seedstars World, the largest seed-stage startup competition for emerging markets and fast-growing startup scenes, has come to its peak during the latest edition Seedstars Summit Africa in South Africa, on December 3rd to 5th. Seedstars, the leading emerging market startup community and investor, selected 10 startups amongst the most promising startups from the continent. The Gambia’s Nadji.bi founded by Gabriel Latjor NDow was among the 10 startups that will represent the African region at the Seedstars Summit 2020 in Lausanne, Switzerland and compete for the title of the Seedstars Global Winner, and up to USD 500,000 in equity investment and other prizes.

The other nine startups are Roque Online (Angola), Crop2Cash (Nigeria), Exuus (Rwanda), Pezesha (Kenya), OKO Finance (Mali), Nvoicia (Ghana), Vectra (South Africa), Afrikamart (Senegal), Teheca (Uganda),

“We have successfully developed and field-tested our innovative solutions, such as our smart solar milling machine, smart solar water irrigation system for small scale farms/gardens. This award will contribute significantly towards scaling up our production, staffing and marketing of our solutions in the region.” Gabriel Latjor NDow, CEO & Founder, Nadji.bi Gambia

According to reports from FAO, only 6% of cultivated farmings are done by irrigation in Sub-Saharan Africa. Meanwhile, 83% of all irrigation farming in Sub-Saharan Africa is done by small scale farmers who use inefficient farming technologies with very high operating expenses. Similarly, the post-harvest produce (vegetables, fruits) losses are very high in Africa – an average of 45% (in The Gambia it is 75%) is lost annually. Mr Ndow believes that this award will help them tap into this huge untapped market (e.g. irrigation farming – USD 150 Billion).

David Jeng, Founder of Bliss Executives and representative of Seedstars in the Gambia, also highlighted that Nadji.bi has the potential to scale and grow across the continent and should be supported. “We and our partners are committed to supporting the tech ecosystem of the Gambia to grow and create more jobs.”

More than just a tech conference, the Seedstars Summit Africa was an opportunity for all stakeholders involved to network and create added value for their impact-driven companies.

Before the main day, an intensive growth Bootcamp to teach the 45+ startups how to scale up their businesses. It was followed up by the Investor Forum where the startups had over 180+ one-to-one meetings with top local and international mentors and investors.

“It was very impressive to see all those entrepreneurs from 25+ countries coming together, learning from each other and getting constant support and feedback from mentors, investors, and other industry experts. On top of the content and the networking opportunities they are provided with, their energy is the cherry on the cake”, Anne-Alice Fievet, the Summit Manager.

Among the companies and institutions that made the Seedstars Summit Africa 2019 possible are Microsoft4Startups, the Embassy of Switzerland in South Africa, DOEN, African Development Bank Group, Tshimologong, the German Society for International Cooperation – GIZ, France24, Venture Burn, Tech Cabal, HYBR, THUD, Workshop 17, AlphaCode and others.

ABOUT SEEDSTARS


“They tried to bury us, they didn’t know we were seeds.” – Mexican proverb Seedstars is a Swiss-based private group of companies with a mission to impact people’s lives in emerging markets through technology and entrepreneurship. The groups’ activities cover over 80 emerging ecosystems through a variety of events such as the Seedstars World Competition, acceleration programs, physical hubs called Seedspace, venture capital investments and company building activities.

ABOUT SEEDSTARS WORLD COMPETITION

Seedstars World is the world’s largest startup competition in emerging markets. For the past six years, Seedstars Teams travel around for a 9-month world tour and scout for the best early-stage startups in 65+ countries, organizing 100+ events. One winner is selected to represent each country visited, and is invited to attend one of the 5 Regional Summits, reuniting all local winners of each region to network with regional investors, mentors and corporates. Local winners are also awarded the chance to represent their countries at the Seedstars Summit, the competition’s final happening in Switzerland, where startups compete for up to $500,000 in investment. The Seedstars Summit is the flagship event of Seedstars, filled with breakout sessions, panel discussions, specialized workshops and the best minds from emerging markets.

ABOUT NADJI.BI GAMBIA

Nadji.Bi is a pan-African start-up specializing in manufacturing smart solar devices/solutions. They conduct primary research and development in the local environment to tackle the myriad of energy challenges faced by Africans ranging from lighting, irrigation, food processing and storage, etc. The firm leverage solar energy, IoT, Big Data, Cloud computing, mobile payment Pay-As-You-Go (PAYGo), localised content and a plethora of modern technologies which make our devices ‘smart’. This way, they help customers become productive and efficient while lowering their operational costs.

https://businessingambia.com/seedstars-summit-invites-gambias-nadji-bi-to-compete-at-globals/

2019

Ten African startups have emerged winner of the Seedstars Africa Regional Competition. The startups were announced during the Seedstars regional summit held in Johannesburg.

In the past few months, we notified you of the startups that emerged local winners in Seedstars local competition in Africa.

The winners from each of this local competition participated in the 2019 Seedstar Summit Africa. This year, about 40 local startups that emerged from local competition, pitched at the Seedstars Summit Africa.

The 10 startups announced as winners at the Seedstars Summit Africa includes; 
- Exuus– A Rwandan piggy bank startup that helps people to save and invest money. 
- mVocia– This is a Ghana-based lending platform that helps small and medium business secures loans through their invoice data. 
- Pezesha- This is a secure Peer to Peer marketplace platform that allows Kenyans to securely loan funds to Kenyans via M-pesa. 
- Teheca (Uganda): This is a medical startup that connects new parents to nurses for in-home postnatal care services and support.
- OKO Finance (Mali): This startup provides smallholder farmers in emerging countries with index insurance and other farming-related services. 
- Afrikamart (Senegal): An agritech company that helps farmers address issues around market access, logistics, and sustainable agricultural practices. 
- Nadji Bi (The Gambia): A clean energy solution that uses solar to provide electricity to a potential 1 million customers. 
- Vectra (South Africa): A digital commerce company that builds retail solutions and e-commerce services for customers. 
- Roque Online (Angola): An e-commerce solution that helps merchants in the informal sector to get online, sell and deliver their products to customers. 
- Crop2Cash; a Nigerian startup that builds financial services for farmers and helping them send and receive money seamlessly.

The 10 startups will get the chance to pitch at the Seedstars World Summit in Switzerland to come April 2020 to win the grand prize of $500,000. 

Two more startups OKO Finance and Zafree were awarded individual prizes for the impact of their solutions. 

OKO Finance won the AfDB Job creation track and Zafree won the DOEN Foundation $10000 Prize.

Tech Gist Africa

https://www.techgistafrica.com/news/10-african-startups-emerged-winners-at-seedstars-africa-summit/

Winners announced at Seedstars Africa Summit

Ten startups have been announced as winners of the Seedstars Summit Africa 2019. Held in Johannesburg, South Africa, the summit is a competition for startups from different countries in Africa. First emerging through pitch contests and mentoring in over 20 African countries, the participating startups got their chance to pitch to an audience that included a number of Africa-focused investors.

This year, over 40 startups participated in the Seedstars Summit Africa. Over a four day period, the Summit helped startups to restructure their pitches, identify bullet points that would be interesting to investors and network to gain new connections across the continent.


Without further ado, here are the names of the 10 startups who emerged as winners: 
Exuus (Rwanda): A piggybank startup that helps people to save and invest their money. 
- mVocia (Ghana): A lending platform that helps small and medium companies secure loans based on their invoice data. 
- Pezesha (Kenya): A secure Peer to Peer marketplace platform that allows Kenyans to loan to Kenyans securely via M-pesa. 
- Teheca (Uganda): A medical startup that connects new parents to nurses for in-home postnatal care services and support. 
- OKO Finance (Mali): provides smallholder farmers in emerging countries with index insurance and other farming-related services. 
- Afrikamart (Senegal): An agritech company that helps farmers address issues around market access, logistics and sustainable agricultural practices. 
- Nadji Bi (The Gambia): A clean energy solution that uses solar power to provide electricity to a potential 1 million customers. 
- Vectra (South Africa): A digital commerce company that builds retail solutions and e-commerce services for customers. 
- Roque Online (Angola): An e-commerce solution that helps merchants in the informal sector to get online, sell and deliver their products to customers. 
- Crop2Cash (Nigeria): A Nigerian startup that is building financial services for farmers and helping them send and receive money. 

All ten startups will get the chance to pitch at the Seedstars World Summit in April 2020 in Switzerland to win the $500,000 prize money.

Two other startups won individual prizes for the potential impact of their solutions. 

OKO Finance, the startup from Mali, won the Job Creation Track sponsored by the African Development Bank (AfDB). While Zafree, a startup that is manufacturing paper sustainably without cutting trees, won the DOEN Foundation Land Restoration Prize. 

The DOEN Foundation Prize is a $10,000 prize that could help the Ethiopian Zafree scale its business and build out its manufacturing operations.

Abubakar Idris

https://techcabal.com/2019/12/06/winners-announced-at-seedstars-africa-summit/

Seedstars ​World, ​a seed-stage startup competition for emerging markets and fast-growing startup scenes, has selected 10 startups from Africa at the recent Seedstars​ Summit Africa​in South Africa.

Seedstars World selected Roque​ Online (Angola), Crop2Cash​ (Nigeria), Exuus​ (Rwanda), Pezesha​ (Kenya), OKO​ Finance (Mali), Nadji​.bi, Gambia (The Gambia), Nvoicia​ (Ghana), Vectra​ (South Africa), Afrikamart​ (Senegal), Teheca​ (Uganda)as the​ most promising startups from continent.

Txapita from Mozambique was given a wildcard to participate in the global summit as well. They will represent the African region at the Seedstars Summit 2020 in Lausanne, Switzerland and compete for the title of the Seedstars​ Global Winner,​ and up​ to USD 500,000 in equity investment and other prizes.

The other startups invited to pitch were Track Your Build (Sierra Leone), Yetu Pic (DRC), Sheria Kiganjani (Tanzania), Apptorney (Zambia), Digital Renter (Cameroon), Ocliya (Malawi), Eco Warriors (Mauritius, Lifiled (Côte d’Ivoire), GlocalTravel.io (Zimbabwe), Mohiri (Botswana), Passafree (Cape Verde), Macquarie Medical Care (Namibia), WhyToyz (South Africa).

Additional prizes were awarded to Zafree​ Papers,​ from Ethiopia, who won a 10,000 USD grant prize for its business as the winner of the Land​ Restoration Prize in partnership with DOEN, as well as OKO finance from Mali who will receive 3 months’ access to the investment readiness program as the winner of the Job Creation Prize in partnership with the African Development Bank.

More than just a tech conference, the Seedstars Summit Africa was an opportunity for all stakeholders involved to network and create added value for their impact-driven companies.

A number of additional prizes were also handed out, with Ethiopia’s Zafree Papers winning the US$10,000 Doen Land Restoration Prize, and OKO Finance receiving three months of access to an investment readiness programme after winning the Job Creation Prize. 

“It was very impressive to see all those entrepreneurs from 25+ countries coming together, learning from each other and getting constant support and feedback from mentors, investors, and other industry experts. On top of the content and the networking opportunities they are provided with, their energy is the cherry on the cake”, Anne-Alice Fievet, the Summit Manager.

By Gbenga Ajao  

https://tech.africa/seedstars-world-10/

11 African startups win places at the Seedstars World global final

Eleven African tech startups have secured their places at the global final of the Seedstars World competition in Switzerland next year, where they will compete for US$500,000 in equity investment.

Seed-stage startup competition for emerging markets Seedstars World is selecting national winners from all over the world, and hosted African events in Kenya, Ghana, Tanzania, Egypt, Morocco, Senegal, Sierra Leone, Angola, The Gambia, Rwanda, the Democratic Republic of Congo (DRC), Cape Verde, Tunisia, Malawi, Cameroon, Mauritius, Uganda, Libya, Zimbabwe, Ivory Coast, Mozambique, Zambia, Mali, Botswana, Nigeria, Namibia, Cape Town and Johannesburg.

Those startups convened this week for the Seedstars regional summit, also in Johannesburg, and pitched for the chance to join selected startups from other regions at the Seedstars Summit in April next year. There, they will have the chance to secure US$500,000 in funding, as well as a host of other prizes.

Also selected were Mali’s Oko Finance, which has developed a turnkey crop insurance platform for emerging markets; Ghana’s Nvoicia, which helps small businesses with unpaid invoices gain access to working capital loans; Senegal’s Afrikamart, which helps farmers tackle challenges around access to market and logistics; and The Gambia’s Nadji.Bi, an innovative, sustainable solar solution.

The list is completed by South African digital commerce platform Vectra, Nigeria’s Crop2Cash, which provides a number of digital services to smallholder farmers, and Angola’s Roque Online, which helps informal market vendors and service providers manage themselves as micro-enterprises.

Mozambican transport startup Txapita takes the 11th spot after being picked as a wildcard entry. 

A number of additional prizes were also handed out, with Ethiopia’s Zafree Papers winning the US$10,000 Doen Land Restoration Prize, and OKO Finance receiving three months of access to an investment readiness programme after winning the Job Creation Prize. 

North African winners will take part in the Middle East and North Africa (MENA) regional event on Thursday, December 12 in Casablanca.

“So having a big production center here will definitely be a big boost for us to be able to reach the market and, of course, to scale up our staffing, marketing profile and our manufacturing plans so that we can start going quickly.”

According to the FAO, only 6 percent of agriculture in Africa is being conducted by irrigation and the rest is all manual causing high labor intensive and low profit for farmers. Among the 6 percent of irrigation farmers, 83 percent of them are small scale farmers.

In South Africa, Nadji-Bi presented a smart irrigation system which is designed specifically for small scale farmers to ensure all-year-round irrigation farming.

“Our focus is more on smart devices because smarts solutions needed to be impacted on the real needs on the ground,” he said.

Ndow said the three days activity in Johannesburg have allowed them to pitch to show their solutions as businesses that they are offering.

“We are a technology solution provider, but we are also manufacturing solar as our key energy for our solutions. We developed a system that once you install a solar irrigation system, we can monitor the irrigation system even as far as in Basse or anywhere so that they can have efficient system all-year-round.”

According to him, this was already tested in a farm in Saloum, south bank of Central River Region which was already harvested three times successfully.

As a participating business in the contest organized by Seedstars, Ndow said he was exposed to several productive interactions and trainings with investors and mentors.

“We had meetings – one on one with investors that are interested in the African market and the objective is to showcase us to the investors. These meetings were held before the pitching day. The feedback from the investors and also from the training sessions with the mentors went towards point scoring. It was not an academic exercise, this were sessions for the investors that are seriously looking at investing in your company and they will give feedback as to your potential for them to invest and they rank and give your score based on.”

TOM JACKSON 

https://disrupt-africa.com/2019/12/10-african-startups-win-places-at-the-seedstars-world-global-final/

Il est passionnant de suivre l’engouement autour de l'entreprenariat en Afrique et particulièrement la synergie qui s’opère avec le numérique ces 10 dernières années.

Les solutions qui visaient à développer des systèmes purement numériques ne sont plus... Le retour à une véritable analyse du contexte ou le manque de formation et d'encadrement sur les projets ont eu raison de beaucoup d'initiatives avec pour résultat concret une réorientation plus efficiente et profitable des services proposés. En marge les projets qui incluent le numérique, porté par un nombre grandissant d'acteurs, est devenu non plus un axe majeur mais un réel levier en synergie des thématiques du développement. Les femmes sont bien souvent les représentantes de ces thématiques dans les projets, elles y développent donc logiquement un savoir-faire indispensable avec une légitimité plus que jamais d'actualité. Des femmes qui s'impliquent au coeur des dispositifs et qui savent, que quels que soient l'échelle le produit sa réplicabilité ou ses bénéficiaires que ce qui rendra le projet viable, c'est son rôle indispensable de service. Un service en adéquation avec le contexte et les spécificités du marché local. Une analyse précieuse mais hélas trop rarement mise en avant.

Des entrepreneuses dans l'énergie renouvelable

L'énergie reste et restera pendant de nombreuses années une des thématiques majeures du développement, ceci plus en Afrique que n'importe où. Même si plusieurs centaines de millions d'africains rêvent du grand barrage hydraulique d'Inga au Congo, du désert de panneaux solaires dans le Sahara ou de la muraille verte et de sa composante biomasse il va falloir répondre concrètement et de plus en plus vite à la demande énergétique croissante en attendant ces projets aussi miraculeux que passionnants. Ils sont plus de 700 millions à vivre sans aucune source d'énergie selon la Banque Mondiale.


C'est dans cette démarche utile, scalable et véritablement orientée service que se ruent de nombreux investisseurs réunis dans les fonds de dotation, le private equity avec les investisseurs en capital venture, les banques de développement avec du prêt, des garanties ou du don, mais aussi de plus en plus de micro initiatives plus passionnantes les unes que les autres. Les femmes, pourtant pilier de l'économie en Afrique sont seulement bénéficiaires de moins de 38% de ces financements.Paradoxalement ce sont elles qui mettent en place le plus de kit SHS, Solar Home System. Elles en démocratisent l'usage et jamais ne font machine arrière en revenant à l'utilisation d'énergies fossiles.

Des projets avec des thématiques transverses et à l'échelle avec les ODD en toile de fond.

Les thématiques soutenues comme la santé, l'éducation, l'agriculture, l'entrepreneuriat ou l'énergie sont systématiquement représentatives des défis que l'Afrique doit relever pour répondre aux objectifs de développement durables, les ODD.

En effet pas d'agriculture sans eau, pas d'industrialisation sans énergie, pas d'éducation sans infrastructures, et comme évoqué plus haut en attendant que d'ici 5, 10 ou 15 ans les grands projets répondent à une demande de centaines de millions d'usagers il faut développer immédiatement des solutions à échelle humaine. L'objectif c'est que les populations puissent s'approprier les solutions rapidement et surtout à un coût abordable. N'oublions pas que le 7ème Objectif de Développement Durable (ODD) c'est l'électrification universelle pour tous mais aussi à différentes échelles et selon les contextes. Le sujet est présenté dans un film réalisé sur les énergies renouvelables à différentes échelles dans différents projets au Sénégal : https://youtu.be/lz1tvLtT0wc. Un des épisodes de la série Acteurs du Développement.

Des femmes pilier du développement numérique

Que ce soit en 2017 et 2018 lors des CongoTechDays de Lubumbashi, à Libreville pour le Forum du numérique et du Développement de l'Institut Français, à la Kinshasa Digital Week d'avril 2019, pour le Africa CEO Forum de Kigali en mai 2019, pour la Fondation Solar Impulse où je suis jury, lors d'Africarena en Afrique du Sud en novembre 2019 ou à l'Agence des Micro Projets où nous soutenons financièrement une centaine de projets en Afrique par an, je suis toujours aussi surpris par l'engagement, la motivation et surtout la vision à long terme des projets portés par les femmes.

Non seulement elles sont présentes dès l'initiative mais elles déplacent de véritables montagnes en passant outre les difficultés chroniques du continent que sont la corruption, le manque d'infrastructures ou les préjugés dont elles sont victimes. Les femmes s'engagent et ne lâchent rien, elles sont unanimement reconnues comme un pilier de l'économie africaine.

Sénégal : des moulins à moudre le céréale solaire.

Le projet d'énergie solaire pour développer un moulin à moudre le mil au Sénégal en est un des exemples. Les femmes isolées du village Samaane, isolé dans la région de Thiès se sont regroupées en coopératives. Avec l'appui d'une association française et d'une entreprise sénégalaise innovante, NadjiBi, elles ont conçu le moulin à moudre le mil solaire : un moulin mécanique connecté à des batteries alimentées par des panneaux solaires et couplé à un système de paiement mobile. Réduction des coûts, réplicabilité, suppression du bruit, de la pollution des échappements de l'ancien moteur, suppression de la logistique de carburant, du coût énergétique et au final une production de la farine de mil n'a enfin plus le goût de gasoil. Les villages alentours attendent avec impatience que la production s'accélère afin de s'équiper de cette macro industrialisation. Aux oubliettes le pilon cet outil de pénibilité et le moteur gasoil coûteux sale et abominablement bruyant... Mieux produire le mil, cette céréale ancestrale permettra de réduire les importations de riz.

Togo : un garage école pour former les jeunes aux nouvelles technologies dans l'automobile

Un garage école éco-responsable avec 100% de la production d'énergie par photovoltaïque ? Une femme septuagénaire est aux commandes de cette innovation qui vise à former les jeunes aux véhicules anciens qui arrivent d'Europe mais bardés d'électroniques. Ils arrivent par milliers chaque année dans les ports d'Afrique de l'Ouest. Le garage école est à 70 kilomètres au nord de la capitale et impose par son modernisme et son équipement dernier cri avec des tablettes tactiles permettant de diagnostiquer sans démonter au préalable n'importe quel type de véhicule. Les jeunes, dont 60% sont des femmes, sont formés avec des tablettes liés à des connecteurs sur la détection de pannes et l'évaluation des réparations avec des diagnostiques 100% fiables. Un gain de temps, de fiabilité, de sécurité et une réplicabilité dans l'ensemble du pays. En effet de nombreux garages de la capitale et du nord du pays s'équipent. L'équipe du garage représente fièrement ce qu'il est possible de proposer aux femmes, aux jeunes en matière de création d'emplois dans cette filière.

Guinée : apiculture, agroforesterie, eau et énergie propre.

Au nord de la Guinée sur un périmètre regroupant 11 villages près de Gaoual des femmes pilotent une coopérative de production de miel avec un business model impliquant de nombreux partenaires. C'est en mêlant apiculture et agroécologie qu'elles ont réussi à faire croître leurs revenus de 60% en 3 ans. L'élément clef ? Des forages répartis sur toute la zone avec des pompes immergées électriques connectées à des panneaux solaires. Le point d'orgue c'est la filtration par UV qui permet de rendre l'eau potable pour les villageois qui vivent sur les parcelles. La production est telle que le miel est désormais vendu à Conakry la capitale et dans la région où il est produit l'environnement est préservé car la pratique de la culture sur brûlis, impossible avec les ruches, est abandonné.

Rwanda, les femmes aux commandes des citernes d'eau connectées

Au nord du Rwanda sur plus de 250 hectares un groupement de femmes pilotent l'ambitieux programme des 1 000 citernes. Avec un groupe WhatsApp elles déterminent les familles, les zones et les consommations. Une application mêlant analyse hydrique et cartographie (SIG) permet d'identifier les zones les plus urgentes ou sensibles, c'est dans ces zones que le projet devient prioritaire. Des citernes y sont installées et connectées avec des pompages solaires. 30% des citernes communiquent entre-elles et permettent de vendre le surplus d'eau aux familles et d'en offrir au plus nécessiteux. 350 nouvelles citernes vont être déployées en 2019. Deux régions du sud souhaitent aussi s'équiper du système.

Bénin, à Ganvié la région lacustre, c'est au fil de l'eau que la cyber pirogue solaire ouvre une porte sur l'internet

Les jeunes scolarisés dans la commune de So-Ava peuvent profiter de formations au numérique avec apprentissage des outils internet sur une cyber pirogue. Ce bateau numérique  accoste une fois par semaine dans leurs écoles isolées de toutes voies terrestres. Cette cyber pirogue est équipée d'un toit solaire avec un système d'antennes 3g, de batteries et de 12 ordinateurs portables connectés. Deux formatrices assurent l'apprentissage pour les plus jeunes qui n'en croient pas leurs yeux. Saisissant des mots dans un moteur de recherche ils voient apparaître les poissons que la famille pèche ou les spécificités de leur environnement et sont sensibilisés sur sa préservation. Deux autres pirogues doivent être mise en place en 2020 et la chaîne Arte est était en tournage fin 2019 pour faire connaître cette initiative.

Bien au-delà de l'apprentissage du web et de l'univers des technologies par cette pirogue mobile et à énergie propre c'est la mixité hommes femmes dans l'apprentissage dont il est question. Ouvrir les espaces pour tous sans restrictions.

Des femmes entrepreneures en mode "Agile"

Ce qui est fondamental sur ces projets portés par différentes femmes entrepreneures c'est qu'elles ajoutent systématiquement de l'innovation et quasiment toujours avec du numérique en mode "service". Elles privilégient intuitivement des systèmes simples pour commencer comme un groupe WhatsApp sur un compte professionnel ou une application de mobile monnaie, de cartographie, de pilotage de données. Mais elles restent pragmatiques, conscientes du contexte et démarrent à la bonne échelle, se fixent des objectifs à atteindre avec un agenda fixé à l'avance. Elles sautent une étape s'il le faut, changent de prestataire si le besoin s'en fait sentir. Finalement ces femmes adoptent toute la fameuse approche projet qui fait la réussite des projets numérique 3.0 que nous connaissons : Agile !

Des entrepreneuses de confiance depuis toujours

Il n'est pas besoin de faire de grandes analyses, que ce soit sur les nano, micro, méso ou macro projets les femmes sont devenues le maillon fort de l'écosystème entrepreneurial en Afrique. Ce n'est pas nouveau elles l'ont toujours été à différents niveaux. Je l'ai constaté depuis 1988 lors de mes premiers voyages en Afrique. Ce qui pour moi leur donne une incroyable légitimité c'est la force avec laquelle elles s'emploient à déployer les projets, à mobiliser les acteurs et à parvenir à un aboutissement.

Mais en Afrique et dans une majeure partie des 54 pays, entreprendre est extrêmement complexe. C'est dans ce cadre éprouvant que les femmes me consultent souvent par le biais des réseaux sociaux pour une aide sur des Business Plan, conseils, Proof of Concept (POC) qui allient des thématiques du développement comme l'eau, la santé, l'éducation, l'agriculture ou l'énergie et avec systématiquement un volet numérique. Je suis dans ce cadre souvent stupéfait de la faculté des femmes à mettre en réelle synergie innovation technologique et pragmatisme dans des projets concrets et rapidements viables.

Cette innovation frugale c'est exactement ce que j'ai retrouvé dans l'événement Africarena à Cape Town en Afrique du Sud ou plus de 80 Startup africaines présentaient leurs innovation au investisseurs en Capital risque, 70% des entreprises sont portés par des femmes et 40% des investisseurs en capital risque sont aussi des femmes. En étant jury sur 8 challenges j'ai pu découvrir des innovations passionnantes mais toujours pragmatiques, des technologies disruptives mais simples d'usage, un monde en mouvement incroyablement dynamique avec des acteurs du développement passionnés et engagés. L'édition 2019 était inoubliable et marquée par quelques changements intéressants comme le fait de faire aussi pitcher les investisseurs. Avec bien sûr en toile de fond l'espoir d'améliorer la condition de vie de milliers d'utilisateurs en insistant pas seulement sur les business model mais sur l'impact.

Thierry Barbaut - www.barbaut.com
Directeur Numérique de l'ONG La Guilde et consultant international
 
Spécialisé sur l'innovation et les nouvelles technologies en Afrique depuis 20 ans. Développement et animation de réseau de plateformes collaboratives et dématérialisée permettant l'incubation et le financement de projet entre bailleurs de fonds ou de private equity. Passionné des thématiques ou les nouvelles technologies agissent en levier : santé, énergies renouvelables, agriculture, éducation, entrepreneuriat et protection de l'environnement.

https://afrique.latribune.fr/decideurs/parcours-de-femme/2019-11-27/en-afrique-le-numerique-en-levier-de-l-entrepreneuriat-pour-les-femmes-833690.html

Entretien avec Audrey Kakpohoue, l'un des inventeurs de Solar Water Pulse et finaliste d’EDF Pulse Africa au Sénégal

Qu'on ne s'y trompe pas ! Nadji.Bi a été créée en 2014 par le franco-sénégalais Julien Potron. Cette start-up propose un système de pompage solaire connecté et utilisable via le modèle PAYGO : une manière de faciliter et optimiser la gestion de l’eau pour les agriculteurs sénégalais. L'idée est de rendre l’agriculture africaine « smart-agri » afin de renforcer l’autosuffisance alimentaire sénégalaise. Derrière cette invention se cache entre autres Audrey Kakpohoue. Il a à peine 25 ans et est titulaire d'un diplôme d'ingénieur en électricité et diplômé d'un Master obtenu à l'African Institute of Mathematical Science. Il est autant à l'aise avec la conception électronique, la programmation logicielle que la crytographie. Rencontre avec Audrey Kakpohoue, Directeur du département recherche et développement de Nadji.Bi.

54 ETATS : Comment est née votre envie de développer ce projet ?

Audrey Kakpohoue : Le projet Solar Water Pulse pour lequel j'espère être récompensé par EDF PULSE AFRICA _lors de la finale du 21 novembre_ a débuté au Sénégal, sur la Grande-Côte, entre Dakar et Saint-Louis, dans la région de Niayes. Là, les eaux précieuses et les sols fertiles, ainsi que des pluies régulières ont permis que se développe une culture maraîchère prospère, abritée de l'ensablement par un cordon de filaos. Je suis restée avec mes collègues de Nadji.Bi plus d'une semaine avec les Niayes à Mboro, à partager leur quotidien et leur repas, à ressentir l'hospitalité sénégalaise qu'ils appellent fièrement Teranga. Cette attitude qui fait que vous vous sentez toujours entouré, que vous êtes constamment bien accueilli, que vous avez la certitude de pouvoir faire confiance à une personne que vous connaissez à peine, que vous vous sentez bien tout simplement.

En discutant avec eux, nous avons découvert que la région de Niayes a beaucoup de potentiel. Les maraîchers sont propriétaires de la terre, ils ont de l'eau et le dynamisme qu'il faut pour travailler. Pourtant, malgré toutes ces richesses, les Niayes à Mboro restent pauvres. C'est un constat qui rend triste ! Alors, nous nous sommes dit que si ces gens avaient une pompe solaire munie d'un système d'irrigation automatique, ils économiseraient sur la main-d'oeuvre et l'argent dépensé dans les motopompes. Ce serait un réel levier de croissance pour leur activité.

C'est ainsi qu'est né Solar Water Pulse. Notre pompe solaire sur laquelle est greffé un boîtier électronique permettant la connectivité et de réaliser un système de remboursement progressif (Pay As You Go), rendant ainsi la solution accessible aux populations rurales alors que ces systèmes sont généralement dédiés aux populations urbaines ou péri-urbaines.

54 ETATS : Pourquoi un tel projet et en quoi est-il innovant ?

Audrey Kakpohoue : La problématique d'autonomisation de l'agriculture et d'accès au pompage solaire dans les zones rurales africaines d’accès à l’eau en zone rurale est réelle et représente un frein au développement économique des régions. C'est une souffrance quotidienne pour les exploitants agricoles d'arroser leur culture. Le Solar Water Pulse vient soulager les peines de ces populations en rendant les pompes solaires accessibles et en offrant l'automatisation de l'irrigation.

54 ETATS : Et le côté innovant technologiquement parlant ?

Audrey Kakpohoue : Le côté innovant de la solution provient des développements software que Nadji.Bi a incorporé, en particulier, un système de contrôle et de commande à distance, ainsi que prochainement, la prise en compte d’un ensemble de données provenants de capteurs pour adapter automatiquement l’arrosage au besoin hydrique réels des plantes. La société compte s'appuyer sur l'intelligence artificielle pour mieux maîtriser l’eau dans ces régions. La pompe sera ainsi contrôlée à distance par l'utilisateur grâce à l'application Nadji.Bi. disponible sur Android.

54 ETATS : Quel est votre modèle économique ?

Audrey Kakpohoue : Le modèle de distribution dépend beaucoup des partenaires financiers, essentiels pour rendre la solution accessible à notre cible. Nous avons des partenariats avec des banques et principalement avec la Banque Agricole du Sénégal pour ce produit qu'ils paient à une certaine hauteur et en assumant le recouvrement via la plateforme PAYGo. Nadji.Bi assure le recouvrement restant en PAYGo. Ses agents s'occupent de l'installation et de la maintenance. Nous avons une large gamme de pompes tri-phasées à choisir en fonction de la taille de l'exploitation. Le prix varie entre $2000 et $5000 par pompe. Un forfait annuel peut également être facturé pour la connectivité et le service après-vente à $60.

Nous voulons peser dans le marché africain au niveau de l'usage productif des produits solaires et EDF PULSE AFRICA peut nous aider, tout d'abord à avoir une belle visibilité, puis  à être rapidement un des leaders du marché. Ainsi, avec EDF PULSE AFRICA, nous pourrions trouver des partenaires, des investisseurs pour impacter davantage l'agriculture africaine.

54 ETATS : Et le mot de la fin ?

Audrey Kakpohoue : La gestion intelligente des ressources ainsi que la digitalisation et l'inclusion financière de l'agriculture faite par les africains et pour les africains est en marche.

PRISCILLA WOLMER

Directrice de la rédaction

http://www.54etats.com/fr/entretien-avec-audrey-kakpohoue-l-un-des-inventeurs-de-solar-water-pulse-et-finaliste-d-edf-pulse

Lancement national de PDCEJ à Kaolack : Un financement de 13 milliards FCFA destiné aux jeunes  

Le Ministre de l’emploi de la formation professionnelle et de l’artisanat, M. Dame Diop a procédé hier au lancement du projet d’Appui au développement des compétences et de l’entrepreneuriat des jeunes dans les secteurs porteurs. La cérémonie a enregistré la participation des jeunes du conseil national de la jeunesse, des étudiants, les élèves de la formation professionnelle, les maires, les présidents de conseil départementaux mais aussi des jeunes et femmes entrepreneurs venant de 5 régions.

Le ministre de l’emploi, de la formation professionnelle et de l’artisanat, M Dame Diop a souligné que le projet d’appui au développement des compétences et de l’entrepreneuriat des jeunes dans les secteurs porteurs (PDCCEJ) est une initiative de l’Etat du Sénégal. Et il est appuyé par la Banque Africaine de Développement (BAD), à travers le fonds Africain de Développement (FAD). Le projet est mis en œuvre par le Ministère de l’emploi, de la formation professionnelle et de l’artisanat pour un coût global de 13 milliards F CFA.

Selon le ministre, l’objectif est de contribuer à la croissance et à l’emploi à travers l’amélioration de la qualité de la main- d’œuvre, de la compétence et de l’entrepreneuriat des jeunes dans les secteurs porteurs de l’industrie et de l’agriculture.

« Nous sommes aujourd’hui à Kaolack pour procéder au lancement National du projet d’appui au développement des compétences et de l’entrepreneuriat des jeunes dans les secteurs porteurs dont l’objectif est de mettre en œuvre un programme de formation et d’incubation pour 3000 jeunes, former 2000 jeunes dans les métiers des hydrocarbures, construire ou Réhabiliter et équiper 3 centres de formation sur les métiers cités et aussi mettre à niveau 250 entreprises, aménager le Plaza de Ross Béthio pour la riziculture mais assurer le financement des plans d’affaires de 250 entreprises et 700 statuts (ligne de crédit de 2 milliards FCFA) », a laissé entendre le ministre

Le projet s’articule sur trois composante: Appui au développement des compétences et entreprises, Développement de l’entrepreneuriat des jeunes et Coordination et gestion du projet.

Selon le ministre, le projet intervient au niveau de 5 régions (Dakar, Kaolack, Saint Louis et Ziguinchor) dont les secteurs d’intervention sont hydrocarbures (pétrole et Gaz) ; cuirs et peaux ; Energie solaire et Agrobusiness pour une durée de 5 ans (2019-2023) pour un montant de 13 milliards FCFA.

Toujours d’après le ministre, ce projet s’inscrit dans le cadre de préparer les jeunes à l’exploitation de gaz, raison pour laquelle il y a le pétrole et le gaz mais aussi le métier de l’agrobusiness enfin cuirs et peaux.

Le projet va former 200 jeunes pour le pétrole et le gaz, 1500 jeunes pour l’agro-alimentaire, 1000 jeunes entrepreneurs.

http://www.lactuacho.com/lancement-national-de-pdcej-a-kaolack-un-financement-de-13-milliards-fcfa-destine-aux-jeunes/

https://www.youtube.com/watch?v=zaD9p-16_CI

Le soleil peut moudre le Mil au Sénégal – Association Village Samaane

Depuis 2005, l’Association Village Samaane Sénégal met en œuvre des réponses concrètes aux besoins exprimés par les villages de brousse au Sénégal (Département de M’Bour, Région de Thiès). Elle travaille en synergie avec les autorités locales, dans les domaines de la santé, de l’éducation et des activités génératrices de revenus et avec le souci d’un développement respectueux des personnes et de l’environnement.

Le projet MIL SOLEILs pour les femmes de Aga Biram se composait de 2 volets simultanés :

– financement de classes d’alphabétisation fonctionnelle (CAF) en langue sérère à destination de femmes du village de Aga Biram

– mise au point avec un partenaire professionnel d’un prototype de moulin à mil (céréales) fonctionnant avec l’énergie photovoltaïque, dans les conditions organisationnelles, techniques et climatiques propres aux villages de brousse au Sénégal.

L’évaluation réalisée après 3 mois d’usage s’avère positive avec :

– bon état du matériel (local, panneaux solaires, batteries, matériel électrique et mécanique)

– le suivi par l’entreprise Nadji Bi, dans le cadre d’un contrat de maintenance signé avec l’association pour une durée de 2 ans

– une bonne gestion avec un meunier responsable et son adjoint, un comité de gestion présidé par une des femmes précédemment alphabétisée

– une bonne productivité en rapport avec les caractéristiques du moulin et une mouture de mil de bonne qualité.

Le très grand succès des cours d’alphabétisation en langue sérère (majoritaire dans le village) a permis d’augmenter les capacités des femmes dans leur prise de décision. Elles sont aussi bénéficiaires à 100% du moulin qui améliore de manière non négligeable leur revenus mais aussi leur santé car elles n’inhalent plus de fumée toxique. Un projet qui fait la fierté du village et qui donne des idées aux groupements alentours.

Un projet innovant et qui répond à une demande locale et améliore les conditions de vie. En tant que bailleurs de fonds, le financement de ce projet permet à l’Agence des Micro Projets de participer à la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD) notamment l’ODD5 égalité des sexes, l’ODD4 éducation de qualité, l’ODD2 de Faim zéro ou encore l’ODD3 amélioration de la santé.

Retrouvez l’association sur Facebook ou sur son site internet

https://www.agencemicroprojets.org/agence-des-microprojets/le-soleil-peut-moudre-le-mil-au-senegal-association-village-samaane/

Nadji.bi Sénégal Suarl a été désignée lauréate de l’étape sénégalaise du concours d’innovation Edf Pulse Africa qui vise à ‘’révéler et accompagner des innovateurs africains engagés pour le développement énergétique du continent’’. Ainsi, cette start-up sénégalaise va participer à la grande finale qui se tiendra à Paris au mois de novembre 2019.

En fait, créé en 2017, le challenge Edf Pulse Africa vise à soutenir la dynamique entrepreneuriale en Afrique avec deux objectifs : identifier des partenaires potentiels en dénichant les pépites technologiques du continent et soutenir l’innovation en associant les entrepreneurs locaux au développement d’offres innovantes.

Selon un communiqué, pour l’édition 2019 du challenge, Edf a lancé ‘’Edf Pulse Africa Tour’’ qui est une tournée africaine visant à sélectionner des candidats au plus près du terrain dans sept pays du continent. Ainsi, la deuxième des sept étapes du tour s’est déroulée au Sénégal, jeudi dernier. Et Nadji.bi Sénégal Suarl a devancé ses quatre concurrents.

Enquête Plus 

Unlocking Solar Capital Africa 4th Edition : Solarplaza - Gogla - NADJI.BI - Intervention sur l"Utilisation productive des technologies et business émergents"

Les besoins des consommateurs continuent d'évoluer et de gravir les échelons de l'échelle énergétique. Dans un but de productivité continue, le processus d'achat du consommateur dépend de l'objectif de l'achat.

- Quels sont les besoins de financement de dette des consommateurs dans la sphère d'utilisation productive des technologies?

- Les investisseurs structurent-ils leurs investissements différemment quand il s'agit de ce secteur du marché?


https://africa.unlockingsolarcapital.com/programme-jour-1

The Senegalese start-up Nadji Bi Senegal will take part in the international final of the EDF Pulse Africa Competition. The team was selected on September 12, 2019 in Dakar to represent the country of the Teranga Lions at the final of the competition to be held on November 21, 2019 in Paris, France.


It is another success for Nadji Bi Group: the company has recently been awarded the gold medal at the EDF Pulse Africa Tour in Senegal. This distinction will enable it to represent its country, along with four other national start-ups, at the EDF Pulse Africa final to be held in November 2019 in France. The Nadji Bi Senegal project was presented in Dakar by Audrey Jean Marital Kakpohoue, a Beninese national. Together with his team, he developed the Solar Water Pulse, an automatic soil irrigation system using solar pumps. This solution has been tested in the Niayes area of northwest Senegal, where horticulture is one of the main income-generating activities. The team provided farmers with pumps with a capacity ranging from 0.5 to 7 kilowatts and capable of covering about 10 hectares.

The EDF Pulse Africa Tour is a call for projects launched by Électricité de France (EDF), aimed at African start-up carriers who offer innovative solutions in the electrical energy sector. For this edition, 536 applications from about 26 African countries were selected.

The EDF Pulse Africa challenge was set up in 2017 to encourage African start-ups operating in the energy sector in general. It has already provided support to eight African start-ups specialising in the electrical energy sector.

In five years, Nadji Bi has gained a growing reputation in Africa

https://www.afrik21.africaFounded in 2014, Nadji Bi has offices in several countries, including Cameroon, Burkina Faso, France, Guinea Bissau and The Gambia. The company specialises in the design, manufacture and sale of solar solutions for domestic and agricultural use. In early September 2019, Nadji Bi Gambia was named the national winner of Seedstars. The global final phase of this other competition, which will bring together start-ups from different emerging countries around the world, will be held in 2020. In the meantime, however, the recognition already ensures Nadji Bi Gambia a place at the Seedstars Summit to be held in South Africa in December 2019.en/senegal-nadji-bi-group-wins-the-national-edf-pulse-africa-tour-award/

Luchelle Feukeng

https://www.afrik21.africa/en/senegal-nadji-bi-group-wins-the-national-edf-pulse-africa-tour-award/

La start-up sénégalaise NADJI.BI SENEGAL SUARL a été désignée lauréate de l’étape sénégalaise du concours d’innovation EDF Pulse Africa qui vise à « révéler et accompagner des innovateurs africains engagés pour le développement énergétique du continent », annonce un communiqué reçu vendredi à APA.

NADJI.BI SENEGAL SUARL va participer à la grande finale qui se tiendra à Paris au mois de novembre 2019. La finale sénégalaise est l’une des sept étapes du tout premier EDF Pulse Africa Tour, tournée africaine de présélection de finalistes du concours.


« Crée en 2017, le challenge EDF Pulse Africa vise à soutenir la dynamique entrepreneuriale en Afrique avec deux objectifs, identifier des partenaires potentiels en dénichant les pépites technologiques du continent, soutenir l’innovation en associant les entrepreneurs locaux au développement d’offres innovantes », précise le communiqué.

Pour l’édition 2019 du challenge, EDF a lancé EDF Pulse Africa Tour qui est une tournée africaine visant à sélectionner des candidats au plus près du terrain dans sept pays du continent. Le lauréat de chaque édition nationale se verra attribuer une place dans la grande finale qui se tiendra à Paris.

La deuxième des sept étapes du « Tour » s’est déroulée au Sénégal, ce jeudi 12 septembre 2019. Pour cette finale sénégalaise, cinq start-up nationales avaient été sélectionnées. Elles proposent des solutions énergétiques dans les 3 catégories suivantes : production électrique off-grid, usages et services d’électricité et accès à l’eau grâce à l’électricité (agriculture et eau potable).

Oumou Khary Fall
APA-Dakar (Sénégal) 

https://www.journaldumali.com/2019/09/13/la-start-up-nadji-bi-vainqueur-dedf-pulse-africa-senegal/ 

https://www.journalduniger.com/la-start-up-nadji-bi-vainqueur-dedf-pulse-africa-senegal/ 

https://www.journaldeconakry.com/la-start-up-nadji-bi-vainqueur-dedf-pulse-africa-senegal/

https://www.journaldebrazza.com/la-start-up-nadji-bi-vainqueur-dedf-pulse-africa-senegal/

https://www.journaldekinshasa.com/la-start-up-nadji-bi-vainqueur-dedf-pulse-africa-senegal/

https://www.journaldugabon.com/la-start-up-nadji-bi-vainqueur-dedf-pulse-africa-senegal/

https://www.journaldusenegal.com/la-start-up-nadji-bi-vainqueur-dedf-pulse-africa-senegal/

https://www.journalducameroun.com/la-start-up-nadji-bi-vainqueur-dedf-pulse-africa-senegal/

https://www.journaldutchad.com/la-start-up-nadji-bi-vainqueur-dedf-pulse-africa-senegal/

https://apanews.net/fr/news/la-start-up-nadjibi-vainqueur-dedf-pulse-africa-senegal 

Seedstars’ Gambian leg ended with solar startup, Nadji.Bi claiming top spot, and as such safeguarding its slot to pitch at the Seedstars global summit, for a USD 500,000 equity investment.  


The competition selects startups from emerging markets that have the potential to scale widely and effect a social impact.

Competitors hail from all countries, including 30 African countries, all of whom congregate in Switzerland annually to compete for the equity investment as well as other prizes.

Winners from Kenya, Tanzania, Egypt, Ghana, Angola, Senegal and Sierra Leone have already been selected during the different editions of Seedstars in their respective regions.

Gambia’s winner, Nadji.Bi, which was founded in 204, has developed an innovative, sustainable solar solution.

The startup designs, manufactures and sells solar solutions for agricultural and household use. It is targeting a potential customer base of 1.3 million people.

Nadji.Bi has operations in Cameroon, Burkina Faso, Guine Bissau and France.

It also specialises in the research and development as well as manufacturing of solar products.

The startup, which is a subsidiary of the Nadji.Bi Group, beat the 9 other startups that also pitched to represent Gambia at the global final, as well as the Seedstars Africa Summit in South Africa later this year.

Also in competition was, Ang Capital, which provides instant loans and easy payments for transactions online with or without the use of the internet. Ang Capital took second place while cashless city bus service Yobuma Transportation took third place.

The pitch competition was presided by a local panel comprising, Ace Communication’s Fatim Badjie Sinyan, Global Properties’ Saul Frazer, Khamsys Technologies’ Mbaye Kah, Insist Global founder and CEO Seedy Bensouda, J-Financial Services CEO Muhammad M Jagana, GIZ’s Suwaibou Cham and Bridging Gaps Advisory CEO Ramatoulie B Gaye.

CHARITY MBAKA

https://innovation-village.com/nadji-bi-gambia-wins-seedstars-banjul-with-its-solar-solution/

http://thepoint.gm/africa/gambia/article/seedstars-banjul-awards-nadjibi-gambia-the-title-of-best-startup-in-the-gambia

Nadji.Bi Gambia, a firm that offers solar solutions to a potential potential customer base of 1.3-million people, has won this year’s Seedstars Banjul pitching event.  


The Seedstars Banjul winner is a subsidiary of the Nadji.Bi Group which was established in Senegal in 2014.

The company, which has offices in Cameroon, Burkina Faso, France and Guiné Bissau, specialises in the research and development as well as manufacturing of solar products.

Nadji.Bi Gambia and will now represent Gambia at the Seedstars Africa summit which will be held in Johannesburg in December (see this story) where the company will get a chance to win a spot at the Seedstars Global Summit in Switzerland.

In all nine startups pitched at the event (see this story).

Ang Capital, which provides instant loans and easy payments for transactions online with or without the use of the internet, was placed second at Seedstars Banjul. This, while cashless city bus service Yobuma Transportation took third place.

The winners were selected by a panel that included Ace Communication’s Fatim Badjie Sinyan, Global Properties’ Saul Frazer, Khamsys Technologies’ Mbaye Kah, Insist Global founder and CEO Seedy Bensouda, J-Financial Services CEO Muhammad M Jagana, GIZ’s Suwaibou Cham and Bridging Gaps Advisory CEO Ramatoulie B Gaye.

Continuing on its world tour of fast-growing startup scenes in emerging markets, Seedstars World’s next stop is the Democratic Republic of Congo (DRC) at Ingenious City on Wednesday (18 September) to select the best startup in the country at Seedstars Kinshasa.

Featured image: Members of Nadji.Bi Gambia team at Seedstars Banjul (Supplied)


https://ventureburn.com/2019/09/nadji-bi-gambia-seedstars-banjul/

https://www.seedstarsworld.com/event/seedstars-banjul-2019

Et de deux ! Après Azolis au Maroc la semaine dernière, c’est au tour de  Nadji.Bi  d’être sacré finaliste d’EDF Pulse Africa cette semaine au Sénégal. Retour sur une deuxième étape qui a rencontré un franc succès parmi les acteurs de l’entrepreneuriat sénégalais.  


Mettre à l’honneur le dynamisme sénégalais à travers l’EDF Pulse Africa Tour de Dakar : tel était l’objectif d’EDF et de sa filiale locale, ERA, pour cette deuxième halte du roadshow. Pour ce faire, de grands noms de l’écosystème entrepreneurial sénégalais étaient conviés jeudi 12 septembre au musée de l’IFAN pour débattre des problématiques et enjeux du panorama énergétique local.

Manar Sall (CEO de Powex Energy), Fary Ndao (cofondateur Power & Stone), Olivia Ndaye (chargée de programme Magik Energy Lab), Thierno Sakho (project officer de la DER)… Autant de jeunes entrepreneurs présents pour transmettre leur vision et partager leur ambition à travers le spectre du paysage économique sénégalais. Rassemblés autour de tables rondes, ces personnalités se sont exprimées entre autres sur « La place de l’innovation technologique dans le développement de l’accès à l’électricité » et sur l’impact de l’écosystème entrepreneurial sur la société.

Toujours dans l’objectif de contextualiser la place de l’entrepreneuriat dans la société sénégalaise, Eva Sow Ebion, business developer et spécialiste des solutions innovantes, a présenté le travail réalisé sur le texte de loi « SenStartup Act ». Elle évoque notamment l’écosystème sénégalais comme un « écosystème jeune, un écosystème vivant qui ne cesse de grandir » et qui a à sa disposition des « infrastructures positives et beaucoup d’opportunités en open innovation ». Forte de ce constat, elle a salué l’initiative d’EDF Pulse qui participe activement à répondre aux besoins réels des acteurs. Son intervention rappelle également la place prépondérante des femmes dans cet univers en pleine expansion.

Surfant sur cette thématique d’innovation, les start-up et PME sénégalaises qualifiées pour l’EDF Pulse Africa Tour ont défendu leur projet à la suite de ces interventions. Après délibération d’experts du domaine de l’énergie, la start-up Nadji.Bi s’est haussée sur la plus haute marche du podium. Victoire prémonitoire pour ce système faisant écho au nom même que l’appel à projet : Solar Water Pulse. La start-up propose en effet un système de pompage solaire connecté et utilisable via le modèle PAYGO : tout a été pensé pour faciliter et optimiser la gestion de l’eau pour les agriculteurs sénégalais. L’ambition de Nadji.Bi est de rendre l’agriculture africaine « smart-grid » pour in fine renforcer l’autosuffisance alimentaire sénégalaise.

Mais parce que le challenge EDF Pulse Africa entend également dénicher des pépites technologiques innovantes, l'incubateur Magik Energy Lab a décerné un prix « Coup de Pouce » à Lumos Project. Cette start-up propose des solutions digitalisées pour optimiser la consommation électrique en économisant de l’énergie. Applications, capteurs, détecteurs, algorithmes… Autant d’éléments digitaux qui entendent à la fois aider à la meilleure gestion du matériel agricole et améliorer l’utilisation énergétique des consommateurs.

Enfin, en support d’un projet éminemment local, la Société Générale a octroyé le prix « Coup de cœur » à la Coopérative de transformation laitière de Médina-Mary. Cette start-up s’efforce de mettre à profit l’énergie solaire abondante en alimentant les systèmes électriques de la laiterie grâce à des panneaux solaires. Cette source localisée d’énergie permet à la fois de fiabiliser les ressources électriques de la laiterie, d’augmenter la puissance des équipements mais aussi de fournir l’excédent au dispensaire du village.

En plus de dynamiser les filières énergétiques et entrepreneuriales locales, l’EDF Pulse Africa Tour à Dakar a permis de faire émerger trois projets innovants et conscients des problématiques et besoins locaux.  Nadji.Bi  poursuivra la compétition à Paris le 21 novembre prochain pour tenter de remporter la première place et recevoir l’aide nécessaire à l’accomplissement de son projet !

  ll est l'invité Tech de RFM samedi 10 août 2019.Le consultant Abdou FALL, est co-fondateur et directeur associé de Pulsar Tech, une agence de communication digitale.

L'ancien de IBM ,de Samsung entre autres, propose par son projet Nadjibi ou Agri Tech, de faire de l'une de ses cibles les paysans, des agri-preneurs.

L'innovation de la startup lui a fait d'ailleurs gagner en 2018,le 2e prix du concours innovation technologique EnR solaire à l'occasion du 45e anniversaire de la BOAD. Vous voulez connaître son secret dans l'écosystème du numérique ? réponse dans cet entretien réalise par Joe Marone .

http://www.rfm.sn/upload/podcasts/audios/5d4ea685676330.74368994.mp3

http://www.rfm.sn/podcasts/invite-tech-samedi-10-aout-2019-abdou-fall-2141

Aventure - Agence Micro Projets

Des partenariats innovants

Mené et financé par l'association Samaane Sénégal avec le soutien du prix COP21 reçu de l'AMP, le projet MIL SOLEILs comporte deux volets menés en parallèle : moulin à mil solaire et alphabétisation des bénéficiaires. Marie-Hélène Mallet, présidente de l'association, répond aux questions de Thierry Barbaut.

L'association village Samaane a mis en place un projet innovant qui mèle agriculture, innovation, énergies renouvelables et activités génératrices de revenus, pouvez-vous le présenter ?

Notre association, présente dans les villages en brousse au Sénégal depuis 2005, mène des projets de développement dans les domaines pour lesquels les besoins sont exprimés par les populations. C'est tout naturellement que ces projets concernent à la fois la santé, l'éducation, la formation des femmes, l'agriculture vivrière et d'autres activités génératrices de revenus. L'expérience acquise a poussé l'association à réfléchir à des alternatives aux méthodes et outils traditionnels pour améliorer la vie de la population et permettre une plus grande autonomie des femmes.

La préparation des repas nécessite sept étapes depuis la récolte jusqu'au couscous de mil, base de l'alimentation dans cette région sahélienne. L'idée d'un moulin à mil fonctionnant à l'énergie photovoltaïque est étudiée par l'association depuis 2009 ; plusieurs partenaires ont participé à la conception et la fabrication et adaptations nécessaires à l'alimentation en énergie photovoltaïque.

Au démarrage du projet, des étudiants québécois ont  offert un premier moulin à mil à partir duquel de nombreuses adaptations ont été nécessaires pour moudre correctement la toute petite graine du mil et rendre la machine robuste et réparable avec des matériaux locaux. Il a fallu des années, de l'obstination et de la persévérance avant d'arriver à la machine en usage au village.

L'utilisation du moulin et sa gestion quotidienne par les femmes ne sont possibles que grâce à la formation acquise à la suite du programme d'alphabétisation mené par notre association avec le responsable départemental de l'alphabétisation de l'Education nationale sénégalaise.

Vous avez localement mis en place un partenariat avec l'entreprise Nadji.Bi et la structure porteuse du projet dans le village, quel est l'historique et les enseignements de cette initiatives?

Le partenariat entre l'association Samaane Sénégal et l'entreprise Nadji.Bi est né d'une rencontre sur le Salon des Solidarités à Paris en 2014, l'association a financé la mise au point du moulin, son installation sur site et le contrat de maintenance.

Parallèlement notre association a noué un partenariat avec l'association "AND LIGGEYAL AGA BIRAM" pour le développement de l'éducation et la formation des filles au village de brousse d'Aga Biram, région de Thiès, département de Mbour au Sénégal. Nous avons mis cette association locale et le GIE des femmes (Groupement d'Intérêt Economique) en lien avec Nadji.Bi pour réaliser le projet dans le village; ces structures assurent le suivi de la plateforme solaire. L'association Samaane reste l'interlocuteur privilégié de ces trois structures et se rend régulièrement sur place pour le suivi du projet, en accord avec les responsables du village.

Le projet est mis en place et l'AMP a pu s'y rendre en septembre 2018. Quels retours avez-vous des différents bénéficiares et en général des différents acteurs du projet ?

La visite de AMP sur site en septembre 2018 a été très bien accueillie par le GIE des femmes qui se trouvaient sur place avec Rose, la présidente. Nadji.bi a apprécié la venue de l'AMP qui met en lumière ce projet sur lequel l'entreprise continue à travailler pour son amélioration et des projets complémentaires au bénéfice du GIE, gestionnaire du moulin.

L'association a eu l'occasion de recueillir la position officielle du village par la voix du chef traditionnel et du conseil des anciens : au départ très dubitatifs sur l'efficacité du moulin solaire, ils ont soutenu le projet et encouragent les femmes. Ils sont très fiers que leur village soit une "vitrine" de l'onnovation que les visiteurs viennent voir de loin, mais il existe une crainte de la part des responsables traditionnels du fait de l'intervention d'étrangers dans la vie du village.

Vous pilotez un projet qui implique une association française et une structure locale partenaire, qui est elle-même partenaire d'une entreprise; ce fonctionnement est-il idéal ? Un partage de compétences ?

Nadji.Bi est une entreprise sénégalaise en pleine croissance ; elle souhaite en particulier développer des projets axés sur l'apport de l'énergie solaire dans les techniques de transformation des produits agricoles locaux. Le village d'Aga Biram avec le GIE des femmes est considéré comme un site très favorable aux expérimentations dans ce domaine.

Les femmes bénéficiaires sont vraiment heureuses de l'apport du moulin dans leur vie quotidienne; elles saluent la proximité de l'entreprise Nadji.Bi, leur compétence et les bonnes relations nouées entre eux.

Toutefois nous avons ressenti une appréhension de la part de certains devant la rapidité du déploiement des évolutions technologiques. Lors de notre venue en février 2019, nous avons longuement abordé ce sujet avec les différents acteurs. La poursuite du projet nécessitera, au-délà des aspects techniques, de savoir convaincre et composer avec l'ensemble des habitants de ce village traditionnel et l'association "AND LIGGEYAL AGA BIRAM", notre partenaire principal sur place.

Le partenariat entre l'association Samaane Sénégal et Nadji.Bi, contractualisé dans un premier temps pour l'installation du moulin dans le village, pourra être poursuivi pour de nouveaux projets de développement solidaire qui nécessiterons une compétence technologique en énergie solaire.

Le moulin à moudre le mil solaire est finalement une petite infrastructure pour un grand rendement, c'est aussi cela la définition d'un microprojet ?

Le slogan de notre association est "le développement au coeur du village, le village au coeur du développement".

Notre volonté est d'être proche des villageois pour répondre aux besoins quotidiens, en particulier des enfants et des femmes. Dans les villages de brousse, les solutions sont relativement coûteuses financièrement, même si elles nécessitent de développer une grande énergie, une persévérance certaine et de la patience !

Pour nous, un "microprojet" est une solution trouvée avec les bénéficiaires pour répondre à un besoin identifié et qui apporte une plus grande autonomie des femmes, des perspectives et élève le niveau d'éducation des jeunes.

Le moulin à mil solaire associé aux cours d'alphabétisation a modifié la vie des jeunes filles et des femmes leur a donné du temps et de l'énergie pour envisager de nouvelles activités génératrices de revenus dans le respect de l'environnement et de leur santé !

Pensez-vous à une réplicabilité du projet dans d'autres régions ou d'autres pays ?

Notre souhait comme celui de Nadji.Bi est bien d'arriver à un matériel dont l'achat serait rentable sur trois ou quatre ans afin de donner accès à cette technologie à d'autres villages, partout où la mouture du mil est la base de l'alimentation des familles. 

Le moulin à mil solaire est encore en perfectionnement, une nouvelle version sera prochainement testée à Aga Biram, ainsi que d'autres outils de transformation du mil. Nous suivons de près les travaux de notre partenaire et espérons que des clients de toute l'Afrique de l'Ouest, pourront se rendre acquéreur de ce "moulin solaire", né du projet "MIL SOLEILs" de notre association.

Marie-Hélène MALLET

Présidente de l'association Samaane Sénégal 

www.villagesamaane.net

Au Sénégal - octobre 2018

Cinq microprojets lauréats ont pu être visités en compagnie des partenaires techniques et financiers Synergie Solaire et Finergreen, en parallèle de la mission de réalisation du documentaire sur les énergies renouvelables. L'équipe a pu rencontrer des organisations dynamiques, porteuses de projets innovants et valorisant les différents usages des énergies renouvelables dans les différentes thématiques de l'aide au développement.

Gérer les données numérique - un enjeu pour l'AMP et les microprojets

La capitalisation, le partage et la valorisation acquis de l'expérience sont aujourd'hui des volets incontournables de toute action de développement, ils nécessitent pour l'AMP de mettre en place des processus de collecte de données dès le début du cycle de vie des projets.

Contacts de personnes ressources, e-mails de partenaires, géolocalisation des projets, nombre de bénéficiares, montant des subventions accordées, thématiques des projets... sont des exemples d'éléments simples mais indispensables à archiver pour pouvoir suivre un projet dans la durée. Ils forment ensemble une carte de visite des projets dont les différentes composantes doivent pouvoir être facilement isolées afin de faciliter la compilation et l'analyse de données (nombre de projets financés par pays, montant total attribué sur une année, etc.).

Une augmentation de volume de données

Toutefois, ceci n'est pas sans diffciultés. En premier lieu, les données ne sont pas figées : la structure porteuse du projet, les acteurs, les partenaires, les bénéficiaires et les bailleurs peuvent changer entre le début et la fin du projet. En second lieu, l'évolution de l'environnement technologique a conduit à une multiplication du nombre et du type de données à collecter. Par exemple, il y a vingt ans, seuls un numéro de téléphone, un nom, un prénom et une adresse suffisaient pour enregistrer le contact d'une personne. Aujourd'hui, il faut y ajouter un email, un numéro de WhatsApp, un site internet, une éventuelle page facebook, etc. Il devient alors possible d'imaginer la quantité d'informations collectées - et surtout à capitaliser - au bout de cinq à dix ans d'activités et de microprojets. En développant dès le départ des outils et processus formels et organisés, le partage de ces informations sera facilité.

Les données regroupent aussi les photos, les vidéos, les articles de presse, les publications sur les réseaux sociaux. Il faut là aussi savoir les stocker et les organiser afin de les réutiliser facilement et les partager rapidement. Par exemple en scanant les documents et en créant une classification adaptée avec des mots clefs. Ceux-ci permettront de les retrouver plus rapidemennt et de les exploiter de manière optimale en les partageant plus facilement.

La bonne gestion des données peut paraître pénible, contraignante et chronophage. Mais les bénéfices apportés viennent vite contredire cette première impression. En effet, qui n'a jamais recherché un contact sans le retrouver ou une photo importante sans savoir dans quel fichier elle se trouve ? Les personnes qui mettent en place des procédures de stockage et de traitement des données constatent très vite qu'il est beaucoup plus rapide et simple de retrouver des contenus et de les exploiter par la suite.

Un environnement numérique en pleine évolution

Le développement des outils numériques ces dix prochaines années va conduire à l'émergence de nouveaux logiciels en ligne de gestion de projets et rendre quasiment incontournables les plateformes collaboratives pour partager les données. Portails solidaires, dépôts de projets en ligne, supports de financement participatif, partage de fichiers.... vont se multiplier. Ces plateformes plus ou moins complexes et intuitives nécessitent une bonne stratégie, un peu de technique et surtout de l'accompagnement.

C'est dans cette dynamique que l'Agence des Micro Projets, qui propose depuis 2014 une plateforme en ligne de dépôt de projets, a travaillé ces derniers mois à l'élaboration d'un nouveau portail collaboratif et à l'amélioration de son système de dématarialisation. Opérationnels début 2019, ils feront l'objet d'un accompagnement de l'AMP, pour qui la dimension humaine reste au coeur de ses préoccupations.

Thierry BARBAUT

Responsable numérique et communication à l'Agence des Micro Projets

 


https://mediatheque.agencemicroprojets.org

https://www.calameo.com/books/0007588331fe75a9cc453

Although Senegal has one of the highest access to electricity rates in sub-Saharan Africa, just 42% of people in rural areas have access, Ibrahima Niane, head of rural electrification programs at the Ministry of Energy said.

Ibrahima Niane made the statement during a working session with solar solutions provider Nadji.Bi Group. He explained that off-grid solutions have contributed in improving access to electricity to people living in rural areas.

Senegal has set up a commission in charge of the development of the off-grid market, Niane said.

The country intends to revitalize the process of rural electrification during this year, in order to achieve its goal of 100% electrification by 2025, he added. Currently, the West African nation has a national electrification rate of 64%.

Last year, Senegal has raised about $14 billion in pledges from Western countries, the World Bank and other lenders to fund new infrastructure.

The Finance Ministry mentioned France, Canada, the World Bank and Islamic Development Bank among those promising funds for the 2019-23 phase of the Senegal Emergent Plan, which seeks to attract foreign investment.

Senegal, home to some 16 million people and the second-biggest economy in West Africa’s monetary union, has recorded annual economic growth of more than 6 percent since 2015.


http://northafricapost.com/29236-senegal-42-of-the-rural-population-has-access-to-electricity.html

(Agence Ecofin) - Au Sénégal, plus de 42% des personnes vivant en zone rurale ont déjà accès à l'électricité. « Actuellement, si on se base sur les statistiques existantes au Sénégal, il y a à peu près, 42 à 43% des ménages sénégalais qui ont accès à l'électricité. Ce qui veut dire qu'il y a une bonne partie des ménages qui n'a pas encore accès à l'électricité.», a affirmé Ibrahima Niane, le responsable de l'électrification rurale au sein du ministère de l'Energie.

Cette affirmation a été faite lors d'une séance de travail avec le fournisseur de solutions solaires, Nadji. Bi. En effet, l'électricité hors-réseau est l'un des moyens principaux utilisés par le pays pour donner accès à l'électricité aux populations vivant dans les zones rurales. C'est à ce propos que le Sénégal a mis en place une commission en charge du développement du marché hors-réseau.

Le pays compte redynamiser le processus d'électrification rurale au cours de cette année, afin de pouvoir atteindre son objectif d'électrifier 100% de ses citoyens, d'ici 2025. Le Sénégal a actuellement, un taux d'électrification national de 64%. Gwladys Johnson Akinocho

Gwladys Johnson Akinocho

https://www.agenceecofin.com/electricite/2203-64857-senegal-42-de-la-population-rurale-a-deja-acces-a-lelectricite

(Agence Ecofin) - Les pays de l’Afrique subsaharienne travaillent à la mise en place d’un programme régional visant l’amélioration de l’efficacité énergétique et la levée des barrières entravant l’existence d’un marché énergétique régional viable.

La mise en œuvre de ce programme se fera sur 5 ans, à un coût estimé à 240 millions $.

Il sera réalisé dans 19 pays dont les 15 membres de la CEDEAO auxquels s’ajouteront le Cameroun, le Tchad, la Mauritanie et la République centrafricaine.

« Globalement, l’objectif de ce projet est de lever toutes les barrières qui entravent la mise en place d’un marché régional viable en termes d’électrification hors réseau. Cela permettra aux ménages et aux PME qui, jusqu’à présent, n’ont pas accès à l’électrification d’y accéder dans un cadre bien défini avec des technologies appropriées.», a expliqué à ce propos, Siré Abdoul Diallo, l’un des responsables du Centre des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (ECREEE/CEDEAO). Il est plus précisément, le coordonnateur du Fonds d’appui au secteur privé du centre.

Il s’agira concrètement de travailler sur les cadres réglementaires des pays, sur l’accès au financement et sur le renforcement des capacités locales, rapporte l’APS.

« Le projet prend en compte toutes ces problématiques-là en y apportant des solutions pragmatiques. Ainsi, la ligne de crédit que nous mettrons en place au niveau des institutions de microfinances et des banques classiques aura un taux d’intérêt de moins de 10%.», a affirmé le responsable qui a également évoqué des subventions aux entreprises désireuses de s’investir dans le sous-secteur.

Gwladys Johnson Akinocho

https://www.agenceecofin.com/electricite/2103-64838-afrique-subsaharienne-un-programme-de-240-millions-pour-un-marche-energetique-regional-viable

GFM-(Dakar) Le Directeur de l’électricité au ministère du Pétrole et des Energies, Ibrahima Niane a révélé hier, à Mbour que «plus de 42% des ménages sénégalais en milieu rural, ont accès à l’électricité»

«Actuellement, si on se base sur les statistiques existantes au Sénégal, il y a, à peu près, 42 à 43% des ménages sénégalais qui ont accès à l’électricité. Parce que la problématique est plus importante à ce niveau-là. Ce qui veut dire qu’il y a une bonne partie des ménages qui n’a pas encore accès à l’électricité», a dit M. Niane.

Il s’exprimait dans le cadre de la deuxième réunion du cadre de concertation pour l’électrification hors réseau. Une rencontre qui s’est tenue dans les locaux du groupe «Nadji-bi», spécialisé dans la fabrication de produits solaires.

Il a également expliqué qu’à travers, le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) où il y a un volet important d’électrification rurale «l’Etat du Sénégal est en train de développer des projets et programmes dont les financements déjà mobilisés, permettront d’atteindre les objectifs fixés»

Niane a expliqué que son ministère a d’ailleurs mis en place «une commission en charge du développement de la synergie des interventions des différents acteurs et une autre en charge du développement du marché de l’électrification hors réseau», entre autres initiatives.

Pour l’année 2019, a-t-il signalé, un plan d’action a été élaboré pour que l’électrification hors réseau soit redynamisée davantage au Sénégal, dans la perspective du programme d’accès universel à l’électricité pour lequel le gouvernement s’est fixé un objectif à l’horizon 2025.

Selon lui, avant 2014, le taux d’accès à l’énergie électrique était de 31% en Afrique sub-saharienne. Des initiatives sont en train d’être prises pour que ce taux soit à 100% après 2025, a-t-il fait savoir.

De même, Ibrahima Niane a annoncé le financement, par la Grande-Bretagne, d’un projet intitulé «Compact énergie Sénégal», et le projet «Power Africa» avec l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), dans le cadre de l’électrification hors réseau.

«Au Sénégal, au-delà de cet appui que nous comptons mobiliser à travers ces différents partenaires, il y a des entreprises très dynamiques qui évoluent dans ce créneau comme +Nadji-bi Group+, qui apportent une innovation majeure avec un soubassement local», a-t-il fait noter.

http://www.igfm.sn/69512-2/ 

APS - PLUS DE 42% DES MÉNAGES RURAUX ONT ACCÈS À L’ÉLECTRICITÉ (OFFICIEL)

Mbour, 21 mars (APS) - Plus de 42% des ménages sénégalais en milieu rural, ont accès à l’électricité, a révélé mercredi, à Mbour (ouest), Ibrahima Niane, en charge de ce secteur au ministère du Pétrole et des Energies.

"Actuellement, si on se base sur les statistiques existantes au Sénégal, il y a, à peu près, 42 à 43% des ménages sénégalais qui ont accès à l’électricité. Parce que la problématique est plus importante à ce niveau-là. Ce qui veut dire qu’il y a une bonne partie des ménages qui n’a pas encore accès à l’électricité", a notamment dit M. Niane.

Il s’exprimait dans le cadre de la deuxième réunion du cadre de concertation pour l’électrification hors réseau. Une rencontre qui s’est tenue dans les locaux du groupe "Nadji-bi", spécialisé dans la fabrication de produits solaires.

L’Etat du Sénégal est en train de développer des projets et programmes dont les financements déjà mobilisés, permettront d’atteindre les objectifs fixés, a t-il dit, citant notamment le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) où il y a un volet important d’électrification rurale.

M. Niane a expliqué que son ministère a d’ailleurs mis en place "une commission en charge du développement de la synergie des interventions des différents acteurs et une autre en charge du développement du marché de l’électrification hors réseau", entre autres initiatives.

Pour l’année 2019, a-t-il signalé, un plan d’action a été élaboré pour que l’électrification hors réseau soit redynamisée davantage au Sénégal, dans la perspective du programme d’accès universel à l’électricité pour lequel le gouvernement s’est fixé un objectif à l’horizon 2025.

Selon lui, avant 2014, le taux d’accès à l’énergie électrique était de 31% en Afrique sub-saharienne. Des initiatives sont en train d’être prises pour que ce taux soit à 100% après 2025, a-t-il fait savoir.

De même, Ibrahima Niane a annoncé le financement, par la Grande-Bretagne, d’un projet intitulé "Compact énergie Sénégal", et le projet "Power Africa" avec l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), dans le cadre de l’électrification hors réseau.

"Au Sénégal, au-delà de cet appui que nous comptons mobiliser à travers ces différents partenaires, il y a des entreprises très dynamiques qui évoluent dans ce créneau comme +Nadji-bi Group+, qui apportent une innovation majeure avec un soubassement local", a-t-il fait noter.

La rencontre qui s’est tenue dans le cadre du Programme régional d’électrification hors réseau mis en place sous la coordination de l’ECREEE/CEDEAO, a regroupé des acteurs publics et privés, la société civile, les ONG, etc.

ADE/ASB/OID


http://aps.sn/actualites/economie/energie/article/plus-de-42-des-menages-ruraux-ont-acces-a-l-electricite-officiel

APS - AFRIQUE SUBSAHARIENNE : UN PROGRAMME POUR AMÉLIORER L’EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

Mbour, 20 mars (APS) – Un programme régional est en train d’être mis en oeuvre en Afrique subsaharienne pour améliorer l’efficacité énergétique au profit des ménages et des petites et moyennes entreprises (PME), en levant ‘’toutes les barrières qui entravent la mise en place d’un marché régional viable’’, a appris l’APS, mercredi.

’Globalement, l’objectif de ce projet, c’est de lever toutes les barrières qui entravent la mise en place d’un marché régional viable en termes d’électrification hors réseau, en faisant en sorte que les ménages et les PME qui, jusqu’à présent, n’ont pas accès à l’électrification puissent y accéder dans un cadre bien défini avec des technologies appropriées’’, a expliqué Siré Abdoul Diallo.

Coordonnateur du Fonds d’appui au secteur privé du Centre des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (ECREEE/CEDEAO), M. Diallo était en visite à Mbour (ouest) dans le cadre du Programme régional d’électrification hors réseau, mis en place sous la coordination d’ECREEE/CEDEAO.

Ce programme, d’un coût de 240 millions de dollars et d’une durée de cinq ans, intervient dans 19 pays, dont les 15 Etats-membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Les quatre autres pays couverts sont le Cameroun, le Tchad, la Mauritanie et la République centrafricaine. 

’La levée des barrières consiste à travailler sur les cadres réglementaires et politiques, sur l’accès aux financements mais aussi sur tout ce qui concerne le renforcement des capacités des différents acteurs, publics et privés’’, a souligné Siré Abdoul Diallo. Il estime que le projet doit répondre aux attentes des pays bénéficiaires afin de cerner l’écart qu’il y a entre les différents pays, les différentes régions et les différentes populations.

Il s’est dit persuadé que l’impact de ce projet dans le quotidien des populations sera bien visible, parce qu’il s’agit de faire en sorte que les ménages, les entreprises et les structures publiques n’ayant pas accès à l’électricité, puissent en disposer.

Selon lui, cela passe par la mise en place d’’’un cadre réglementaire et législatif très clair’’, le financement des entreprises évoluant dans ce secteur et la levée des barrières d’accès aux technologies pour les ménages et les autres usagers de l’électricité et des énergies renouvelables.

’Le projet prend en compte toutes ces problématiques-là, en y apportant des solutions pragmatiques. Ainsi, la ligne de crédit qu’on va mettre en place au niveau des institutions de microfinance et des banques classiques aura un taux d’intérêt de moins de 10%’’, a-t-il indiqué.

Il a souligné que c’est "une nouveauté dans ce secteur où l’accès au financement a toujours été un frein pour les entreprises et pour les ménages’’. A cet effet, il a promis des subventions aux entreprises concernées, pour leur permettre d’aller vers les populations des zones reculées avec un service approprié.

ADE/ASG/MD


http://aps.sn/actualites/economie/energie/article/un-programme-mis-en-place-pour-ameliorer-l-electrification-hors-reseau-des-menages-et-des-pme-en-afrique-sub-saharienne

ECREEE - Second Multi-stakeholder Task Force Meeting for off-grid electrification in Senegal

Dakar, March 20th 2019 – The Ministry of Petroleum and Energy of Senegal in collaboration of the ECOWAS Center for Renewable Energy and Energy Efficiency (ECREEE) organized the Second Meeting of the Multi-stakeholders Task Force for off-grid electrification in Senegal. The meeting provided an opportunity to present the progress made in the implementation of the Regional Off-Grid Electrification Project (ROGEP).

In order to facilitate continuous involvement of all the relevant stakeholders in the off-grid subsector, ROGEP is supporting the creation of multi-stakeholders task force, in each country. The objective of this task force is to develop synergies between programs and projects of clean energy source, continuous follow-up of various commitments made by decisions makers and the establishment of an enabling environment for their development

Senegal has established through the ministerial Order 017 929 of August 2018, a framework for consultation of stakeholders around all issues related to the promotion of such technology.

To fulfil the missions defined in the framework, an action plan for the year 2019 has been elaborated with the participation of the stakeholders. Thus for a better involvement of the actors and to further promote the sharing of experiences so that the sector moves forward, the second meeting was organized.

The meeting provided a platform to share information regarding the status of the ECREEE – Regional Off-Grid Electrification Project (ROGEP). Mr. Hamadou TCHIEMOGO, Technical Coordinator of the project, presented the progress made in the implementation of the ROGEP preparation phase.

This second meeting has gathered more than 30 participants from public and Private sectors, financial institutions, civil society, development partners and mass media. Discussion focused among others, on the followings:

  • Presentation and validation of the 2019 action plan;
  • Presentation and validations 3 subcommittees for working groups( Synergies and Coordination actions subcommittee; Favourable framework for the development of the off-grid sector subcommittee and Funding mobilization subcommittee);
  • Presentation of the Nadjibi project;
  • Presentation of the progress of the ROGEP.


http://www.ecreee.org/news/second-multi-stakeholder-task-force-meeting-grid-electrification-senegal

Dans le cadre de la mise en oeuvre des activités du cadre de concertation pour l'électrification hors réseau, créé par arrêté ministériel n.017929 du 02 août 2018, pour assurer la cohérence et la coordination des initiatives dans l'électrification rurale hors réseau, il est prévu la tenue de la 2ème rencontre, le mercredi 20 mars 2019, à 9 heures, dans les locaux de Nadji.Bi Group SA, sis à la Place du Martyr Mamadou Diop, Bâtiment Tigo 3ème étage, Mbour, Sénégal.

A cet effet, vous êtes invité à bien vouloir participer à la réunion dont le thème porte sur "recherche, développement inclusif et fabrication locale".

Participants invités :

Direction de l'Electricite / MPE

Direction de la stratégie et de la réglementation / MPE

Cellule d'Etude et de la Planification / MPE

Secrétariat Permanent à l'Energie / MPE

Agence Sénégalaise d'Electrification Rurale (ASER)

Agence Nationale pour les Energies Renouvelables (ANER)

Ministère de l'Economie, des Finances et du Plan

Ministère de la Santé et de l'action Sociale

Ministère de l'Education Nationale

Ministère de l'Agriculture et de l'Equipement Rural

Ministère en charge de l'Industrie et de la Petite et Moyenne industrie

Association des Maires du Sénégal

Energy 4 Impact

Bonergie

Nadji.Bi Group

Baobab+

Lagazel

Suntaeg Energy

Vitalite Group

Oolu Solar

PEG Solar

Ilemel

Femmes Africaines Actives pour le Développement - FAADEV

Practical Action

MicroCred

SGBS 

Association professionnelle des Banques et Etablissements financiers du Sénégal

Association professionnelle des systèmes financiers décentralisés du Sénégal - APSFD-SN

Centre des Energies Renouvelables et de l'Efficacité Energétiques (ECREEE) : ROGEP

Programme Energie Durable / GIZ

ENDEV / GIZ

Power Africa

USAID

Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) / IEEIES

ENDA Energie

Conseil Patronal des Energies Renouvelables au Sénégal (COPERES)

Association des Consommateurs - ASCOSEN

Association Sénégalaise de Normalisation - ASN

Fédération des Associations Féminines

Tony Blair Institut

Orange Energie - Sonatel

Mbourtv – Video : Le directeur des études et de la planification de l’Agence Sénégalaise de l’Electrification rurale (ASER), Ousmane Fall s’est réjoui ,ce Mercredi 06 Mars à Mbour, des performances réalisées par Nadj Bi en se basant sur le système de l’énergie renouvelable .Grâce à ses performances réalisées avec la création des motos pompes, des kits solaires, Nadj Bi a remporté le prix de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) concernant le secteur des énergies renouvelables. La BOAD a appuyé nadj bi avec une enveloppe financière de 10 millions de nos francs .

 
 

http://mbourtv.net/2019/03/06/energie-renouvelable-dans-le-monde-rural-nadj-bi-remporte-le-prix-de-la-boad/

Visite de la BOAD (Banque Ouest Africaine de Développement) et de l'ASER (Agence Sénégalaise d'Electrification Rurale) à l'usine Nadji.Bi de Mbour au Sénégal

Visite de la GIZ - PED à la découverte de l'installation pilote de pompe solaire Pay-As-You-Go (PAYGo) installé à Gabar au Sénégal avec l'incubateur CIADELTA

Nadji.Bi représenté par Dr. Iba Diagne à Johannesboug en Afrique du Sud lors de l'évenement Empower a Billion 

C’est lors du 20ème colloque du Syndicat des Energies Renouvelables (SER) à la Maison de l’UNSECO que j’ai pu défendre le numérique comme levier des thématiques du développement.

Au delà d’évoquer comment le numérique agit en véritable liant sur les projets d’eau, de santé, d’éducation, d’agriculture ou d’entrepreneuriat, j’ai pu présenter de manière pragmatique quelques exemples de projets comme le moulin à moudre le mil solaire que j’ai visité au Sénégal ou la livraison de sang avec des drones à Kigali ou je m’étais rendu en 2017. J’avais alors écrit cet article sur Zipline.

Lors du colloque du SER j’ai préféré détailler le projet du moulin à moudre le mil solaire, pourquoi ?

Parce qu’il représente pour moi un véritable modèle pérenne et adapté tout en étant innovant et multi-thématique. Après les nombreuses tables rondes du colloque qui évoquaient des dispositifs de plusieurs centaines de millions d’euros voire de milliards il était temps de revenir à taille humaine. Non pas que les grands projets ne sont pas passionnants ou essentiels mais il faut parfois revenir à des écosystèmes humains de plus petites taille ou la rapidité, la productivité et l’adéquation avec le besoin est plus palpable.

Le moulin à moudre le mil à été soutenu par l’Agence des Micro Projets en 2018 avec un financement de 15 000 euros. Ce projet est porté par l’association Village Samaane et le groupement de femme bénéficiaire du village Samaane qui se situe dans la région de Fatick.

L’objectif était de permettre aux femmes qui pillent le mil d’optimiser cette tâche longue et fastidieuse tout en préservant la ressource alimentaire avec l’objectif d’améliorer le rendement et les revenus.

Notre farine de mil et nos galettes avaient le goût du gazoil…Marie, agricultrice et productrice de mil du village Samaane au Sénégal

Il y a quelques années les femmes s’étaient regroupées en tontine pour acheter un moulin motorisé. Ce fut un échec cuisant… La moteur au delà d’être bruyant, polluant et très gourmand en carburant ne donnait pas satisfaction. Le gazoil arrivait à se répandre à un tel point que le mil avait un goût de carburant… Le coût du gazoil pour alimenter le moteur était astronomique, le moulin a été abandonné.

Un moulin à moudre le mil écologique ?

Avec le financement de l’Agence des Micro Projet les femmes furent équipés de téléphones mobile et formé à la gestion d’un compte en banque sur mobile, le “mobile banking” est très répandu surtout en Afrique de l’Est ou le Kenya fait figure de modèle avec Mpesa la solution de Vodacom.

Le groupement du village Samaane relance donc une tontine mais cette fois-ci en ligne avec la mobile monnaie, le système collecte les fonds qui se rajoutent au financement de l’Agence des Micro Projets.

 
 

Mais cette fois il faut un moulin à moudre le mil qui ne soit pas bruyant pollueurs et gourmand en énergie, un moulin écologique ?

C’est l’entreprise Nadji.Bi, avec à sa tête Julien Potron qui va s’emparer du projet tout en analysant le besoin. Des jeunes élèves sénégalais vont modéliser sur ordinateur un moulin à moudre le mil fonctionnant à l’énergie solaire avec un système de pay as you go (paiement à la consommation) ou de crédit d’achat par smartphone.

Quelques mois après le fameux moulin à moudre est installé dans un batiment en “du” au coeur du village, les panneaux solaires sur le toit lui donne un aspect moderne et impressionne. Le moteur électrique fonctionne parfaitement, le rendement est assuré et le mil est… délicieux !

Lors du 20ème colloque du Syndicat des énergies renouvelables des centaines de personnes à l’UNESCO on ainsi découvert un projet de santé, d’agriculture, d’énergies renouvelables et d’entrepreneuriat qui à pu voir le jour grâce au numérique !


Thierry BARBAUT - Numérique et développement

2018

Nadji.Bi invité par See4All à l'atelier accélérateur d'électrification à Dakar
Nadji.Bi lauréat du deuxième prix du concours d'innovation solaire des start-up de l'UEMOA organisé par la BOAD lors du 45ème anniversaire de la BOAD (Banque Ouest-Africaine de Développement) à Lomé au Togo
Nadji.Bi invité au 45ème anniversaire de la BOAD (Banque Ouest-Africaine de Développement) sous le thème : «l’énergie solaire dans l’économie des pays de l’UEMOA : état des lieux, enjeux et politiques» à Lomé au Togo
 

Nadji.Bi participe au documentaire "Les énergies renouvelables en Afrique de l'Ouest" / A la rencontre des acteurs des énergies renouvelables en Afrique de l'Ouest, focus sur le Sénégal.

Mise en valeurs des projets de différentes tailles, du nano au macro en passant par le micro et le méso.

Qui sont les acteurs ? Des ONG, des associations, des entreprises, des politiques publiques, la société civile et bien sur les bénéficiaires. Ils nous décrivent comment les projets permettent de développer une économie inclusive.

Quels usages concrets pour l'énergie ?

Les thématiques sont transverses : agriculture, santé, éducation, entrepreneuriat, eau et assainissement et bien sur le numérique avec systématiquement des énergies renouvelables connectés aux fournisseurs comme aux utilisateurs et donc plus "intelligentes".

 
 

Un documentaire qui s'inscrit dans l'Objectif 7 des ODD / Promouvoir les énergies renouvelables

Des énergies propres et d'un coût abordable

L’énergie est au centre de presque tous les défis majeurs, mais aussi des perspectives prometteuses, qui se présentent au monde aujourd’hui. Qu’il s’agisse d’emplois, de sécurité, de changement climatique, de production de nourriture ou d’accroissement des revenus, l’accès de tous à l’énergie est essentiel.

Travailler dans ce sens est particulièrement important car cela a un effet direct sur la capacité à atteindre d’autres objectifs de développement durable. Mettre l’accent sur l’accès universel à l’énergie, l’efficacité énergétique accrue et l’utilisation accrue des énergies renouvelables grâce à de nouvelles opportunités économiques et professionnelles est crucial pour créer des communautés plus durables et inclusives et une résilience aux problèmes environnementaux tels que le changement climatique.

ODD7:
+ Faits et Chiffres 
- Une personne sur cinq n’a pas accès à l’électricité moderne.
- 3 milliards de personnes dépendent du bois, du charbon ou des déchets animaux pour la cuisson et le chauffage.
- L’énergie est le principal facteur contribuant au changement climatique, ce qui représente environ 60 pour cent des émissions mondiales de gaz à effet de serre
- La part des énergies renouvelables dans la consommation finale d’énergie a atteint 17,5% en 2015.
+ Cible 
7.1 D’ici à 2030, garantir l’accès de tous à des services énergétiques fiables et modernes, à un coût abordable
7.2 D’ici à 2030, accroître nettement la part de l’énergie renouvelable dans le bouquet énergétique mondial
7.3 D’ici à 2030, multiplier par deux le taux mondial d’amélioration de l’efficacité énergétique
7.a D’ici à 2030, renforcer la coopération internationale en vue de faciliter l’accès à la recherche et aux technologies relatives à l’énergie propre, notamment l’énergie renouvelable, l’efficacité énergétique et les nouvelles technologies relatives aux combustibles fossiles propres, et promouvoir l’investissement dans l’infrastructure énergétique et les technologies relatives à l’énergie propre
7.b D’ici à 2030, développer l’infrastructure et améliorer la technologie afin d’approvisionner en services énergétiques modernes et durables tous les habitants des pays en développement, en particulier des pays les moins avancés, des petits États insulaires en développement et des pays en développement sans littoral, dans le respect des programmes d’aide qui les concernent
Proumouvoir une économie inclusive pour les bénéficiaires
Développer des solution pour l'éducation dans les quartiers péri-urbains de Dakar

L'objectif de ce projet est d réaliser un second documentaire au Sénégal sur la thématique des énergies renouvelables en Afrique de l'Ouest.

Le choix en adéquation avec les besoins des partenaires à été de mettre en avant les acteurs du développement de ces projets sur deux axes principaux: les tailles des projets en permettant au public de découvrir du nano au macro projet en passant par le micro et me méso. Mais aussi en évoquant systématiquement les thématiques transverses des énergies renouvelables dans les projets avec l'agriculture, la santé, l'éducation, l’entreprenariat et l'eau.

Un documentaire avec trois actions: une communication de projets en projets par le biais des réseaux sociaux avec des Facebook live, des publications alliant photos et textes présentant les acteurs, les projets et les environnements et la réalisation d'une version courte et une version longue du documentaire.

Un objectif de diffusion dans un ministère pour le lancement et à l'Agence Française de Développement puis ensuite sur des chaines TV africaines et enfin libre d'accès sur une chaine vidéo.

C'est à Mbour au Sud de Dakar qu'est installé l'entreprise NadjiBi qui modélise et développe les moulins à moudre le mil solaire. Le système est couplé à du mobile monnaie afin de payer en ligne le kit solaire à crédit ou en une seule fois.
Les moulins à moudre le mil solaire sont installés dans les zones rurales. Ils permettent de produire un mil de qualité, sans contamination issue du carburant et de générer une économie inclusive.
Accompagner les acteurs locaux avec du mécénat financier et du monitoring en suivi à long terme

Nadji.Bi au Forum régional sur les énergies renouvelables et efficacité énergétique à Dakar, Sénégal

http://action-solidaire.org/document/TDR_Atelier%20R%C3%A9gional%20EnR.pdf

Cinq entreprises vont bénéficier d’une enveloppe de 115 millions de francs CFA du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) dans le cadre de la promotion de l’accès à l’énergie, a appris l’APS.

Les entreprises ’’Suntaeg’’, ’’Palette des femmes émergentes’’, ’’Little Sun’’, ’’Bonergie’’ et ’’Nadjibi’’ développent des solutions et des équipements solaires pour un accès facile à l’énergie solaire. Elles ont été primées dans le cadre du concours d’innovation pour l’accès à l’énergie.

La remise symbolique des chèques aux entreprises lauréates par la représentante résidente du PNUD a eu lieu ce mardi. Au total, 20 entreprises avaient participé à ce concours axé sur ‘’l’accélération des modèles d’affaires inclusifs pour promouvoir l’accès à l’énergie solaire par les populations du Sénégal’’.

Lancé en février 2018, le concours d’innovation pour l’accès à l’énergie était ouvert à toutes les entreprises associations ou administrations ayant un modèle inclusif de déploiement de systèmes énergétiques solaires à travers le Sénégal.

A cet effet, une plateforme multi partie et multisectorielle des acteurs de l’énergie solaire (IEEIES) a été mise en place.

‘’Nous avons constaté que ces entreprises ont des idées mais le financement reste une contrainte pour passer à l’échelle. C’est pourquoi, au lieu de prendre un grand nombre, nous avons sélectionné cinq entreprises dont chacune d’elle va recevoir 40 000 dollars US’’, a indiqué le facilitateur de la plateforme El Hadj Djibril Diop.

Un tri a été fait au sein de ces 20 entreprises soumissionnaires qui devaient être du secteur formel, aussi bien enregistrées au niveau du fisc, qui maitrisent la technologie en présentant des solutions convaincantes, selon cet ingénier économiste.

Il a expliqué en outre que la plateforme a pour mission d’améliorer l’environnement des affaires afin de permettre aux entreprises inclusives du secteur de l’énergie de faciliter l’accès à l’énergie aux populations les plus défavorisées de la société.

’’Ce modèle visait à assister des entreprises –pilotes dans leur démarche d’amélioration de l’accès à l’énergie pour les populations défavorisées, en incluant ces dernières dans la chaîne de valeur‘’, a expliqué M. Diop.

A travers ce concours, a-t-il indiqué, ‘’le PNUD montre sa volonté de soutenir l’accélération de solutions entrepreneuriales inclusives efficaces qui lèvent les obstacles majeurs pour l’éradication de la pauvreté en développant un écosystème ayant un réel impact social et environnemental’’.

L’objectif selon lui, est de promouvoir des solutions ou des idées innovantes et de permettre aux entreprises solaires innovantes de dupliquer leurs solutions et surtout mener des activités commerciales fructueuses au sein des couches sociales les plus pauvres.

A terme, ce soutien devrait permettre d’augmenter considérablement le nombre de ménages ayant accès à l’énergie, de faire de l’économie inclusive une réalité dans le secteur de l’énergie solaire, de favoriser l’engagement des partenaires à soutenir la plateforme dans ses activités entre autres, a affirmé le facilitateur.

https://www.atoojob.com/acces-a-lenergie-115-millions-de-francs-cfa-du-pnud-a-5-entreprises/

Nadji.Bi a été primé par le United Nations Development Programme - UNDP pour ses produits solaires innovants, inventés et fabriqués au Sénégal

Ce 03 juillet 2018 à Dakar, Sénégal, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a procédé à la remise des prix du Concours d’innovation « Accélération des modèles d’affaires inclusifs pour promouvoir l’accès et l’utilisation des services d’énergie solaire par les populations au Sénégal ». Organisé dans le cadre du soutien à la mise en œuvre de par la plateforme « Initiative Ecosystème des Entreprises Inclusives de l’Energie Solaire » (IEEIES), qui bénéficie de l’appui du PNUD, le concours était ouvert à toutes les entreprises, associations ou administrations ayant un modèle inclusif de déploiement de systèmes énergétiques solaires à travers le Sénégal et visait à assister des entreprises dans leur démarche d’amélioration de l’accès à l’énergie pour les populations défavorisées, en incluant ces dernières dans la chaine de valeur. Les cinq entreprises primées ont reçu chacune un montant global de 40.000 Dollars US. C'est la première fois que le PNUD offre une subvention de cet ordre à des entreprises, surtout dans le domaine des énergies renouvelables.

Suite au constat des difficultés que rencontrent les entreprises solaires sénégalaises pour fournir un service énergétique idéal aux populations au bas de l’échelle économique, le PNUD a pris en avril 2017 l’initiative d’appuyer la mise en place d’une plateforme multipartite et multisectorielle des acteurs de l’énergie solaire, IEEIES, qui porte la réflexion sur l’élimination des barrières auxquelles sont confrontées les entreprises solaires inclusives. La platefome a pour principale mission d’assurer aux populations et aux petites entreprises défavorisées l’accessibilité à l’énergie solaire par des écosystèmes favorables.

A travers l’organisation de ce concours, le PNUD montre sa volonté de soutenir l’accélération de solutions entrepreneuriales inclusives efficaces qui lèvent les obstacles majeurs pour l’éradication de la fracture énergétique, à travers le développement d’un écosystème ayant un réel impact social et environnemental. L’objectif principal est de promouvoir des solutions ou idées innovantes ayant montré leur efficacité, et de permettre aux entreprises solaires inclusives de dupliquer leurs solutions et surtout de mener avec les couches sociales les plus pauvres des activités économiques mutuellement bénéfiques. A long terme, ce soutien devrait permettre (i) d’augmenter considérablement le nombre de ménages ayant accès à l’énergie, (ii) de faire de l’économie inclusive une réalité dans le secteur de l’énergie solaire, de favoriser l’engagement des partenaires à soutenir la plateforme dans ses activités, (iii) de permettre une meilleure compréhension de l’apport de la finance climatique pour une économie inclusive.

La cartographie du secteur réalisée en 2016 par le PNUD avait pour principales recommandations : (i) le partage d’information pour une mise à niveau de tous les acteurs ; (ii) la mise en place de mesures d’incitation encourageant les entreprises à travailler avec les populations à faible revenu ; (iii) développer des investissements qui diminuent les difficultés liées aux marchés à faible revenu et ; (ii) l’appui à la mise en œuvre qui facilite l’opérationnalisation des entreprises inclusives dans le marché du bas de la pyramide économique.

Solution proposée par chaque lauréat

Bonergie Sarl : mise en place de boutiques solaires dans des zones reculées ou difficiles d’accès, proposant tous les services y compris conception, financement, installation et maintenance.

GIE Palette/Femmes Emergentes de Mékhé (en partenariat) : fourniture d’une assistance technique aux femmes, qui ensuite effectuent le montage des systèmes et équipements solaires ainsi que la distribution.

Little Sun GMBH : collaboration avec les groupements de femmes utilisées comme relais pour la distribution des solutions solaires PICO.

Suntaeg Energy : électrification des ménages ruraux dans les zones rurales et périurbaines, avec à la clé un réseau de services bien maillé à travers le territoire national.

Nadji.bi : logée à Mbour, cette entreprise de production d’équipements solaires a un projet de développement d’écovillage solaire intelligent permettant d’assurer une bonne condition de vie et de confort des populations.

http://www.sn.undp.org/content/senegal/fr/home/presscenter/articles/2018/Concours_innovation_access_energie.html

2017

Nadji.Bi Group

The company designs molds for its product casing. The products are made from a combination of Smart Electronics PCBAs, LED lighting, Lithium type batteries and Cristalline PV modules, and they optimize the relations between the above components.

http://www.techinafrica.com/senegals-top-startups-year/

Nadji.Bi invité au forum de la Banque Africaine de Développement (BAD - AfDB) et de Gogla à Abidjan pour présenter ses innovations en terme de financement et de fabrication locale

Nadji.Bi invité au lancement du fonds ROGEP - ECREE / Banque Mondiale à Dakar Sénégal pour partager son expérience

Nadji.Bi accueille une délégation Allemande de Technische Universität Berlin et du West African Science Service Centre on Climate Change dans son usine de Mbour au Sénégal

Mamadou Sakho est devenu incontournable lorsqu’il s’agit d’écologie au Sénégal. A seulement 32 ans, il est le CEO de Janna, une plateforme qui a pour vocation de devenir le site écologique de référence au pays de la Teranga. Entretien avec un entrepreneur ambitieux.


Janna, une plateforme multi-services

C’est en 2015, avec 20 000 euros en poche, obtenus en économisant et en empruntant à un ami qui croyait en son projet, que ce jeune diplômé d’un Master en gestion des entreprises de l’IDRAC à Lyon (France) a décidé de monter sa boite. La structure, dont les activités ont commencé au cours du deuxième semestre 2016, est composée de plusieurs pôles distincts. L’entretien paysager, département principal, est développé majoritairement grâce aux vacataires et journaliers dont le nombre évolue selon les missions. Ces agents, diplômés de l’école d’horticulture de Dakar, travaillent à entretenir les espaces verts d’une quinzaine de clients réguliers et d’une vingtaine d’occasionnels. La commercialisation de produits annexes, tels que des cache-pots en wax ou des mangeoires pour oiseaux, est une branche que le jeune chef d’entreprise tient à enrichir dans les prochaines années.

D’ici à 5 ans, Janna prévoit de développer ses services et obtenir une centaine de clients fidèles, créant ainsi un chiffre d’affaires d’environ 50 millions de francs CFA pour cette seule activité de jardinage. La société vise également les clients professionnels. En lien avec plusieurs agences immobilières bien implantées, Janna obtient de nouveaux clients particuliers et professionnels par ce biais de mise en relation. Ce dernier marché lui rapporte en moyenne 800 000 CFA par contrat. Depuis le début de son exploitation, OLAM est son principal client professionnel. Le groupe a fait appel au savoir-faire de Janna pour donner une nouvelle allure à tous ses espaces verts.

L’influence de Janna s’étend également au domaine éducatif. Au travers le livre « La terre des enfants », co-écrit avec Ngoné Hélène Diop, Mamadou Sakho fait « un appel à la fraternité, pour lutter pour une cause qui nous concerne tous », explique-t-il. Vendu 10 000 CFA, l’objectif de Mamadou Sakho est d’écouler 300 000 exemplaires. Un projet prometteur qui verra certainement le jour maintenant que le Ministère de l’éducation sénégalais a validé la démarche et que plusieurs librairies, Harmattan, le musée de la femme ou encore Didactika s’intéressent à la commercialisation de celui-ci.

La commercialisation de vêtements représente aussi une partie du volet artistique. Le logo, simple mais éloquent, représente deux feuilles entrecroisées qui forme un « V » la première lettre du nom de la marque « Vert ». De plus, Janna Entertainement a produit un court métrage intitulé « Green Movie », qui prône une vision urbaine et moderne de la prise de conscience du drame écologique. Le film a rencontré un franc succès lors de sa projection officielle, sponsorisée par le groupe Eiffage, le 24 février dernier. Sur cette lancée, le pôle divertissement compte réaliser d’autres vidéos afin de poursuive la sensibilisation.

Elaboration d’actions de proximité

Parti de rien pour monter son entreprise, Mamadou Sakho a toujours eu en tête de rentrer vivre et entreprendre au Sénégal, son pays d’origine. Bien que les débuts de son périple aient été difficiles- « j’ai eu une première expérience sur le continent qui n’a pas été concluante », explique t’il-, son envie de se lancer dans le bain de l’entreprenariat est venu du constat qu’il y était difficile de trouver un emploi.

Concevoir et faire vivre le continent, c’est ce à quoi s’attèle le chef d’entreprise : « l’Afrique regorge de jeunes talents qu’il faut mettre en avant et c’est aussi le but de Janna. » Une partie de la conception des vêtements de la marque est ainsi réalisée au Sénégal. De même, la production et la réalisation de son court-métrage a été faite grâce à une équipe de jeunes sénégalais.

Autre projet qui lui tient à cœur, avec son ami d’enfance et acolyte Ibrahim Konté, Mamadou Sakho s’est évertué à électrifier le village de Maradan, au sud du Sénégal. Après une campagne de crowdfunding et un complément en fonds propres, ils ont réussi à apporter des kits solaires et des lampes de la marque Nadji Bi « made in Sénégal » à toute la population du village.

Le CEO de Janna s’applique à effectuer des actions de proximité auprès des jeunes et des moins jeunes. Sponsor de l’équipe de basketball de Mermoz, l’un des plus anciens clubs de Dakar, les joueurs ont pour devoir de penser écologie au quotidien. Par ce biais, ils doivent soit se fournir en lampes écologique, faire le tri sélectif des ordures ou encore se mettre au co-voiturage. En distribuant gratuitement des poubelles aux anciens des quartiers et aux commerçants principaux de la capitale, Mamadou assure une sensibilisation auprès d’un large public.

Un précurseur

Le choix du nom parle de lui-même. Janna, une contraction des prénoms de ses grand-mères, a pour signification jardin ou encore paradis. Un jardin où Mamadou Sakho sème un grand nombre de graines pour voir germer une mentalité responsable écologiquement. Pas étonnant dès lors que ses prises de position aient été saluées par les conseillers du président sénégalais Macky Sall. En effet, son action aide à la vulgarisation d’un mode de pensée peu répandu et l’entreprise dépoussière l’image de cet univers manuel qu’est le jardinage tout en lui apportant une dimension professionnelle. Au final, en inversant la dynamique d’une société africaine tributaire des avancées écologiques occidentales, Janna se positionne sur un créneau peu exploité et parfois dénigré sur le continent.

Fleur-Jennifer NTOKO MOUSSIO

https://forbesafrique.com/mamadou-sakho-fondateur-de-la-plateforme-ecologique-janna/

En dix ans, le continent doit créer 122 millions de postes pour ses jeunes. Un défi de taille, mais pas inaccessible si les gouvernements misent sur la transformation du secteur informel et sur plusieurs gisements d’embauches.

De l’emploi, et vite ! Au sein de l’immense siège de l’Organisation internationale du travail (OIT), à Genève, il y avait au début du mois d’avril un air de déclaration de guerre contre le chômage. L’agence onusienne avait réuni plusieurs centaines de chercheurs, syndicalistes et patrons des quatre coins du monde pour réfléchir sur l’avenir du travail, la fin redoutée de la protection sociale et l’avènement des robots.

122 millions de postes à créer en Afrique

Un chiffre planait au-dessus de toutes les conjectures : 600 millions. C’est le nombre colossal d’emplois qu’il serait nécessaire de créer d’ici à dix ans – dont 122 millions en Afrique – pour absorber l’afflux de jeunes qui entreront sur le marché du travail.

Les chiffres concernant le continent ne souffrent d’aucune ambiguïté. Le Maghreb connaît un taux de chômage de 27 % en moyenne, qui atteint 40 % chez les jeunes femmes. Au sud du Sahara, où ce chiffre grimpe jusqu’à 50 %, le problème porte également sur la qualité des emplois, avec 40 % de travailleurs pauvres.

Les gouvernements africains affichent leur bonne volonté en organisant tous les deux ans une rencontre des ministres du Travail de l’Union africaine consacrée à l’emploi et au développement social. La dernière en date a eu lieu à Alger du 24 au 28 avril. Mais les faits sont têtus. Ainsi, la Guinée compte, pour une population active de 5 millions de personnes, « environ 100 000 postes dans le secteur public et 60 000 dans le privé », estime Mamadou Saliou Diallo.

CERTAINS DIPLÔMÉS OPTENT POUR L’ÉMIGRATION, MAIS LA MAJORITÉ SE TOURNE VERS L’INFORMEL ET LE SYSTÈME D

Pour le secrétaire général de l’Organisation nationale des syndicats libres de Guinée (ONSLG), également présent à Genève, « si vous n’êtes pas proche du pouvoir, vous n’avez aucune chance ».

La situation n’est guère plus rose en Côte d’Ivoire, qui est pourtant la locomotive économique de l’Afrique de l’Ouest : le marché formel du travail, secteurs public et privé confondus, y offre moins d’un million d’emplois, quand la population active compte près de 9 millions de personnes et elle gonfle de 300 000 jeunes tous les ans. Ces dynamiques délétères laissent une part considérable des jeunes aux portes des entreprises. Certains diplômés optent pour l’émigration, mais la majorité se tourne vers l’informel et le système D.

Pourtant le chômage n’est pas une fatalité. Dans la deuxième édition du rapport Lions on the Move, paru en septembre 2016, le cabinet de conseil McKinsey tablait ainsi sur 6 à 14 millions de créations d’emplois en dix ans… si la formation et l’industrialisation suivent.

Des chefs d’entreprise et des économistes mettent en avant de véritables gisements d’emplois, notamment dans l’artisanat, les métiers techniques, ou s’appuyant sur les nouvelles technologies de la communication ou celles liées à l’environnement. Jeune Afrique a donc identifié les principaux secteurs créateurs d’emplois décents, du solaire au BTP en passant par la grande distribution. Et fait le point sur les méthodes qui marchent pour faire évoluer les emplois informels vers le secteur formel.

Emplois verts : un horizon dégagé

L’OIT estime que la transition écologique créera pas moins de 60 millions d’emplois d’ici à 2030 dans le monde. « Les effets d’une économie plus sobre en matière d’émission de gaz à effet de serre se feront sentir en Afrique comme ailleurs », estime le Sénégalais Moustapha Kamal Gueye, coordonnateur du programme des « emplois verts » de l’agence onusienne. Les exemples abondent déjà.

L’Ouganda connaît un véritable boom de l’agriculture biologique, avec des produits vendus à l’exportation (ananas) ou sur le marché local (banane plantain, millet, manioc…). La Zambie s’est lancée dans la construction d’un million de logements selon des normes environnementales plus exigeantes, s’appuyant sur des filières d’approvisionnement locales (bois, brique de terre comprimée…). Quant au programme sud-africain Working for Energy, il fait référence sur le continent.

Lancé en 2011, il vise à promouvoir la production d’énergies renouvelables à forte intensité de main-d’œuvre, par exemple avec la transformation des plantes invasives désherbées en combustible vert. Pretoria estime à quatre millions les possibilités d’emplois rémunérés générés depuis le lancement du programme, même si certains d’entre eux sont précaires.

Le Sénégal suit également cette voie. Mi-2016, Dakar a décidé d’injecter 3 milliards de francs CFA (environ 4,5 millions d’euros) pour soutenir la création de microentreprises vertes telles que des micro-unités de dessalement de l’eau de mer ou des bacs réfrigérés transportables par tricycle pour la revente des poissons sur les marchés. Le Sénégal espère ainsi créer 10 000 emplois (dont 4 000 directs et 6 000 indirects) d’ici à 2020, et 30 000 d’ici à 2035.

Les énergies renouvelables, un secteur prometteur

Dans ce contexte porteur pour les énergies renouvelables, la fabrication et la distribution de produits solaires sont particulièrement dynamiques. En mars, l’Africa Progress Panel, think tank présidé par Kofi Annan, estimait les ventes de lampes solaires à plus de 10 millions d’unités par an sur le continent.

Si le Kenya, l’Éthiopie et la Tanzanie sont pionniers sur ce créneau, les entreprises d’Afrique francophone s’y mettent à leur tour, comme la société sénégalaise Nadji Bi, active à Mbour depuis 2014. Si elle ne compte que 20 salariés, la distribution de ses produits solaires dans une dizaine de pays ouest-africains, via des commerçants, des groupements de femmes ou des sociétés de microcrédit, générerait plusieurs milliers d’emplois, mais le chiffre exact est difficile à estimer.

« Installateurs, vendeurs, représentants, menuisiers, tout un écosystème se développe », fait valoir Julien Potron, DG de la société. Même effet sur l’emploi chez Off Grid Electric. Cette entreprise californienne s’est associée au leader de l’énergie français, EDF, en novembre 2016 pour vendre des kits solaires en Côte d’Ivoire, où il vise 1,5 million de clients. Cinq ans après ses débuts en Tanzanie et aux Seychelles, en 2011, la société comptait déjà, selon Citibank, plusieurs centaines d’agents.

Jobs à la tâche : un eldorado controversé

Des particuliers équipés d’un ordinateur et payés à faire du traitement de texte, de la modération sur les réseaux sociaux ou du classement de factures pour le compte d’entreprises : c’est le principe de la gig economy (économie de la prestation), nouvelle forme d’offshoring par internet payé à la tâche.

En Afrique, ce mode de travail peut permettre d’améliorer ses revenus et d’avoir davantage d’autonomie, selon les résultats, présentés à Dakar en mars, d’une enquête conduite par les chercheurs du Gordon Institute of Business Science de l’université de Pretoria auprès de 500 de ces e-travailleurs, notamment au Kenya, au Nigeria et en Afrique du Sud.

En 2013, au moment d’ouvrir Naijacloud, un site de mise en relation entre employeurs et microsalariés numériques, le Nigeria avait même estimé que ce secteur pourrait représenter 450 à 900 millions de dollars par an.

Depuis six mois, Isahit, une société française, tente de reproduire ce modèle en commençant par l’Afrique francophone. Au Cameroun, des femmes vont travailler sur les marchés le matin puis passent l’après-midi à modérer les commentaires de sites internet. Au Togo et au Burkina, des étudiants arrondissent aussi leurs fins de mois de cette manière.

AMAZON, C’EST DE L’ESCLAVAGE !

Le modèle d’Isahit est proche de celui d’Amazon Mechanical Turk, plateforme de microtravail du géant de l’e-commerce. Sauf que les niveaux de rémunération des 500 000 turkers d’Amazon sont vivement critiqués, avec parfois quelques cents de dollar seulement par tâche. « Amazon, c’est de l’esclavage ! » tance Isabelle Mashola, la cofondatrice d’Isahit, qui met en avant sa politique de rémunération. Son site paye 20 dollars (18 euros) par jour pour sept heures de travail, et entend recruter 10 000 personnes à Dakar, Abidjan, Ouagadougou, Pointe-Noire et Yaoundé.

Grande distribution : pléthore d’opportunités

Doucement mais sûrement, les supermarchés font leur trou. Ils sont déjà 37 en Afrique de l’Ouest, un nombre en hausse de 20 % en dix-huit mois, selon Sagaci Research, un cabinet de recherche économique spécialisé dans la grande distribution en Afrique. Carrefour, Casino, Shoprite, Nakumatt, Prosuma… Chaque ouverture donne lieu à son lot d’embauches.

« Au Kenya, ce sont 200 à 300 personnes par magasin avec un contrat en bonne et due forme », estime Julien Garcier, le fondateur de Sagaci Research. Et les retombées ne se limitent pas aux emplois directs.

En Côte d’Ivoire, le nouveau Carrefour d’Abidjan (à Marcory) a embauché 500 salariés pour gérer ses quelque 20 000 m2, mais il a aussi fait augmenter les effectifs des fournisseurs de l’enseigne, qui ont dû investir et se moderniser pour atteindre les niveaux de production et de qualité demandés.

Marie-José Neveu, chef de projet financement et filières agroalimentaires de la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (Farm), met en exergue le cas de Gédéon Logon, éleveur de bétail et producteur d’œufs installé à Jacqueville depuis vingt ans et devenu l’un des premiers fournisseurs du nouveau magasin.

CETTE DÉMARCHE DE STRUCTURATION VERTICALE D’UNE FILIÈRE, SANS INTERMÉDIAIRE DU PRODUCTEUR JUSQU’À LA GRANDE SURFACE, CARREFOUR L’A REPRODUITE AU KENYA POUR SES ACHATS DE POISSONS

Pour cela, il a dû créer un abattoir et s’équiper d’un camion frigorifique grâce à un prêt de 600 000 euros accordé par un pool de banques locales et soutenu par Carrefour. Avec l’embauche de 20 salariés à la clé. « Cette démarche de structuration verticale d’une filière, sans intermédiaire du producteur jusqu’à la grande surface, Carrefour l’a reproduite au Kenya pour ses achats de poissons, observe Julien Garcier. Alors que les grossistes ne voulaient pas le livrer, le groupe a pris contact directement avec les pêcheurs pour que certains d’entre eux se structurent et deviennent ses fournisseurs en direct. »

L’impact positif sur l’emploi devrait s’accentuer dans les prochaines années puisque CFAO, le partenaire de Carrefour pour le développement de centres commerciaux africains, entend ouvrir d’autres supermarchés au Cameroun, en Côte d’Ivoire, au Gabon, au Ghana, au Nigeria, au Sénégal, au Congo et en RD Congo. Et le sud-africain Shoprite multiplie les inaugurations, y compris dans des pays où la logistique est compliquée, tels que la RD Congo et Madagascar.

Emplois informels : des pistes pour les transformer

Les besoins africains en infrastructures sont colossaux – 100 milliards de dollars – et le continent est loin d’avoir rattrapé son retard. La construction de routes, de ports, de centrales électriques et de stations d’eau potable nécessite des milliers de travailleurs. Mais, dans de nombreux cas, les chantiers ne trouvent pas de plombiers, de maçons, de peintres, d’électriciens ou de mécaniciens.

« Quand Aliko Dangote construit une raffinerie au Nigeria, la main-d’œuvre vient de Chine », regrette Acha Lecke, le patron Afrique du cabinet McKinsey. Richbond, fabricant de meubles établi à Casablanca qui assure actuellement la réfection d’un palace d’Abidjan, ne parvient pas non plus à y trouver de bons artisans. Faute de menuisiers et de tapissiers assez compétents dans la capitale économique ivoirienne, le chantier est confié à des ouvriers marocains.

Pourtant, certains de ces savoir-faire courent les rues, dans le secteur informel, même si ces travailleurs n’ont pas toujours le meilleur niveau et n’ont pas de diplômes en bonne et due forme. Mais comment convertir ces employés informels au secteur formel ? « Pour eux, il faut imaginer des formes de certification et une valorisation du savoir-faire et des acquis », plaide Youssouf Maiga, un expert indépendant sur les questions d’emploi établi au Burkina.

Les formations techniques ou liées à l’artisanat sont malheureusement encore rares. Et, quand elles existent, leurs diplômés sont souvent mal accompagnés à la sortie. Dans les années 2000, la chambre de commerce de Dakar avait lancé un programme de formation et de professionnalisation, enrôlant un millier de teinturières, couturières, céréalières et électriciennes et les invitant à s’inscrire en fin de parcours au registre des métiers.

COMBIEN DE PERSONNES ONT ÉTÉ INTÉGRÉES DE MANIÈRE DURABLE, ET NON PAS SUR UN SEUL CHANTIER

Plus de dix ans plus tard, personne ne sait ce que ceux qui en ont bénéficié sont devenus. « Faire passer les emplois du BTP de l’informel au formel n’est pas une évidence. Combien de personnes ont été intégrées de manière durable, et non pas sur un seul chantier, pendant quelques semaines ou quelques mois ? », s’interroge de son côté Acha Leke, pour qui ces programmes doivent nécessairement être complétés par des formations à la gestion et à l’entrepreneuriat.

Une réponse intéressante au défi de l’informel est donnée par le Rwanda, où la mise en place de règles et de normes de travail passe par la multiplication des coopératives, qui intègrent des centaines de milliers de travailleurs indépendants. « Elles permettent des relations plus normales entre employeurs et salariés, avec une forme minimale de protection sociale, et génèrent des revenus supplémentaires ainsi qu’une meilleure régulation », estime Eric Manzi, le secrétaire général de la Centrale des syndicats des travailleurs du Rwanda (Cestrar). Les premières sont apparues dans la production de thé, puis d’autres sont nées dans les secteurs des taxis-motos, du café ou du riz.

Les applications mobiles, un outil de la transition ?

Les États pourraient aussi jouer un rôle décisif dans les mines, vis-à-vis des dizaines de milliers d’orpailleurs artisanaux qui travaillent dans des conditions souvent lamentables, en conditionnant la poursuite de leur activité au respect de règles de sécurité et environnementales.

Au Ghana, au Mozambique et au Burkina Faso, des périmètres d’excavation ont ainsi été réservés aux mineurs artisanaux, qui ont dû en contrepartie acquérir un matériel adéquat pour leur activité (motopompes, marteaux-piqueurs, broyeurs…), notamment grâce à l’appui d’organismes de microcrédit.

Dernière piste pour effectuer cette transition entre informel et formel : les applications mobiles. Ammin Youssouf, le fondateur d’Afrobytes, un incubateur parisien pour pépites africaines du numérique, y croit dur comme fer. Selon lui, les prestataires de services qui trouvent leurs clients via des applications d’intermédiation – telles que les plateformes d’hébergement (Airbnb, Vizeat), de taxi (Uber) ou de livraison de plats cuisinés (Deliveroo) – entreront un jour dans le circuit formel grâce à des accords avec les gouvernements africains, à l’image de ce qui se fait Europe et aux États-Unis.

Benjamin Polle


Hilfe zur Selbsthilfe

Eine Zukunft für Afrika

Bayern will die Lebensperspektiven der Westafrikaner verbessern, so dass diese ihr Heil nicht in der Flucht suchen. Das Erzbistum Bamberg hilft dabei.

Hinter der unscheinbaren Gebäudefassade am Place du Martyr Mamadou Diop verbirgt sich ein hochmodernes Unternehmen. "Nadji.Bi" in der senegalesischen Kleinstadt Mbour produziert solarbetriebene Taschenlampen und Akkus für Smartphones. Mit einem gewissen Stolz präsentiert Firmenchef Julien Potron der Delegation aus Bayern mit Europaministerin Beate Merk diese innovativen Erzeugnisse, die vor allem der ländlichen Bevölkerung zugute kommen. Die Elek-trifizierung hat das Land bisher kaum erreicht. Aber Sonne gibt es satt.

Obendrein sichert Potron rare Arbeits- und Ausbildungsplätze. Aufmerksam hört Ministerin Merk zu, als Zahlen genannt werden: 30 Prozent der senegalesischen Hochschulabsolventen sind langzeitarbeitslos. Da bekommt es ein besonderes Gewicht, dass "Nadji.Bi" im Jahr 2016 rund 1000 junge Menschen in Sachen erneuerbare Energien fortgebildet hat mit dem Ziel, sie in dörflichen "Solarboutiquen" einzusetzen. Darin werden die Dorfbewohner im Umgang mit den Solargeräten geschult sowie Reparaturen erledigt.

Als die bayerische Europaministerin Merk mit ihrer Delegation aus der Staatskanzlei in den westafrikanischen Senegal aufbrach, war ihre Mission klar: Im Zuge des Sonderprogramms der Staatsregierung "Perspektiven für Flüchtlinge in ihren Heimatländern" wollte sie erkunden, durch welche Projekte gerade junge Senegalesen zum Bleiben und zur Rückkehr ermutigt werden können. "Bayern als Zielland für Migration stellt sich der Verantwortung, im Rahmen seiner Möglichkeiten die Situation von Flüchtlingen und Migranten in ihrer Heimat oder deren unmittelbaren Nachbarländern zu verbessern", sagte Merk. Denn wenn sichtbar dazu beigetragen werde, den Menschen vor Ort eine bessere Lebensperspektive zu geben, werde der Migrationsdruck auf Europa verringert: "Wer eine Perspektive für sich und seine Kinder sieht, bleibt in seiner Heimatregion", vermutete Merk.

Ihren Besuch im Senegal inklusive Empfang durch Staatspräsident Macky Sall verstand die Ministerin als "politischen Startschuss" für die Freigabe von drei Millionen Euro, die der Freistaat dort bis 2018 investieren will. Auf der Arbeitsebene waren schon zuvor Kontakte mit möglichen Projektpartnern geknüpft worden. Dabei kristallisierte sich das Erzbistum Bamberg als der Partner mit den höchsten Aussichten auf eine nachhaltige Entwicklung zugunsten junger Senegalesen heraus: Seit zehn Jahren pflegt Bamberg eine Diözesanpartnerschaft mit dem Bistum Thiès und unterstützt dort unter anderem etliche Schul- und Berufsausbildungseinrichtungen. "Wir wollen Synergieeffekte nutzen und uns in der Region Thiès engagieren", erklärte Merk. Dass die katholische Kirche von Bamberg intensiven Kontakt mit Thiès hat, "ist für uns Anlass zu sehen, wie wir diesen weiter unterstützen können".

Das versicherte die CSU-Politikerin auch dem Bischof von Thiès, André Gueye, der sie in seinem Haus empfing. "Der Flüchtlingsstrom lässt sich durch internationale Solidarität eindämmen, die Perspektiven zum Bleiben im Senegal eröffnen", sagte der Bischof. Und nannte auch gleich seinen Wunschkatalog: Die Wasserversorgung im Agrarbereich müsse verbessert werden, inklusive Installation von erneuerbaren Energien wie Solarpumpen. Der Bedarf an Fortbildungen in diesem Sektor sei hoch, ebenso wie die generelle Berufsausbildung, "damit junge Leute nicht auf die Idee kommen, wegzugehen", so Bischof Gueye.

Tatsächlich versuchen Tausende Senegalesen, aus ihrer Heimat zu fliehen. Sorgfältig erstellte Statistiken gibt es natürlich nicht, die konkrete Auskunft darüber geben, wie viele der rund 15 Millionen Einwohner es unter dem Strich sind, die die mörderische Reise über das Meer antreten. Oder nach Ablauf eines Touristenvisums untertauchen.

Die Häfte ist jünger als 18 Jahre

Nur 1,4 Prozent der Asylanträge wird stattgegeben. Der Senegal zählt zu den sogenannten "sicheren Herkunftsländern", gilt als Stabilitätsanker in Afrika. So lautet die Sicht von außen. Doch junge Senegalesen sehen die politischen Verhältnisse in ihrer Heimat viel kritischer. "Die Politiker machen viele Versprechen, realisieren aber nichts", beklagt etwa Gabriel Tine aus Thiès. Der 30-jährige Diplom-Germanist engagiert sich trotzdem oder gerade deswegen in der Oppositionspartei REWMI, die 2006 gegründet wurde. 50 Prozent der jungen Menschen unter 30 Jahren seien arbeitslos, in die wichtige Landwirtschaft werde nicht investiert, der Gesundheitsbereich tendiere im Standard gegen Null, es fehlten Schulen und Lehrer, die Bevölkerung leide unter Mangelernährung - "immer nur Reis und Baguette", während das gute Gemüse zu niedrigen Preisen nach Europa exportiert werde, kritisiert Gabriel. "Alle Sektoren im Senegal sind krank!" bilanziert der Deutschlehrer, der sich mit etwas Unterricht an einer Privatschule übers Wasser hält.

Zumindest träumt Gabriel nicht davon, den Senegal zu verlassen. Vielmehr möchte er eines Tages Bürgermeister von Thiès werden und als erste gute Tat mit einem deutschen Unternehmen für die Müllentsorgung eine Kooperation eingehen: "für ein sauberes Thiès", sagt er angesichts der stinkenden Abfallberge an den Straßen. Gabriel und seinen zahllosen Schicksalsgefährten Zukunftsperspektiven zu verschaffen, hat sich nun Ministerin Merk auf die Fahne geschrieben. Ihr ist klar, dass sie gerade Migration nicht nur durch die deutsche Brille betrachten darf. Auswanderung hat im Senegal Tradition. In nahezu allen afrikanischen Ländern haben sich Senegalesen ein neues Zuhause geschaffen. Von den 15 Millionen Einwohnern Senegals ist die Hälfte jünger als 18 Jahre: "eine immense Herausforderung", betonte Merk, die mit dem Senegal erstmals ein schwarzafrikanisches Land besuchte.

Das Sonderprogramm der Staatsregierung kooperiert mit einem des Bundesministeriums für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ). Das BMZ hat das Neuvorhaben "Réussir au Sénégal" ins Leben gerufen, eine Beschäftigungs- und Qualifikationsoffensive, die die deutschen Erfahrungen im Energiesektor nutzen will, um Jugendlichen und Rückkehrern mehr moderne, attraktive Jobs zu schaffen. Vor diesem Hintergrund stand auch der Besuch bei "Nadji.Bi".

In den kommenden Wochen wird Merk ihre Erfahrungen in konkrete Schritte umsetzen. Das Erzbistum Bamberg soll daran beteiligt werden. In das Sonderprogramms sind neben dem Senegal auch der Libanon, Nordirak und Tunesien aufgenommen werden. Das Fördervolumen für die vier Länder umfasst 20 Millionen Euro, verteilt auf die Jahre 2017 und 2018.

https://www.infranken.de/regional/bamberg/Eine-Zukunft-fuer-Afrika;art212,2624513

Visite d'une délégation de Bavière dans l'usine de Nadji.Bi à Mbour, Sénégal - la vice chancelière de Bavière Dr. Beate Merk met Nadji.Bi à l'honneur

 
 
 


This academic year, AIMS Senegal received 56 (20 Co-op and 36 Regular) scholars from 14 African countries.

Le président de la République son excellence Macky Sall honore Nadji.Bi est l'invite pour le lancement du Club Sénégal Emergent au palais présidentiel à Dakar, Sénégal

SENEGAL VILLAGES LIGHT UP FAST WITH HOUSEHOLD SOLAR PRODUCTS

In Senegal, where only 30% of people living in rural areas have access to electricity, change is afoot. Households that up till now have been reliant on kerosene for cooking and light are being targeted by a passionate workforce selling quality solar lanterns and solar home systems.

Nadji Bi, translated in Wolof as “the light of the sun”, is the only domestic manufacturer of small-scale solar products in the West African nation. The company accomplishes a lot for a workforce of only 35 people. Its factory, close to Senegal’s capital Dakar, makes solar lamps, solar home systems and solar-powered street lights – enough of them to bring electricity to around 7,000 households annually. In addition, Nadji Bi’s construction team is working on larger-scale solar projects that will provide electricity to Senegal’s national grid, and the company offers training in solar technology for local engineering students.

Manufacturing products in-country helps establish local expertise, creates jobs and helps underpin a profitable economy around renewables, Nadji Bi founder Julien Potron said in Dakar. Charities that distribute similar products for free distort the market and hurt companies like his own, he said.

Meanwhile, as Nadji Bi goes about selling its Senegal-made products, other companies such as Bonergie, MicroCred and Total are marketing imported solar products to Senegal’s rural population. Many of these items are subject to import tax duties at the country’s borders, making them more expensive than products sold on the black market, but people are often prepared to pay the extra to secure something of better quality.

To make the new technology more accessible, Bonergie and MicroCred also allow customers to pay an initial deposit and gradually pay off the full price of the product over time. One particularly clever credit system from Microcred, a micro-finance institution, will lock batteries inside their solar lamp remotely and stop it working, if a customer fails to make a payment. Nadji Bi also offers credit purchasing options for its product and is speaking with mobile phone operators to set up payments via mobile phones – a payment system already very popular in Kenya and Tanzania for small-scale solar.

The trend for high-quality, environmental solar products is also highlighted by oil and gas company Total’s decision to sell a range of products in shops specially set up next to its petrol stations in Senegal. All products come with a 2-year warranty and the company is looking at offering customers credit.

It must also be said that Senegal has a well-developed government policy to bring electricity to rural areas, whereby electricity operators are responsible for setting up micro-grids in the concession area they are allocated. But this process can take a long time and activity is yet to be seen in some concession areas. Higher rural electricity prices than those offered by state utility Senelec can also cause challenges with customer uptake.

Selling small-scale solar products is subject to much less regulation and has good prospects in the electricity-starved regions of Senegal. As the industry gains ground we are likely to see more advanced products coming to market – ranging from larger televisions and energy-efficient fridges to solar-powered pumps and solar water heaters. Around 75% of Senegal’s population works in agriculture, according to the US CIA, so where the demand is, industry will follow… And as East Africa’s small-scale solar models move West, Senegal could be the next place on the map for fast-growing companies like M-KOPA Solar. Let’s just say, watch this space.

Bryony Collins Editor,

Bloomberg New Energy Finance

http://2016.global-climatescope.org/en/blog/2017/01/12/climatescope-blog-Senegal/

2016

(Agence Ecofin) - Heri Madagascar distribuera bientôt dans ses kiosques les produits de Nadji.Bi, un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation africains. Après un processus de qualification ayant duré plus de 18 mois,

Heri Madagascar a commencé à proposer, depuis le 1er septembre, les lampes solaires portables Nadji.Bi Lion v.1 et les lampadaires Nadji.Bi Star v.1.

Ces produits ont convaincu les dirigeants de Heri Madagascar qui se sont montrés élogieux envers les produits du groupe basé au Sénégal. D’après Sylvain Martin, le directeur général de Heri Madagascar, « en plus d’être compétitifs et de très bonne facture, les produits Nadji.Bi correspondent parfaitement à la demande locale ».

« Nous avons aussi été séduits par le service et le professionnalisme des équipes de Nadji.Bi. A l’avenir, nous serons évidemment volontaires pour tester les produits Nadji.Bi à Madagascar si la marque solaire panafricaine continue ses efforts de recherche et de développement, et met en vente de nouveaux produits aussi intéressants », a-t-il poursuivi.

Des propos qui ont ravi Ismaël Mohamadou Djida, le président de Nadji.Bi, qui a déclaré : « Après le passage des Standards Qualité de Lighting Global par notre kit solaire Nadji.Bi Zebu v.1, notre qualification auprès de Heri Madagascar démontre encore une fois le niveau de qualité que Nadji.Bi est capable de développer».

Heri Madagascar dispose actuellement de 65 kiosques énergétiques à travers la grande île. L’entreprise y propose des services complets allant de la location et de la vente de produits solaires à la location d’espaces réfrigérants ou de téléviseurs. Elle devrait lancer prochainement 80 kiosques supplémentaires avec l’appui du programme Power Kiosk porté par l’Union européenne.

https://www.agenceecofin.com/solaire/2009-41002-nadji-bi-fait-ses-premiers-pas-sur-la-grande-ile

HERi Madagascar distribue les produits solaires de Nadji.Bi : Quand la technologie Solaire Panafricaine de qualité illumine l’île Rouge, c’est l’Afrique qui gagne !

Mbour, le 15 Septembre 2016 – Le groupe Panafricain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, et HERi Madagascar, entreprise fournissant un accès à des produits et services à forts impacts sociaux en zones rurales à Madagascar à travers son réseau de kiosques énergétiques, ont décidé de travailler ensemble. A partir du 1er septembre, HERi Madagascar distribuera dans ses kiosques des produits solaires Nadji.Bi.

La qualification de Nadji.Bi par HERi Madagascar a duré plus d’un an et demi, et après avoir testé des échantillons, la qualité des produits et du service de Nadji.Bi a convaincu HERi Madagascar de distribuer les produits de la marque solaire Panafricaine, dont le siège est basé au Sénégal.

Les lampes solaires portables Nadji.Bi Lion v.1 et les lampadaires Nadji.Bi Star v.1 vont désormais être utilisés à Madagascar et permettront aux populations bénéficiaires de ces technologies d’améliorer leurs conditions de vie et leur confort.

HERi Madagascar, l’un des leaders du concept de kiosques énergétiques en milieu rural, dispose de plus de 65 kiosques énergétiques à Madagascar et offre un service complet aux populations, qui va de la location et de la vente de produits solaires, en passant par la location d’espace de réfrigération à la télévision. L’entreprise se développe rapidement et, grâce au programme de l’Union européenne Power Kiosk, va bientôt lancer 80 kiosques supplémentaires.

« En plus d’être compétitifs et de très bonne facture, les produits Nadji.Bi correspondent parfaitement à la demande locale » a déclaré Sylvain Martin, Directeur Général de HERi Madagascar, avant d’ajouter : « Nous avons aussi été séduits par le service et le professionnalisme des équipes de Nadji.Bi. A l’avenir, nous serons évidemment volontaires pour tester les produits Nadji.Bi à Madagascar si la marque solaire Panafricaine continue ses efforts de R&D et développe de nouveaux produits aussi intéressants. »

Entreprise sociale innovante, Nadji.Bi a mis en place un programme de Recherche et de Développement ambitieux, permettant de définir des solutions techniques solaires compétitives et répondant aux problèmes énergétiques du continent africain. Ces solutions sont développées, prototypées et autant que faire se peut fabriquées sur le continent, dans un souci de développement de l’environnement économique et de la valeur ajoutée du continent.

Pour sa part, le Président de Nadji.Bi, Ismaël MOHAMADOU DJIDA, a ajouté « C’est un honneur et une immense fierté de pouvoir travailler avec une entreprise à fort impact social reconnue comme HERi Madagascar. Après le passage des Standards Qualité de Lighting Global par notre kit solaire Nadji.Bi Zebu v.1, notre qualification auprès de HERi Madagascar démontre encore une fois le niveau de qualité que Nadji.Bi est capable de développer et de produire. »

A propos de HERi Madagascar :

www.beheri.com

HERi Madagascar est une entreprise à fort impact social qui participe activement à la croissance économique, à l’atténuation de la pauvreté et qui soutient l’entrepreneuriat féminin grâce à des kiosques énergétiques. Ces kiosques solaires sont construits dans des zones rurales, parfois très reculées, éloignées du réseau électrique de Madagascar. Gérés par des femmes entrepreneurs, ils permettent aux populations de louer ou d’acheter des lampes solaires, de charger leurs téléphones ou leurs batteries, d’imprimer et copier des documents, de regarder la télévision ou d’acheter des boissons fraîches, etc. HERi Madagascar conçoit l’électricité comme le point d’entrée du développement. De part sa présence physique de long terme dans les villages, HERi Madagascar est capable de construire une relation durable de confiance avec les populations et d’assurer un service continu aux entrepreneurs des kiosques.

Mbour, le 10 juillet 2016 – Le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, et l’Ecole Polytechnique de Thies (l’EPT), l’une des écoles d’ingénieurs les plus prestigieuse du Sénégal et d’Afrique de l’Ouest, un établissement autonome et rattaché directement au Ministère chargé de l’enseignement supérieur, ont signé un partenariat pour la Formation et la Recherche et Développement de l’énergie solaire.

L’EPT dispense des cours d’électricité et d’énergie renouvelable. Et depuis 3 ans, l’EPT offre un master en génie énergie renouvelable qu’elle partage avec les universités de Bambey et de Saint Louis. Pour le Docteur El Hadji Bamba DIAW, Directeur de l’EPT, la signature de ce partenariat avec Nadji Bi qui dispose d’un centre de Recherche et de Développement, ainsi que d’un atelier de fabrication de mini-kits solaires et de lampadaires solaires, à Mbour, revêt donc un intérêt stratégique pour son école spécialisée dans la formation d’ingénieurs.

« L’EPT est lancée dans une nouvelle vision afin de développer avec le privé des partenariats qui permettent de régler l’adéquation formation-emploi », a-t-il indiqué, avant de rajouter : « Ce partenariat avec Nadji.Bi contribuera donc à former des étudiants de manière pratique et qui sauront ainsi mieux se préparer au monde du travail et à leur métiers futurs. ».

« Si nous n’avons pas de ressources humaines bien formées, toutes les entreprises sénégalaises seront toujours dépendantes de l’expertise extérieures, ce qui est dommageable pour notre pays », a aussi averti le Docteur El Hadji Bamba DIAW.

Entreprise sociale innovante, Nadji.Bi a mis en place un programme de Recherche et de Développement ambitieux, permettant de définir des solutions techniques solaires compétitives et répondant aux problèmes énergétiques du continent africain. Ces solutions sont développées, prototypées et fabriquées sur le continent, dans un souci de développement de l’environnement économique et de la valeur ajoutée du continent.

Pour sa part, le Président de Nadji.Bi, Ismaël MOHAMADOU DJIDA, a déclaré que « la convention de partenariat entre Nadji.Bi et l’Ecole Polytechnique de Thiès va permettre aux étudiants de pouvoir trouver facilement des débouchés », avant d’ajouter « L’EPT est une structure ambitieuse et de qualité, qui a une vision stratégique en termes de Recherche et de Développement, avec la mise à disposition de laboratoires qui permettent de partir d’une idée pour produire un prototype final d’un produit solaire », « Ce partenariat est ’un mariage de raison’ dans le secteur solaire où l’EPT investit beaucoup », a souligné Ismaël MOHAMADOU DJIDA.


A propos de Ecole Polytechnique de Thiès - EPT :

http://www.ept.sn

Le 25 mai 1973, son Excellence Léopold Sédar SENGHOR, Président de la République du Sénégal, décrète la création de l’Ecole Polytechnique de Thiès (EPT). L’EPT, depuis sa création, a formé plus de mille ingénieurs répartis dans les filières Electromécanique et Civil et quatre cent soixante-sept techniciens supérieurs dans les mêmes filières. Fidèle à sa devise « sagesse (le savoir et la vertu) et devoir (l’impératif catégorique Kantien) », l’EPT a le devoir d’être un leadeur dans le domaine de la formation technique et professionnelle et devenir ainsi un levier pour le sursaut industriel, économique et environnemental d’un SENEGAL EMERGENT.

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_polytechnique_de_Thi%C3%A8s

Le 25 Mai 2016, alors que l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) publiait son rapport sur l’emploi dans les énergies renouvelables, et annonçait que plus de 8.1 millions de personnes travaillent maintenant dans le secteur.

Le groupe solaire Panafricain Nadji.Bi pourvoyeur d’emplois industriels en Afrique, a atteint les Standards Qualité de Lighting Global avec son produit Zebu v.1. Le groupe Panafricain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, annoncent le passage avec succès par le mini-kit solaire Nadji.Bi Zebu v.1 des tests du standard qualité de Lighting Global définis par l’IEC 62257-9-5.

Le kit Nadji.Bi Zebu v.1 dont la production a été lancé en décembre dernier au Sénégal, avait déjà validé sa compatibilité aux normes CE et EN55022-B, auprès du Laboratoire CEM du Lycée Pablo Picasso de Perpignan en France. Les tests du Standards Qualité Lighting Global en respect de la norme IEC 62257-9-5, est une étape de plus vers une reconnaissance mondiale de la qualité de la fabrication solaire sénégalaise de Nadji.Bi Group.

« Nous sommes extrêmement fier de pouvoir montrer au monde que notre best-seller le mini-kit solaire Nadji.Bi Zebu v.1, entièrement désigné et fabriqué au Sénégal, respecte les standards qualités les plus stricts », déclare Ismaël Mohamdaou Djida, Président de Nadji.Bi Group, avant d’ajouter « J’aimerais remercier les équipes de Recherche et Développement et de Production du groupe Nadji.Bi pour leurs efforts et leurs implications totales dans notre projet industriel ».

Nadji.Bi Group prépare d’ores et déjà la relève, avec pas moins de 5 produits innovants en phase de prototypage ou de pré-industrialisation, et compte renforcer sa présence et son statut de première marque solaire panafricaine en augmentant sa capacité de production dans les mois à venir.

http://www.plein-soleil.info/actualites/nadji-bi-atteint-les-standards-qualite-lighting-glogal-avec-son-mini-kit-solaire-zebu-v-1/

Nadji.Bi a atteint les Standards Qualité Lighting Glogal avec son mini-kit solaire Zebu v.1 fabriqué au Sénégal et devient la première marque Pan-Africaine à réaliser cette étape.


Le 25 Mai 2016, alors que l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) publiait son rapport sur l’emploi dans les énergies renouvelables, et annonçait que plus de 8.1 millions de personnes travaillent maintenant dans le secteur. Le groupe solaire Panafricain Nadji.Bi pourvoyeur d’emplois industriels en Afrique, a atteint les Standards Qualité de Lighting Global avec son produit Zebu v.1.

Mbour, le 25 mai 2016 – Le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, annonce le passage avec succès par le mini-kit solaire Nadji.Bi Zebu v.1 des tests du standard qualité de Lighting Global définis par l’IEC 62257-9-5.

Le kit Nadji.Bi Zebu v.1 dont la production a été lancé en décembre dernier au Sénégal, avait déjà validé sa compatibilité aux normes CE et EN55022-B, auprès du Laboratoire CEM du Lycée Pablo Picasso de Perpignan en France. Les tests du Standards Qualité Lighting Global en respect de la norme IEC 62257-9-5, est une étape de plus vers une reconnaissance mondiale de la qualité de la fabrication solaire sénégalaise de Nadji.Bi Group.

« Nous sommes extrêmement fier de pouvoir montrer au monde que notre best-seller le mini-kit solaire Nadji.Bi Zebu v.1, entièrement désigné et fabriqué au Sénégal, respecte les standards qualités les plus stricts », déclare Ismaël MOHAMDAOU DJIDA, Président de Nadji.Bi Group, avant d’ajouter « J’aimerais remercier les équipes de Recherche et Développement et de Production du groupe Nadji.Bi pour leurs efforts et leurs implications totales dans notre projet industriel ».

Nadji.Bi Group prépare d’ores et déjà la relève, avec pas moins de 5 produits innovants en phase de prototypage ou de pré-industrialisation, et compte renforcer sa présence et son statut de première marque solaire panafricaine en augmentant sa capacité de production dans les mois à venir.

http://www.lightingglobal.org/products/njb-zebu/

A propos de Lighting Global :

https://www.lightingglobal.org

Lighting Global est la plateforme de la Banque Mondiale qui supporte la croissance durable du marché International de l’énergie off-grid, afin d’augmenter l’accès à l’énergie des personnes non connectées au réseau électrique. A travers Lighting Global, IFC et la Banque Mondiale travaille avec l’Association pour l’Eclairage Hors-Réseau (GOGLA), des fabricants, des distributeurs et d’autres partenaires au développement afin de développer le marché de l’éclairage off-grid. Lighting Global supporte Lighting Africa, Lighting Asia et Lighting Pacific, qui travaillent avec la chaîne d’approvisionnement de produits et de systèmes d’éclairages off-grid afin de réduire les barrières à l’entrée des marchés et le risque des premiers intervenants.

L’énergie est à la base de tout développement.


La mairie de la commune de veut que chaque foyer soit doté d’un kit solaire. Ainsi, en partenariat avec le Groupe Nadji.Bi, un mini-kit solaire ‘’Nadji.Bi Zebu v.1’’, équipé d’un panneau solaire permet l’alimentation de 3 ampoules LED incassables et un câble de recharge téléphone sera mis à la disposition des populations. Ceci pour parer aux problèmes récurrents de vol de bétail.

« Au niveau de l’éclairage qui règle le problème de l’insécurité, Ndiaganiao est une zone où il y a le fléau du vol de bétail. Avec cet éclairage le problème d’insécurité va être réglé. Un autre problème qu’il va régler c’est au niveau de l’éducation, beaucoup de foyers ne disposant pas de lumière permanente, les enfants ont des difficultés pour apprendre. L’autre problème c’est au niveau de la communication.

Les 37 villages non électrifiés profitaient du marché hebdomadaire pour recharger leur téléphone portable », a expliqué le maire Gana Gning qui procédé à la distribution des kits. « Dans notre concession nous avons aussi fait de grande économies de recharge de téléphone.

Avant, nous devions aller à Ndiaganiao à 1 heure de route pour charger nos téléphones à 100 F CFA la recharge. Maintenant les 30 téléphones de la concession sont chargés gratuitement par le soleil et nous ne perdons plus notre temps et notre argent à aller en ville pour la recharge», témoigne Yadouane Ngom qui vit au village de Loumatyr.

Ce père de famille qui bénéficie de l’installation des premiers prototypes de la marque depuis 2 ans a vu que les notes des élèves de sa concession ont beaucoup évolué.

A l’heure où le Next Einstein Forum bat son plein au Centre Internationale de Conférence de Dakar au Sénégal, et célèbre les mathématiques, la science et la communauté scientifique africaine. L’AIMS Sénégal et le groupe Pan-Africain Nadji.Bi ont signé une convention de partenariat.

Mbour, le 8 mars 2016 – – Le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, et AIMS Sénégal (African Institute for Mathematical Sciences), un institut Pan-Africain pour la formation et la recherche en sciences mathématiques, membre du réseau Pan-Africain de Centres d’excellence pour la formation postuniversitaire, la recherche et l’engagement public dans les sciences mathématiques ont signé une convention de partenariat.

Les deux organisations sénégalaises et Pan-Africaine, situées à Mbour au Sénégal, ont ainsi décidé de se rapprocher en signant une convention de partenariat, permettant aux étudiants AIMS Sénégal du Master coopératif de pouvoir participer aux efforts de Recherche et de Développement de Nadji.Bi Group, au sein de son laboratoire d’innovation, situé près du centre de production sénégalais de Nadji.Bi.

Entreprise sociale innovante, Nadji.Bi a mis en place un programme de Recherche et de Développement ambitieux, permettant de définir des solutions techniques solaires compétitives et répondant aux problèmes énergétiques du continent africain. Ces solutions sont développées, prototypées et fabriquées sur le continent, dans un souci de développement de l’environnement économique et de la valeur ajoutée du continent.

Cette convention de partenariat se développera aussi autours d’activités d’animations et de promotion des activités d’AIMS Sénégal par le groupe Nadji.Bi. Comme ce fut le cas lors du Next Einstein Forum 2016, Nadji.Bi sera à la disposition de l’AIMS Sénégal pour participer aux conférences, séminaires et journées portes ouvertes, organisés par l’AIMS Sénégal ou ses partenaires, afin de mettre en avant les débouchés industriels innovants qui attendent les étudiants de l’Institut.

« C’est un véritable honneur et une fierté pour notre groupe de pouvoir bénéficier de l’apport intellectuel des étudiants de l’AIMS Sénégal au sein de notre laboratoire Innovation et R&D », a déclaré Ismaël MOHAMDAOU DJIDA, Président de Nadji.Bi, avant d’ajouter « Nous allons pouvoir faire bénéficier à ces jeunes talents d’un encadrement professionnel et d’une expérience unique. Nous espérons qu’ils seront fiers de participer à l’invention de solutions solaires intelligentes qui changeront notre continent et le quotidien de nos sœurs et de nos frères africains. »

« Le dynamisme de Nadji.Bi, son professionnalisme et sa proximité géographique sont autant d’atouts pour que cette société innovantes puissent devenir un partenaire historique de l’AIMS Sénégal. Nous nous réjouissons de ce partenariat d’avenir », a déclaré Professeure Aissa WADE, la directrice scientifique d’AIMS Sénégal.

A propos de AIMS Sénégal : https://www.aims-senegal.org

AIMS Sénégal (African Institute for Mathematical Sciences) est un institut Pan-Africain pour la formation et la recherche en sciences mathématiques, AIMS Sénégal est membre du réseau Pan-Africain AIMS de Centres d’excellence pour la formation postuniversitaire, la recherche et l’engagement public dans les sciences mathématiques. Basé à Mbour au Sénégal, AIMS Sénégal a pour objet de stimuler les activités de recherche au Sénégal et de conserver les scientifiques africains en Afrique. Grâce à son campus, aux partenariats académiques, à son réseau scientifique, à sa réputation et à sa vision Pan-Africaine, AIMS Sénégal a le potentiel pour amener le Sénégal aux avants postes de la science en Afrique.

A l’heure où les conclusions de la COP21 ont montré la nécessité d’actions concrètes sur le plan écologique, deux start-up africaines actives dans le domaine du solaire et des énergies innovantes montrent la voie en engageant un partenariat industriel entre le Gabon et le Sénégal.

Mbour, le 31 janvier 2016 – La Start-Up Pan-Africaine Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, et Gab by Light, Entreprise Sociale innovant dans le développement de services énergétiques de bases en Afrique subsaharienne, annoncent avoir engagé un partenariat industriel dans la droite ligne des recommandations de la COP21.

Les deux entreprises sociales et innovantes, actives dans le domaine de l’énergie solaire ont ainsi décidé d’accélérer leur développement commun sur le marché gabonais, afin de répondre au challenge de l’électrification rurale dans le Pays Vert-Jaune-Bleu.

La jeune entreprise gabonaise Gab by Light a ainsi annoncé avoir déjà équipé près de 1 000 personnes au Gabon, tandis que Nadji.Bi lui a apporté son savoir-faire technique et industriel.

Les deux sociétés ne s’arrêtent pas là et souhaitent mettre en place une unité de production au Gabon afin de répondre au mieux aux besoins du marché domestique. De plus, elles élaborent déjà une stratégie d’entrée sur le marché régional de l’espace CEMAC.

Commercialisé par Gab by Light sous le nom de « Habitation », le fameux kit solaire « Zebu v.1 », invention de Nadji.Bi est actuellement fabriqué au Sénégal. Ce produit, dont l’utilité pour les familles sans accès à l’électricité n’est plus à démontrer, continu de s’affirmer comme la solution solaire pan-africaine la plus fiable et la plus compétitive du marché.

Ismaël MOHAMDAOU DJIDA, Président de Nadji.Bi et Dominique BALLE, Présidente de Gab by Light n’entendent pas s’arrêter en si bon chemin. Ils comptent bien augmenter leur impact social et économique en Afrique Centrale dans les mois et les années à venir.

Le continent africain a encore de beaux jours ensoleillés devant lui !


A propos de Gab by Light : https://www.facebook.com/eclairerlegabon/

Gab by Light est une entreprise sociale spécialisée dans le développement de solutions innovantes d’accès à l’énergie. Gab by Light commercialise par son propre réseau de distribution des kits solaires individuels spécifiquement développés pour le marché de l’Afrique Centrale. Référencé dans les supermarchés du Gabon, la marque Gab by Light est synonyme de qualité et d’efficacité.

2015

La société panafricaine Nadji.Bi Group installée au Sénégal a lancé une deuxième génération de mini-Kit solaire dénommée Nadji.BI ZEbu v.1 F. « Avec ce produit et grâce à notre pôle R&D local, nous entendons continuer à impacter positivement l’économie panafricaine, en créant un maximum d’emploi et de valeur ajoutée locale, en plus du bien-être et des économies que nos produits apportent à leurs utilisateurs.» a déclaré Ismaël Mohamadou Djida, le président du groupe lors du lancement.

https://www.senenews.com/actualites/senegal-nadji-bi-lance-sa-deuxieme-generation-de-mini-kit-solaire_145813.html

(Agence Ecofin) - La société panafricaine Nadji.Bi Group installée au Sénégal a lancé une deuxième génération de mini-Kit solaire dénommée Nadji.BI ZEbu v.1 F. « Avec ce produit et grâce à notre pôle R&D local, nous entendons continuer à impacter positivement l’économie panafricaine, en créant un maximum d’emploi et de valeur ajoutée locale, en plus du bien-être et des économies que nos produits apportent à leurs utilisateurs.» a déclaré Ismaël Mohamadou Djida, le président du groupe lors du lancement.

Cette nouvelle génération de kit comprend un panneau solaire, une batterie, des lampes et des prises pour charger les téléphones ainsi que les petits appareils électroménagers. Ses nouveaux composants lui permettent de diviser le temps de charge des téléphones portables par 4.

lle donne en outre une autonomie d’éclairage de 9h à 3 ampoules, 15 heures deux ampoules et 28 h à une ampoule unique. Le kit est également doté d’une garantie d’un an.

Les différentes pièces qui la composent sont disponibles en détails chez les distributeurs, ce qui permet aux utilisateurs de les remplacer en cas de besoin.

Gwladys Johnson

https://www.agenceecofin.com/production/1812-34652-senegal-nadji-bi-lance-sa-deuxieme-generation-de-mini-kit-solaire

Suite au succès de sa première version de Mini-Kit solaire, Nadji.Bi lance la production de sa nouvelle version au Sénégal : le « Nadji.Bi Zebu v.1 F. ». Ce Mini-Kit Solaire aux capacités de charges et d’éclairages augmentées devient le nouveau fer de lance de la marque en Afrique de l’Ouest.

Mbour, le 10 décembre 2015 – La Start-Up Pan-Africaine Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, lance officiellement la production de son nouveau Mini-Kit Solaire le « Nadji.Bi Zebu v.1 F. », dans son usine de production de Mbour, dans la région de Thiès au Sénégal.

Le nouveau Mini-Kit « Nadji.Bi Zebu v.1 F. » voit les 2 cartes électroniques de l’ancienne version fusionnées en 1 seule carte électronique, permettant une meilleure fiabilité de l’appareil et une optimisation de la structure d’assemblage du produit.

« Avec ce produit et grâce à notre pôle Recherche et Développement local, la Start-Up Pan-Africaine Nadji.Bi entend continuer à impacter positivement l’économie Pan-Africaine, en créant un maximum d’emploi et de valeur ajoutée locale, en plus du bien-être et des économies que nos produits apportent aux utilisateurs de nos produits. », déclare Ismaël MOHAMADOU DJIDA, président de Nadji.Bi Group.

Fort de nouveaux composants électroniques développés par la marque ; le « Nadji.Bi Zebu v.1 F. » permet une nette amélioration du temps de charge des téléphones portables : 4 fois plus rapide qu’un chargeur standard.

Aujourd’hui, nous avons développé 3 types de produits : une lampe solaire, un mini-kit solaire et un lampadaire solaire. Aujourd’hui nous travaillons sur des solutions de télévisions, de réfrigération et sur un autre type de produit, que je ne peux pas encore vous révéler aujourd’hui.”

Chargé en 5H STC ; côté éclairage, le « Nadji.Bi Zebu v.1 F. » permet une autonomie à 3 ampoules de 9 H, à 2 ampoules de 15 H et à 1 ampoule de 28H : une performance plébiscitée par les consommateurs et unique dans son segment de marché.

Fabriqué au Sénégal, le « Nadji.Bi Zebu v.1 F. » s’affirme comme une solution locale de qualité supérieure et à très hautes performances, et dispose d’un service après-vente unique dans son domaine. En effet la Start-Up Nadji.Bi propose tous les composants à la vente à l’unité à ses distributeurs, afin que les clients finaux puissent remplacer les éléments en fin de vie, et donc faire l’économie d’un rachat de produit complet.

Offrant une solution de consigne pour ses batteries, le « Nadji.Bi Zebu v.1 F. » dispose d’une garantie pièces d’un an, et apparaît comme la solution la plus économique de son marché.

« Lancer en même temps que la COP21 (la 21ème Conférence sur le Climat), notre nouveau produit nous rends fier de pouvoir apporter une solution africaine d’électrification rurale, extrêmement économique et déployable très rapidement » insiste Elhadji Demba SENE, directeur Sénégal et Diaspora, avant d’ajouter : « Le temps de l’industrialisation de l’Afrique est venu et nous espérons que les dernières annonces des pays développés concernant notre secteur soient profitables à nos entreprises et à nos populations ».

Nul doute qu’avec le « Nadji.Bi Zebu v.1 F. - Made in Sénégal » des millions de personnes sortiront bientôt de l’obscurité !

La fabrication locale de produits clés pour le marché africain a été mentionné de nombreuses fois comme une des solutions pour lutter contre le taux élevé de chômage à travers le continent. C’est exactement ce que fait Nadji.Bi qui compte y produire ses produits solaires. Nous avons contacté Ismaël Mohamadou Djida (à gauche sur la photo) pour en savoir plus sur leurs plans, et pour savoir pourquoi ils sont à la recherche d’investisseurs.

La fabrication locale de produits clés pour le marché africain a été mentionné de nombreuses fois comme une des solutions pour lutter contre le taux élevé de chômage à travers le continent. C’est exactement ce que fait Nadji.Bi qui compte y produire ses produits solaires. Nous avons contacté Ismaël Mohamadou Djida (à gauche sur la photo) pour en savoir plus sur leurs plans, et pour savoir pourquoi ils sont à la recherche d’investisseurs.

Pouvez-vous introduire Nadji.Bi ?

“Le nom de notre marque ”Nadji.Bi”, signifie littéralement la “lumière du soleil” en langue wolof. Nos fondateurs Julien Potron, Elhadji Demba Sène et moi-même nous sommes rencontrés il y a un peu plus de 10 ans dans le village sénégalais de Ndiaganiao.

Après avoir passé du temps au village, nous avons réalisé que vivre sans électricité était un véritable problème pour tout le monde. Les enfants ne peuvent pas étudier la nuit, les femmes ne peuvent plus travailler quand le soleil se couche, et même cuisiner devient un problème. Il y avait déjà des téléphones portables à cette époque au village, et la recharge des téléphones était aussi un énorme problème.

En tant que franco-sénégalais, sénégalais et camerounais nous avons eu honte de cette situation, et après de longs débats et de nombreuses discussions, nous avons réalisés que le soleil état la clé de ce problème. Bon, il y a plus de 10 ans, nous étions jeunes, sans argent et sans expérience. L’énergie solaire était encore très chère, et nous ne savions pas par où commencer. Nous avons donc décidé de continuer nos études et nous nous sommes promis qu’un jour nous résoudrions ce problème !

Deux ans après, Julien et moi-même sommes allé en Chine pour étudier l’énergie solaire et le commerce international. Et Elhadji est parti en France pour étudier le management. Après une forte expérience dans l’industrie solaire chinoise (et aussi grâce à de bonnes économies), nous avons enregistré la marque “Nadji.Bi” en 2011, et nous avons commencé les opérations en 2012. Le problème pour nous était de développer des produits de très grande qualité (avec un objectif de fabrication en Afrique). Nous avons embauché le Dr. Campos, un ingénieur de très haut niveau, afin de bien positionner notre travail de Recherche et Développement. Et nous avons commencé à engager nos opérations au Burkina Faso, au Cameroun, au Sénégal et en France.

Aujourd’hui, nous avons développé 3 types de produits : une lampe solaire, un mini-kit solaire et un lampadaire solaire. Aujourd’hui nous travaillons sur des solutions de télévisions, de réfrigération et sur un autre type de produit, que je ne peux pas encore vous révéler aujourd’hui.”

Dans votre communication vous dîtes que vous voulez devenir le ‘Apple Africain’ ?

“Quand nous disons que nous voulons devenir le ‘Apple Pan-Africain’, c’est parce que nous pensons fortement que le temps de l’Afrique est arrivé ! Notre continent est plein d’énergie, de cerveaux et de motivations.

Nous pensons que la technologie est la clé de nos problèmes, et que Nadji.Bi, avec ses centres de recherches et ses usines en Afrique, sera la mieux à même de développer des innovations et des technologies de rupture durant les décennies à venir. Et ainsi pourra démontrer que les valeurs d’innovations, de technologies et d’ambitions ne sont pas le propre de l’Asie ou du monde occidental, mais aussi de l’Afrique !”

Pouvez-vous expliquer comment vous compter inclure les groupes à bas revenus comme les clients, les distributeurs et les employés dans votre modèle ?

“Nous distribuons maintenant nos produits à travers des réseaux de distribution dans les pays d’Afrique francophone. Nous vendons nos produits à des chaînes de distributeurs, à des petits détaillants à travers un concept de franchise. Nous sommes en contact avec des ONG, afin de donner l’opportunité de vendre nos produits à leurs équipes de femmes, et ainsi augmenter les revenus de ces populations.

Nous sommes aussi en négociation avec des instituts de micro-finance (IMF), et des gouvernements locaux afin de distribuer nos produits grâce à un système de paiement mobile, permettant l’achat à crédit.

De plus nous comptons offrir des leçons d’alphabétisation à nos travailleurs et ouvrir un ‘FabLab’ au sein de notre centre de recherche-usine et ainsi pouvoir aider les jeunes talents locaux en électronique, en codage informatique et en design. Enfin, bien sûr, nos produits sont par eux-mêmes de puissants outils permettant la protection de l’environnement, l’amélioration de l’éducation et le développement socio-économique.”

Quels sont les principaux challenges pour produire des produits solaires au Sénégal ?

“En fait le principal challenge est d’avoir de l’électricité dans notre usine… Afin d’éviter ce problème, nous planifions de construire une central photovoltaïque, nous permettant de produire plus d’électricité que nous n’en consommerons. Ce qui pourrait être la première usine de ce type sur le continent africain.

Comme vous pouvez le comprendre, financer une usine de fabrication d’appareils électroniques en Afrique sub-saharienne est un énorme challenge. Accéder au financement est beaucoup plus difficile pour nous que pour des marques américaines ou pour des fabricants chinois, puisque notre industrie financière est beaucoup plus active dans le financement de l’industrie extractive.

La communauté IB Accelerator peut nous aider à démontrer que : l’Afrique n’est pas que le continent des mines et de l’importation de produits chinois pas chers et de mauvaise qualité, mais l’Afrique est d’abord et avant tout une énorme opportunité pour la production et l’industrialisation inclusive !

Nous avons besoin de soutien pour diffuser l’existence de notre marque partout dans le monde, pour nous aider à aller au bout de cette levee de fonds et pour transmettre nos contacts à des organisations clés dans les pays industrialisés, comme les ONG ou les banques de développement.”

Pour beaucoup de personnes qui vivent en bas de la pyramide, le prix des produits est le facteur essential de leurs prises de décisions lors de leurs achats. Comment pouvez-vous concurrencer les produits chinois pas chers et de mauvaises qualités ? Et comment comptez-vous convaincre les populations de choisir votre produit si il est plus cher, mais de meilleur qualité ?

“Chez Nadji.Bi, nous avons un challenge et un objectif. Nous voulons que le problème de l’éclairage et de la petite alimentation électrique pour les zones rurales soit terminé en Afrique de l’Ouest en 2025.

Avant tout, je tiens à préciser que nous n’avons rien contre les produits chinois, nous regrettons juste que les importateurs en Afrique se focalisent essentiellement sur leurs grands profits et n’offrent pas de produits de meilleurs qualités.

Pour revenir à votre question et à notre challenge, si nous voulons atteindre notre objectif, bous devons installer des usines dans notre pays et atteindre une production de masse, afin de réduire les coûts des produits disponibles localement. Nous croyons fortement que l’industrialisation est la clé du développement et de la compétitivité.

Chez Nadji.Bi, nous avons un esprit de “cost killing” quand nous considérons le design et la production, donc nos produits ne sont pas plus chers que les autres produits. Il semblerait même que nos produits soient les produits les plus compétitifs disponibles aujourd’hui en Afrique de l’Ouest.

Notre stratégie semble être la bonne, puisque la demande concernant nos produits est extrêmement forte. Nous faisons d’ailleurs face à des difficultés pour répondre à cette demande, principalement à cause de notre capacité de production limitée, i.e notre fonds de roulement.”

Vous recherchez actuellement des financements, comment comptez-vous les utiliser ?

“Les financements seront principalement utilisés dans l’investissement en machine et en immobilisations, dans la provision d’achat de composants et de charges de productions, dans l’investissement marketing et forces de ventes and dans la finalisation de notre programme R&D de système de paiement mobile. Ces financements nous permettrons d’assumer une augmentation structurelle de notre capacité de production et d’atteindre notre pleine capacité de production en quelques années.”

Quels sont vos plans pour le futur ?

“Ce centre de recherche-usine sera un établissement modèle, et sera appelé ”Nadji.Bi Africa 1”. Ce ne sera que la première usine Nadji.Bi sur le continent, qui devrait en compter plusieurs dans les années à venir. La liste de nouveaux produits et concepts à développer dans notre centre R&D est déjà bien établi, et nous pensons qu’en augmentant notre capacité de production et notre volume de distribution, nous serons capables de continuer à offrir des innovations de pointes à technologies de rupture en Afrique et dans le monde !”

A propos de The Inclusive Business Accelerator facilitates : https://iba.ventures/

The Inclusive Business Accelerator facilite l’accélération de l’entreprenariat à fort impact dans les marchés à la base de la pyramide (BOP). Nous faisons cela en construisant une structure que soutien de nombreux business qui améliorent la vie des populations BOP, et qui sont près à recevoir des investissements.

Journée tournage de vidéos chez Nadji.Bi


15 Janvier 2015 - Nadji.Bi présent à la 3ème étape du tour de France de la Finance Participative en France, à Montpellier

Groupe solaire Pan-Africain : Nadji.Bi a développé une gamme de modules photovoltaïques de qualité supérieure « Made in Africa », assemblés en Afrique du Sud et destinés au marché Africain.

Dakar, le 12 janvier 2015 – Le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, a annoncé le 20 Décembre la livraison de 27 kWc de modules photovoltaïques au Togo.

Constitué de 300 modules de différentes puissances, cette livraison pour le compte de l’entreprise Soleil Energie, leader de l’énergie solaire au Togo, constitue une première pour Nadji.Bi au Togo.

« La marque Nadji.Bi est devenue une marque incontournable dans le domaine solaire en Afrique de l’Ouest. La qualité et l’identité des modules solaires Nadji.Bi nous ont franchement convaincu. » déclare Adovi KOSSI, directeur d’exploitation de Soleil Energie, qui vient de finaliser une installation de modules Nadji.Bi sur un dispensaire, pour le compte de l’ONG Electriciens Sans Frontières (ESF).

Et Ismaël MOHAMADOU DJIDA, président de Nadji.Bi d’ajouter : « Destinés au marché de l’électrification rurale et au marché du confort, les modules photovoltaïques Nadji.Bi complètent notre offre de solutions solaires d’auto-consommation en Afrique de l’Ouest. C’est une grande fierté de pouvoir travailler avec une entreprise aussi reconnue que Soleil Energie au Togo, et de savoir que la population Togolaise va bénéficier de nos produits de qualité supérieur. »

Nadji.Bi ambitionne de continuer son expansion en Afrique francophone dans les mois à venir, en continuant à proposer des solutions de lampes solaires, de mini-kits solaires, de kits off-grid solaires, d’éclairages de rues, d’onduleurs solaires et de panneaux solaires assemblés en Afrique du Sud.


Des solutions modernes et innovantes, représentant une opportunité réelle et concrète pour que les plus modestes puissent profiter à leur tour de l’impressionnant réservoir de croissance que représente l’énergie solaire. »

A propos de Nadji.Bi :

Nadji.Bi Group est un fabricant de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation à croissance rapide et avec des opérations à faibles coûts. Entreprise social basée en principalement en Afrique, la société possède des bureaux au Sénégal, au Cameroun, au Burkina Faso, en Asie et en France. Nadji.Bi Group développe des produits innovants qui répondent aux besoins des marchés d’Afrique Sub-saharienne. Nadji.Bi Group distribue ses produits à travers un vaste réseau de distribution adapté au monde rural et implanté dans des régions et pays comme : le Sénégal, le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Mali, le Togo, la Côte d’Ivoire, Madagascar et d’autres régions et pays.

A propos de Soleil Energie : Soleil Energie est une société d’installation et de distribution de solutions solaires au Togo. Propriété des groupes Gato (www.groupegato.com) et BUDD France International (www.budd-pni.com). Soleil Energie existe depuis 2008.

Après sa participation à la 2ème Conférence Investisseurs Accès à l’Energie Off-Grid, organisé par l’organisation Gogla le 17 décembre dernier à Londres, Nadji.Bi rejoint officiellement l’organisation Gogla

Dakar, le 5 janvier 2015 – Le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, rejoint officiellement l’organisation Gogla (Global Off-Grid Lighting Association), l’Association Mondiale pour l’éclairage Off-Grid.

L’organisation Gogla a pour rôle de défendre et de promouvoir les solutions d’éclairages propres et l’accès à l’énergie des pays en développement et émergents. L’organisation internationale, neutre et indépendante regroupe à ce jour 47 membres, qu’ils soient issus de l’industrie de l’accès à l’énergie, comme Philips, Osram ou encore Total, ou qu’ils soient des organisations internationales, comme l’IFC (la banque d’investissement de la Banque Mondiale) ou encore l’organisation Fraunhofer Gesellschaft, l’Institut allemand spécialisé dans la recherche en sciences appliquées.

Gogla en plus d’organiser des Conférences Investisseurs et la Conférence Internationale de l’Accès à l’Energie Off-Grid, dispose de 5 ateliers de travails, qui penchent sur les sujets suivants :

- Politiques et Réglementations,

- Standards et Qualité,

- Intelligence de Marché et Business Models,

- Cycle de Vie et Recyclage,

- Mesure de l’Impact Social.

« L’ensemble de nos équipes est extrêmement motivé par notre association avec Gogla », déclare Ismaël MOHAMADOU DJIDA, président de Nadji.Bi Group, « cette association avec Gogla nous permets de mettre en lumière la qualité et l’engagement durable de notre groupe au développement de notre industrie », avant d’ajouter « cette association avec Gogla, nous permettra aussi de faire entendre une voix francophone et pan-africaine au sein des ateliers de travail de l’association ».

Pour sa part Koen PETERS, directeur général de Gogla a déclaré : « Nous sommes enthousiasmés d'accueillir avec Nadji.Bi, un acteur possédant une grande présence dans les marchés de l'Afrique francophone. Nous sommes convaincus que l'équipe Nadji.Bi apporteront une grande valeur à ces marchés et nous comptons consolider notre coopération dans un avenir proche. »

2014

Le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l'un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d'autoconsommation basé en Afrique, et Station Energy, Entreprise Sociale innovante dans le développement de services énergétiques de base en Afrique subsaharienne, annoncent avoir engagé un accord de partenariat en marge du XVe Sommet de la Francophonie.

Les deux entreprises sociales innovantes dans le domaine de l'énergie solaire ont ainsi décidé d'accélérer leur développement en commun sur le marché sénégalais, afin de répondre au challenge de l'électrification rurale dans le pays de la Teranga.

Nadji.Bi a ainsi annoncé avoir déjà équipé plus de 1 000 personnes au mois de novembre dans la zone rurale de Ndiaganiao, tandis que Station Energy s'apprête à relayer Nadji.Bi dans d'autres zones du Sénégal et entend équiper plus de 350 personnes d'ici la fin du mois de décembre. Distribué par Station Energy, le fameux kit solaire « Zebu v.1 », invention de Nadji.Bi, démontre encore une fois sa pertinence, et a même dépassé les frontières nationales pour aller fièrement s'exposer dans les pages du grand quotidien français Libération.

Elhadji Demba Sene (photo), directeur Nadji.Bi Sénégal et Diaspora et Diaty Coulibaly, directrice Station Energy Sénégal n'entendent pas s'arrêter en si bon chemin, et comptent bien augmenter leur impact social et économique au Sénégal dans les mois et les années à venir.

Nadji.Bi Group est un fabricant de solutions solaires mobiles et d'autoconsommation à croissance rapide et avec des opérations à faibles coûts.

Entreprise social basée en principalement en Afrique, la société possède des bureaux au Sénégal, au Cameroun, au Burkina Faso, en Asie et en France.

Nadji.Bi Group développe des produits innovants qui répondent aux besoins des marchés d'Afrique Sub-saharienne. Nadji.Bi Group distribue ses produits à travers un vaste réseau de distribution adapté au monde rural et implanté dans des régions et pays comme : le Sénégal, le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Mali, le Togo, la Côte d'Ivoire, Madagascar et d'autres régions et pays.

Interview

Elhadji Demba Sene : « En Afrique, la demande pour nos produits est vraiment énorme »

Après avoir co-organisé la dernière conférence internationale sur la Compétitivité de l'Energie Solaire en Afrique de l'Ouest avec la Banque Mondiale, le groupe Pan-africain Nadji.Bi continue son développement au Sénégal.

Interview croisé avec Elhadji Demba SENE, directeur Sénégal et Diaspora de Nadji.Bi Sénégal et co-fondateur du groupe Nadji.Bi !

Plein Soleil : Pouvez-vous nous expliquer ce que fait Nadji.Bi ?

Elhadji Demba Sene : Nadji.Bi est un groupe Pan-africain qui invente, produits et commercialise des solutions solaires mobiles et d'autoconsommation. C'est-à-dire que nous développons des produits solaires adaptés aux besoins des populations, qu'elles soient rurales ou urbaines. Ces solutions ont la forme de produits ou d'équipements, qui ont la particularité de permettent à leurs utilisateurs de faire des économies sur leurs factures d'électricité, d'éviter les délestages ou tout simplement d'avoir accès à la lumière.

PS : Vous avez annoncé avoir, le mois dernier, permis l'auto-équipement de plus de 1 000 personnes dans la Commune de Ndiaganiao, qui ont maintenant une solution d'éclairage gratuite, qu'est-ce que cela signifie exactement ?

EDS : Avant de répondre à votre question, je vais d'abord vous faire une confidence et vous avouer que je suis moi-même originaire de Ndiaganiao, et que c'est à Ndiaganiao que le projet Nadji.Bi a vu le jour il y a plus de 10 ans maintenant. Concernant cette annonce, il s'agissait d'une opération commerciale que nous avons effectuée à Ndiaganiao en novembre dernier. De manière exceptionnelle, nous avons permis à des foyers de la Commune de Ndiaganiao de pouvoir acheter en direct des produits Nadji.Bi. Et surtout d'acheter notre Best-Seller, le mini-kit solaire « Nadji.Bi Zebu v.1 », qui dispose de trois lampes et d'une prise USB pour assurer la recharge téléphone. Un kit qui permet l'auto-équipement. Des produits utilisables de 10 à 90 ans

PS : Qu'entendez-vous par « auto-équipement » ?

EDS : L'auto-équipement, cela fait partie de notre philosophie. C'est-à-dire que tous nos produits doivent être : montables, démontables et transportables par toutes personnes de 10 à 90 ans. Par exemple notre kit « Zebu v.1 » pèse moins de 2 kilos et peut être installé par un enfant en moins de 10 minutes. C'est cela qui fait notre différence sur d'autres solutions beaucoup plus complexes.

PS : Comment peut-on trouver vos produits en Afrique ?

EDS : Nous travaillons avec des distributeurs, comme Station Energy avec qui nous avons entamé un accord de partenariat il y a peu. De manière plus général, si nos produits ne sont pas encore disponible près de chez vous, il suffit de demander aux commerçants qui sont près de chez vous de prendre contact avec le service commercial de Nadji.Bi. Il est vrai que nous avons un peu de mal à répondre à la demande aujourd'hui, car le taux d'électrification est encore très faible en Afrique, et la demande est vraiment énorme. Dans ce sens nous avons mis en place un plan d'investissement qui est en cours, pour nous permettre d'augmenter la disponibilité de nos produits et pour accroître notre industrialisation en Afrique de l'Ouest.

https://tecsol.blogs.com/mon_weblog/2014/12/partenariat-entre-nadjibi-et-station-energy-au-s%C3%A9n%C3%A9gal.html

1ère journée de solidarité de la Diaspora à Paris, organisé par les Dames de Coeurs

Conférence investisseurs Gogla (Global Off-Grid Lighting Association) au siège UK de Bloomberg à Londres.

Dakar, le 8 Décembre 2014 – Le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, et Station Energy Sénégal, Entreprise Sociale innovante dans le développement de services énergétiques de base en Afrique subsaharienne, annoncent avoir engagé un accord de partenariat en marge du XVe Sommet de la Francophonie.

Les deux entreprises sociales innovantes dans le domaine de l’énergie solaire ont ainsi décidé d’accélérer leur développement en commun sur le marché sénégalais, afin de répondre au challenge de l’électrification rurale dans le pays de la Teranga.

Nadji.Bi a ainsi annoncé avoir déjà équipé plus de 1 000 personnes au mois de novembre dans la zone rurale de Ndiaganiao, tandis que Station Energy Sénégal s’apprête à relayer Nadji.Bi dans d’autres zones du Sénégal et entend équiper plus de 350 personnes d’ici la fin du mois de décembre.

Distribué par Station Energy Sénégal, le fameux kit solaire « Zebu v.1 », invention de Nadji.Bi, démontre encore une fois sa pertinence, et a même dépassé les frontières nationales pour aller fièrement s’exposer dans les pages du grand quotidien français Libération.

Elhadji Demba SENE, directeur Nadji.Bi Sénégal et Diaspora et Diaty COULIBALY, directrice Station Energy Sénégal n’entendent pas s’arrêter en si bon chemin, et comptent bien augmenter leur impact social et économique au Sénégal dans les mois et les années à venir.

La francophonie a encore de beaux jours ensoleillés devant elle !

A propos de Nadji.Bi :

www.nadjibi.com

Nadji.Bi Group est un fabricant de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation à croissance rapide et avec des opérations à faibles coûts. Entreprise social basée en principalement en Afrique, la société possède des bureaux au Sénégal, au Cameroun, au Burkina Faso, en Asie et en France. Nadji.Bi Group développe des produits innovants qui répondent aux besoins des marchés d’Afrique Sub-saharienne. Nadji.Bi Group distribue ses produits à travers un vaste réseau de distribution adapté au monde rural et implanté dans des régions et pays comme : le Sénégal, le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Mali, le Togo, la Côte d’Ivoire, Madagascar et d’autres régions et pays.

A propos de Station Energy Sénégal :

www.station-energy.com

Station Energy Sénégal est une entreprise sociale d’ingénierie et de distribution de solutions d’accès à l’énergie et aux services de base pour les zones isolées des pays en développement, à partir des énergies renouvelables. Station Energy Sénégal commercialise par son propre réseau de distribution des kits solaires individuels spécifiquement développés pour le marché subsaharien (de 10 Wc à 5 kWc). Et a développé un concept innovant d’électrification rurale : la Station Energy®, un modèle de distribution de services énergétiques, qui propose différents services mutualisés (location de batteries, location d’espaces froids, accès à Internet, vente d’équipements) sur des sites ruraux ou péri-urbains. Station Energy est présente au Sénégal, au Burkina Faso, aux Comores, en Côte d’Ivoire et en France.

Paris, le 2 Novembre 2014 – Un zébu pour éclairer l’Afrique

Dans sa petite boîte au logo orange, le Zébu se compose de trois ampoules à interrupteur, d’un chargeur de téléphone et d’un panneau solaire miniature.

Ce kit est le produit phare de Nadji Bi, une entreprise sociale spécialisée dans l’énergie solaire mobile à domicile à destination de l’Afrique. Lancé en 2013, Nadji Bi - «la lumière du soleil» en wolof - est l’aboutissement d’un constat fait par Julien Potron il y a plus de dix ans à Ndiaganiao au Sénégal : «L’Afrique vit sans électricité, il faut imaginer des villages entiers plongés dans le noir dès 18 heures.

Cofondateur et directeur général de l’entreprise, Julien n’est pas avare de chiffres pour appuyer son propos : «Selon la Banque mondiale, plus d’1,2 milliard de personnes sur Terre n’ont pas accès à l’électricité près de 600 millions d’entre elles vivent en Afrique. Cela représente 67% de la population du continent.» Avec Ismaël Mohamadou Djida et Elhadji Demba Sène, il a décidé de remédier au problème en commençant par l’Afrique de l’Ouest que ces Franco-Sénégalais, Sénégalais et Camerounais connaissent par cœur. «Il nous fallait obtenir les produits les plus robustes et les moins chers possibles» pour fournir une source de lumière autonome au maximum de personnes , explique Julien Potron. Direction la Chine où, avec Ismaël Mohamadou Djida, il se forme aux technologies adaptées. De retour en France, ils ouvrent en 2012 leur laboratoire de recherche à Montpellier. Et mettent au point la première version du Zébu, qui fonctionne grâce à des Leds, une batterie Lithium ion et un panneau solaire.

En juin, lors du Salon des solidarités à Paris, l’équipe de Nadji Bi, qui compte désormais une dizaine de salariés permanents, présentait la deuxième version : «Nous avons remplacé la batterie Lithium ion par une LiFePo 4 (Lithium, fer, phosphate), plus performante. Quand la première est prévue pour 500 cycles, la seconde en réalise 2 000, ce qui lui offre une durée de vie de dix ans.» Car c’est toute l’ambition de Nadji Bi : éclairer l’Afrique de manière durable. «Tous nos composants sont consignés, un truc tombe en panne, l’utilisateur peut le changer lui-même», insiste Julien Potron. Grâce à un réseau de vendeurs recrutés et formés au Burkina, au Cameroun et au Sénégal, Nadji Bi a déjà vendu 7 000 dispositifs. Des Zébus, mais aussi des lampes de poche et des lampadaires solaires. «Sans électricité, les jeunes ne peuvent pas lire, écouter de la musique, travailler, un potentiel énorme est gâché ! La lumière est le levier de développement de l’Afrique», assure Julien Potron. L’an prochain, Nadji Bi ouvrira son premier atelier de production au Sénégal avec un nouveau produit : un téléviseur fonctionnant lui aussi à l’énergie solaire.

Audrey Chabal

Paris, le 26 Juin 2014 – Une solution pour apporter l'électricité aux foyers d'Afrique

Grâce à des lampes à énergie solaire à faible coût, l’entreprise sociale Nadji.Bi propose une solution au problème d’électricité en Afrique.

Aujourd’hui, entre 1,3 à 1,5 milliard de personnes vivent sans électricité sur notre planète. Une personne sur cinq s’éclaire donc à la bougie ou à la lampe à kérosène et n’a accès à aucun appareil électrique, hormis une vieille radio à piles et une petite lampe de poche.

Quand Elhadji, Julien et moi nous sommes rencontrés, il y a une dizaine d’années au Sénégal, nous ne connaissions pas ce chiffre. Etudiants sénégalais, franco-sénégalais et camerounais, c’est à la gare routière de Ndiaganiao, dans l’attente de passagers susceptibles de prendre les dernières places disponibles du taxi brousse, que nous nous sommes rencontrés.

Nous en sommes vite venus à parler de toutes ces opportunités disponibles autour de nous malgré le surplace relatif de nos sociétés depuis les années des Indépendances. Pourtant, nous, les Africains sub-sahariens, avions soif d’avancer, de savoir, de travail, de réussite et de confort, soif de cette modernité qui nous entourait et à laquelle nous n’avions pas accès.

La genèse du projet

Après quelques jours passés aux villages, nous avions constaté que même les besoins primaires, comme l’eau ou l’électricité, n‘étaient pas satisfaits. Tous les habitants de ces villages utilisaient l’essentiel de leurs revenus en achat de piles, de bougies et de kérosène pour un éclairage dangereux, et parfois mortel, qui permettait aux enfants d’étudier un peu et aux familles de trouver le chemin du lit.

Cette réalité, nous l’avons vécue. Entre 18 et 20 heures, le coucher du soleil sonnait la fin de toute activité. C’était ce soleil qui était le dénominateur commun de nos pays respectifs, et, si nous étions jeunes, sans expérience et sans argent, nous voulions exploiter cette ressource.

Tandis que Elhadji partit pour la France, Julien et moi nous envolèrent pour la Chine. Là-bas, nous sommes entrés dans l’industrie solaire, jusqu’à intégrer des postes à responsabilités dans des groupes naissants. Apprenant la science et la technique photovoltaïque, l’industrie et ses méthodes, et participant à une aventure entrepreneuriale de l’intérieur, nous avons appris pendant quatre ans et réussi à mettre suffisamment d’argent de côté pour lancer le projet de notre vie : Nadji.Bi !

Nadji.Bi

En 2011, nous fêtions les 51 ans de l’indépendance du Cameroun et du Sénégal et les villages que nous avions visités n’avaient pas évolué en termes d’accès à l'énergie. Beaucoup d’ONG ou d’organismes internationaux étaient passés avec leurs 4x4 rutilants pour mesurer, comptabiliser et promettre monts et merveilles. Mais, sur le terrain, rien n’avait fondamentalement changé.

Nous avons opté pour le nom Nadji.Bi, qui en Wolof signifie « la lumière du soleil ». Après une première enquête sur la situation financière des populations rurales, nous avons mené nos activités de recherche et de développement. Au bout d’un an, nous sommes parvenus à développer une carte électronique et un boîtier intelligent, permettant à un panneau solaire de charger une batterie au lithium pendant cinq heures et d’éclairer d’une à trois lampes LED avec 17 heures à 6 heures d’autonomie, tout en chargeant un téléphone portable. Notre Nadji.Bi Zébu v.1 était né.

L’électricité accessible à tous

Aujourd’hui, plus de 5 000 foyers se sont déjà équipés depuis 2013 et 7 000 devraient s’équiper d’ici la fin de l’année 2014. Ce qui représentera plus de 60 000 personnes d’ici la fin de cette année, et nous devrions atteindre les 500 000 personnes d’ici fin 2015.

La très grande majorité des populations d’Afrique vit encore dans la pénombre avec toutes les conséquences économiques, de santé et de sécurité afférentes. Pourtant, seulement sept milliards d'euros – c’est-à-dire un kit Nadji.Bi Zebu v.1 à 52 euros pour chacun des 134,5 millions de foyers à équiper en Afrique – suffiraient à leur apporter une solution plus durable et économique d'éclairage et de recharge téléphone.

Comparons ces chiffres aux budgets de la finance, de l’armement ou encore de l’aide au développement. Il n’y a plus d’excuses : en 2014, chacune et chacun a le droit à la lumière !

Paris, le 14 Juin 2014 – Micro trottoir lors du Salon des Solidarités par L’Avisé :

Comment éclairer les foyers d’Afrique ?

Réponse de Nadji.Bi En Afrique, 68% de la population vit dans le noir, selon la Banque Mondiale.

« Les gens s’éclairent à la bougie, aux lampes à kérosène aux effets désastreux sur la santé, ou ils ne s’éclairent pas du tout », indique Julien Potron, directeur général de Nadji Bi.

Sa société propose des lampes, de la poche au lampadaire, alliant trois technologies : Leds, batteries au lithium et le solaire.

L’idée du solaire, Julien l’a eu il y a dix ans avec Ismaël Mohamadou Djida, président de Nadji.Bi. «Nous sommes parties nous former en Asie et en 2012 nous avons ouvert notre bureau de recherche », raconte Julien.

Résultats ?

Un produit phare et l’implantation de la société aux Burkina, Cameroun et Sénégal.

Chez Nadji.Bi, la star c’est le Zebu : il permet de s’éclairer et de recharger son portable.

« Au kérosène, éclairer un foyer coûte 8 euros par mois, là c’est en une fois et l'économie réalisée est de près de 250 euros en trois ans », ajoute Julien.

En 2025 ce grand idéaliste espère avoir redonné la lumière à l’Afrique.

La phrase - Micro trottoir lors du Salon des Solidarités par L’Avisé : « Il était 4 heures du matin, le village était éclairé comme en plein jour. Je demande à un vieux de 84 ans si ça ne l’ennuie pas, et avec un grand sourire il me répond : « j’ai attendu cette lumière toute ma vie. » J’avoue avoir versé ma petite larme cette nuit-là ».

Julien Potron, directeur général de Nadji.Bi.


Montpellier, le 26 Mai 2014 – Le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, a annoncé le 23 Mai dernier sa participation au 5ème Salon des Solidarités, qui aura lieu les 12, 13 et 14 juin 2014 à la Porte de Versailles à Paris.

Nadji.Bi profitera de ce salon pour présenter son dernier né le « Nadji.Bi Zébu v.2 », un mini-kit solaire d’éclairage et de recharge téléphone équipé de batteries ultra-performantes LiFePO4.

Candidat au Trophées du Jardin des Innovations « Participez au développement durable des pays du Sud », avec le « Nadji.Bi Zébu v.2 », Nadji.Bi entend faire découvrir ses solutions innovantes d’électrification rurale, mais aussi se faire connaître des acteurs de la solidarité internationale et des plus de 22 000 visiteurs attendus pour cette 5ème édition du Salon.

Offrant des solutions d’électrification rurale révolutionnaires par leurs qualités, leurs coûts et leurs facilités de déploiement ; fort d’une expérience de plusieurs années au Cameroun et au Sénégal, et en pleine expansion de ses activités de Recherche & Développement, Nadji.Bi souhaite devenir un partenaire incontournable de la solidarité internationale.

Nadji.Bi propose des solutions de lampes solaires, de mini-kits solaires, de kits off-grid solaires, d’éclairages de rues, ainsi que des panneaux solaires assemblés en Afrique du Sud et des onduleurs solaires adaptés. L’ensemble des détails concernant ces informations sont disponibles sur le site Internet du Groupe :

Des solutions modernes et innovantes, représentant une opportunité réelle et concrète pour que les plus modestes puissent profiter à leur tour de l’impressionnant réservoir de croissance que représente l’énergie solaire.

From May 6th to May 7th the Dutch society Solar Plaza and the Pan African group Nadji.Bi organized a subregional conference about competitive solar solutions for West Africa. This conference was held in Dakar (Senegal) and was the occasion for the German government to announce that Germany would offer to Senegal a solar power station.

This decision falls within the context of the cooperation plan between Senegal and Germany. Indeed, since 2009 the German help for Senegalese development has been focused on the promotion of sustainable economy, renewable energies and energy efficiency.

The goal of the new German-Senegalese energy plan is that all sections of the Senegalese population can have access to solar energy at a reasonable cost. For the moment the rural electricity level in Senegal reaches 25%. With the future central and the new electricity plan, the Senegalese government hopes to up the rate by 60% in 2016.

As is done in Germany, Senegal wants to promote renewable energies in order to reach independence and security in term of energy production. According to the Senegalese Ministry for Energy, in 2017 the share of renewable energy would be 20%. In comparison, in 2013 in Germany the rate of renewable energies was 23%. The German government hopes that in 2025 the rate of renewable energies will reach 40-45% of the total energy production.

http://www.experience-africa.de/index.php?germany-offers-solar-power-to-senegal-to-promote-the-development-of-a-sustainable-economy

L’utilisation de l’énergie solaire va contribuer à aller de l’avant en étant autonome par l’aboutissement « d’une économie de dépendance et de dette à celle d’indépendance et de gain », a dit Julien Potron, expert en énergie solaire.

« Le solaire permet d’enlever la subvention d’électricité, mais permet aux opérateurs de gagner de l’argent. On passe d’une économie de dépendance et de dette à une économie d’indépendance et de gain », a expliqué M. Potron.

REWMI.COM/N.CIRE.BATHILY

http://www.rewmi.com/julien-potron-solaire-permet-denlever-subvention-delectricite.html

Par-Alima DIAGNE- Ce mardi 6 Mai 2014 est tenue une conférence internationale sur la « compétitivité de l’énergie solaire en Afrique de l’Ouest ». Selon les faits l’Afrique en général, l’espace CDEAO en particulier demeure à la traine des grandes régions qui ont tiré profit des services qu’offre l’énergie solaire.

Alors que son potentiel dans ce domaine est de loin l’un des plus importants du monde. Des résultats obtenus par la société SoalarPlaza qui est l’un des principaux fournisseurs de solutions photovoltaïques dans le monde. Cette structure s’efforce d’offrir des solutions abordables aux clients et aux investisseurs à l’échelle internationale.

D’après le secrétaire permanent à l’Energie El Hadj Mamadou Thiam, le principal souci des autorités du Sénégal est de voir comment faire pour accompagner ceux qui veulent investir dans le secteur de l’énergie solaire.

Mais encore de réunir les moyens nécessaires pour y arriver. Il demande de ce fait à ce que les réflexions soient approfondies dans ce domaine et également la formation d’agents. Parce que constate-t-il les gens ont toujours du mal à bien maitriser le secteur.

M. Thiam croit aussi qu’en Afrique de l’Ouest il faut soutenir le déclin du solaire pour atteindre la vraie émergence et pour avoir de bons projets, viables. Selon lui dans tous les pays développés du monde, c’est sur cette phase qu’ils ont démarré. Et pour ce faire il faut de bonnes technologies.

A en entendre le représentant du ministre de l’énergie Maimouna Ndoye Seck, le sous secteur des énergies renouvelables représente un enjeu considérable. Surtout que l’exploitation du potentiel national pourrait, outre l’amélioration du taux d’accès à l’électricité, apporter une contribution significative à l’atteinte de l’objectif d’amélioration de l’indépendance et de la sécurité énergétique.

Mme Seck explique que pour le plan de production validé pour la période 2014-2017, la part des énergies renouvelables sera de 20% dans la puissance installée prévue à l’horizon 2017. Et sur les 164 MW prévus à l’horizon 2017, les 114 MW seront de technologies solaires.

Elle indique que durant cette même période, un programme d’électrification par voie solaire photovoltaïque, d’infrastructures scolaires et sanitaires dans 1000 villages sera réalisé.

(Agence Ecofin) - Le groupe panafricain Nadji bi, développeur de produits solaires pour l'autoconsommation et l'éclairage, fait une percée inattendue dans les zones rurales en Afrique subsaharienne où les populations bénéficient de « façon rapide de l'électricité».

C’est ce que révèle mardi à Dakar, au Sénégal, le directeur du groupe Nadji.bi, El Hadj Demba Sène, lors de la conférence sur la compétitivité de l'énergie solaire en Afrique de l'Ouest.

Cette conférence est à sa première édition en Afrique et est attendue pour convaincre de la compétitivité de l’énergie solaire, aussi bien en milieu rural qu'en milieu urbain, sur le continent africain qui dispose d’un immense potentiel en énergies renouvelables.

En 2012, l’Afrique au sud du Sahara comptait à elle seule 600 millions de personnes sur près de 1,5 milliard de personnes vivant sans électricité dans le monde, soit 68% de sa population, 37% de la population urbaine et 86% de la population rurale.

Il s’agit d’un déficit que voudrait corriger le groupe Nadji bi qui a développé des produits dotés de puces électroniques améliorant l'autonomie de l'éclairage.


https://www.agenceecofin.com/solaire/0805-19852-nadji-bi-entreprend-de-corriger-le-deficit-electrique-en-milieu-rural

 

Dakar, le 20 Mai 2014 – Le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, a annoncé le 20 Mai dernier sa satisfaction quant au succès sans précédent de la conférence Solarplaza organisée à Dakar et intitulée « Solutions Solaires Compétitives en Afrique de l’Ouest ».

La conférence co-organisée par Nadji.Bi, l’entreprise néerlandaise Solarplaza et la Banque Mondiale, a permis de mettre en lumière la compétitivité de l’énergie solaire en Afrique de l’Ouest, et a décrit avec force et le potentiel impressionnant de croissance que représente cette solution technologique.

Regroupant plus de 200 conférenciers, venant de plus de 40 pays, la conférence « Solutions Solaires Compétitives en Afrique de l’Ouest » s’est déroulée en trois actes, présentant la compétitivité de l’énergie solaire dans le domaine de la production d’électricité de masse, dans le domaine des solutions hybrides pour l’autoconsommation et dans le domaine de l’électrification rurale.

Plus de 30 journalistes ont pu assister à la conférence et ont fait preuve d’un intérêt très fort vis-à-vis des solutions proposées. Ainsi suite à cette conférence, Nadji.Bi a recensé plus de 50 publications sur Internet, 7 publications sur la presse écrite, 4 couvertures télévisuelles et 6 couvertures radios ; dont vous trouverez les articles les plus emblématiques ci-dessous.

Découvrez tous les liens des articles en ligne ici :

1 2014.04.15 Valeur Energie http://www.valeurenergie.com/remplacer-le-gazole-par-une-energie-solaire-propre-ajustable-et-abordable/
2 2014.04.19 Xamle.net http://www.xamle.net/index.php/component/k2/item/5529-premiere-conference-internationale-sur-la-competitivite-de-l-energie-solaire
3 2014.04.20 Dakaractu http://www.dakaractu.com/Le-Senegal-accueille-la-premiere-conference-internationale-dediee-aux-Solutions-Solaires
4 2014.04.21 Agence de Presse Sénégalaise http://www.aps.sn/articles.php?id_article=127507
5 2014.04.22 Le Quotidien http://www.lequotidien.sn/index.php/societe/item/30422-energie-conf%C3%A9rence-internationale-sur-la-comp%C3%A9titivit%C3%A9-de-l%E2%80%99%C3%A9nergie-solaire
6 2014.04.22 AfriquePresse http://afriquepresse.net/une-conference-internationale-sur-le-solaire-du-6-au-7-mai-a-dakar
7 2014.04.22 Ouestaf.com http://www.ouestaf.com/L-Afrique-de-l-ouest-en-bref-a-19H-00-GMT-22-04-2014-Mali-Benin-Senegal-Niger-Cote-d-Ivoire-Mauritanie-Afrique_a4919.html
8 2014.04.22 Leuk Sénégal http://www.leuksenegal.com/component/k2/item/40155-une-conf%C3%A9rence-internationale-sur-le-solaire-du-6-au-7-mai-%C3%A0-dakar
9 2014.04.22 Cedda http://www.cedda.org/?p=429
10 2014.04.22 Infosen http://infosen.net/une-conference-internationale-sur-le-solaire-du-6-au-7-mai-a
11 2014.04.22 L’Indépendant http://www.lindependant.sn/index.php/internationale/itemlist/tag/solarplaza.html
12 2014.04.23 LeSoleil Online http://www.lesoleil.sn/index.php?option=com_content&view=article&id=38726:energie-solaire-dakar-abritera-une-conference-en-mai&catid=140:actualites
13 2014.04.28 Mediaterre http://www.mediaterre.org/afrique-ouest/actu,20140428120425.html
14 2014.05.05 Agence de Presse Sénégalaise http://www.aps.sn/articles.php?id_article=128068
15 2014.05.05 Xibar http://carrapide.com/xibar/55544/une-conference-sur-le-solaire-souvre-mardi-dakar
16 2014.05.06 Agence de Presse Sénégalaise http://www.aps.sn/articles.php?id_article=128122
17 2014.05.06 Agence de Presse Sénégalaise http://www.aps.sn/articles.php?id_article=128121
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25 2014.05.06 Echos-Senegal.com http://echos-senegal.com/index.php?option=com_content&view=article&id=3516:senegal-les-energies-renouvelables-une-solution-pour-ameliorer-la-securite-energetique-ministre&catid=2:lactu
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29 2014.05.07 Agence de Presse Sénégalaise http://www.aps.sn/articles.php?id_article=128158
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32 2014.05.07 AfricanManager http://www.africanmanager.com/165723.html
33 2014.05.07 Dakar-echo.com http://dakar-echo.com/component/k2/item/6639-l%E2%80%99allemagne-offre-une-centrale-solaire-clef-en-main-au-s%C3%A9n%C3%A9gal.html
34 2014.05.07 RTS.sn http://www.rts.sn/articles-de-presse/energie/les-energies-renouvelables-une-solution-pour-ameliorer-la-securite-energetique-ministre.html
35 2014.05.07 Adakar.com http://news.adakar.com/h/11628.html
36 2014.05.07 SudOnline.sn http://www.sudonline.sn/l-allemagne-offre-une-centrale-clef-en-main_a_18757.html
37 2014.05.07 article.wn.com http://article.wn.com/view/2014/05/07/Promotion_des_energies_renouvelables_Le_solaire_la_solution_/
38 2014.05.07 Rewmi.com http://www.rewmi.com/julien-potron-solaire-permet-denlever-subvention-delectricite.html
39 2014.05.07 Xibar http://carrapide.com/xibar/55824/le-solaire-permet-de-passer-dune-economie-de-dependance-celle-dindependance-consultant
40 2014.05.07 Seneplus http://seneplus.com/article/l%E2%80%99allemagne-offre-une-centrale-clef-en-main
41 2014.05.07 Seneco Plus http://www.senecoplus.com/1-5-milliard-de-personnes-vivaient-sans-electricite-en-2012/
42 2014.05.07 Mediaterre http://www.mediaterre.org/actu,20140509184522,5.html
43 2014.05.07 Sununews http://www.sununews.com/index.php/2011-08-04-18-06-26/item/234-competitivite-de-l%E2%80%99energie-solaire-en-afrique-de-l%E2%80%99ouest-vers-des-solutions-structurelles-aux-probl%C3%A8mes-d%E2%80%99acc%C3%A8s-%C3%A0-des-services-%C3%A9nerg%C3%A9tiques-modernes
44 2014.05.07 Senegal8 http://senegal8.com/energie-solaire-au-senegal-lallemagne-offre-une-centrale-clef-en-main/
45 2014.05.07 Ajonews http://ajonews.info/le-solaire-permet-de-passer-dune-economie-de-dependance-a-celle-dindependance-consultant/
46 2014.05.07 Senetoile http://www.senetoile.net/actu-economie/984060-2014-05-07-16-14-51.html
47 2014.05.08 RTS.sn http://www.rts.sn/articles-de-presse/energie/le-solaire-permet-de-passer-dune-economie-de-dependance-a-celle-dindependance-consultant.html
48 2014.05.08 AgenceEcofin.com http://www.agenceecofin.com/solaire/0805-19852-nadji-bi-entreprend-de-corriger-le-deficit-electrique-en-milieu-rural
49 2014.05.08 Seneco Plus http://www.senecoplus.com/le-solaire-permet-de-passer-dune-economie-de-dependance-a-celle-dindependance/
50 2014.05.08 Actu24 http://www.actu24.net/actualites/article/competitivite-de-l-energie-solaire
51 2014.05.17 Mediaterre http://www.mediaterre.org/afrique-ouest/actu,20140517115431.html

 

5. Découvrez les références de diffusions à la télévision ci-dessous :

1 2014.05.06 RTS Télévision Nationale
2 2014.05.06 CCTV French Télévision Internationale
3 2014.05.06 RTM Télévision Nationale
4 2014.05.07 TFM Télévision Nationale

 

6. Découvrez les références de diffusions à la télévision ci-dessous :

1 2014.05.06 RFM Radio Nationale
2 2014.05.06 Sud FM Radio Nationale
3 2014.05.06 RSI Radio Nationale
4 2014.05.07 Trade FM Radio Nationale
5 2014.05.07 LCS Radio Nationale
6 2014.05.11 Trade FM Radio Nationale

Une conférence sous-régionale de deux jours sur la compétitivité de l’énergie solaire en Afrique de l’Ouest, organisée par la société "Solar Plaza" s’est ouverte hier, mardi à Dakar. Au cours de la cérémonie, il a été annoncé une centrale solaire clef en main qui sera offerte au Sénégal par l’Allemagne.

Pour l’accès à l’énergie à toutes les couches de la population nationale et à un coût raisonnable, l’Allemagne, dans le cadre de la coopération bilatérale avec le Sénégal, vient de s’engager à lui offrir une centrale clef en main d’une capacité maximale de 10 mégawatt, à injecter dans le réseau de la Senelec.

"Le site est déjà identifié au nouveau de Diass et cette offre vient s’ajouter à celle des Emirats Unis d’une centrale de 15 méga watt, lors de la visite du Président Sall en terre Saoudienne". C’est la révélation faite par Ibrahima Niane, directeur de l’Energie, à l’occasion d’une conférence sous-régionale de deux jours qui s’est ouverte hier, mardi à Dakar, sur la compétitivité de l’énergie solaire en Afrique de l’Ouest, organisée par la société "Solar Plaza" et ses partenaires.

Selon M. Niane, "un programme d’électrification rurale vient d’être élaboré pour permettre d’atteindre à l’horizon 2016 un taux d’électrification rurale de 60%. Actuellement nous sommes à 25%. Si l’on mettait en œuvre tous les projets et programmes dont les financements sont mobilisés, on serait à 46% en 2016. Ce qui veut dire que le gap serait de 14%, et ce gap est estimé à 100 milliards dont 40 milliards déjà mobilisés, le reste sera trouvé à travers le partenariat et la coopération bilatérale et multilatérale afin d’atteindre cet objectif fixé par le Président de la République".

Toujours selon M. Niane, "Ce programme englobe l’électrification rurale qui va connecter les villages proches du réseau Senelec et le reste des villages éloignés à travers les centrales solaires en cours d’exécution", a t-il poursuivi.

114 MW en solaire

Au sujet de l’électrification rurale, le gouvernement encourage le secteur privé à y investir à travers le Partenariat public-privé (PPP). Et c’est dans ce sens que s’inscrit cette initiative de la société "Solar Plaza".

"Les énergies renouvelables pourraient apporter une contribution significative à l’atteinte de l’objectif d’indépendance et de sécurité énergétiques en Afrique subsaharienne, car représentant un enjeu considérable dans le secteur de l’électricité", a déclaré El Hadj Mamadou Moussa Thiam, Secrétaire permanent à l’Energie, représentant Mme Maïmouna Ndoye Seck, ministre en charge de l’Energie, à la rencontre.

"Cela explique que la part des énergies renouvelables sera de 20% dans la puissance installée prévue à l’horizon 2017. Sur les 164 MW prévus en 2017, les 114 seront de technologie solaire", a indiqué M. Thiam.

Pour lui, "l’atteinte de cet objectif de 20% d’énergie renouvelable pourra ainsi amoindrir le coût d’approvisionnement en électricité et contribuer à la réduction des émissions de CO2". "Cela veut dire que ces types d’énergie, notamment le solaire, s’affirment comme une solution pertinente pour notre pays", a-t-il expliqué.

S’exprimant en marge de cette conférence, El Hadj Demba Sène, directeur du Groupe Nadji bi, précise que "Le monde comptait, en 2012, près de 1,5 milliard de personnes vivant sans électricité, dont 600 millions en Afrique subsaharienne, soit 68% de la population de ce continent, précisant que parmi ces 600 millions d’Africains qui étaient sans électricité, 37% vivaient dans les zones urbaines, contre 86% en milieu rural.

Cette conférence, qui se tient pour la première fois en Afrique, vise à apporter de l’expérience et de l’expertise, tout en aidant à convaincre de la compétitivité du solaire, aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain".

Selon lui, "la meilleure manière d’avoir des produits optimisés et adaptés pour le monde rural, est d’aller vers les populations rurales qui ont, elles-mêmes, proposé le nom de "Nadji bi", le groupe éponyme qui fabrique ces produits" "Le Groupe panafricain Nadji bi, un développeur de produits solaires pour l’autoconsommation et l’éclairage, s’investit au niveau des zones rurales en Afrique subsaharienne pour faire bénéficier les populations de façon rapide de l’électricité", a-t-il précisé.

Jean Pierre MALOU

https://www.seneplus.com/article/l%E2%80%99allemagne-offre-une-centrale-clef-en-main

Dakar, le 7 Mai 2014 –  Les autorités sont décidées à donner une part non négligeables aux énergies renouvelables dans la production d'électricité. Selon El Hadji Mamadou Thiam, Secrétaire permanent à l'énergie, la part des énergies renouvelables sera de 20% dans le plan de production validé pour la période 2014-2017.

Le Sénégal est décidé à amoindrir sa forte dépendance aux énergies fossiles pour intégrer petit à petit les énergies renouvelables dans sa consommation énergétique. Selon le Secrétaire permanent à l'énergie, qui présidait hier, une conférence sur la "Compétitivité de l'énergie solaire en Afrique de l'Ouest", dans le plan de production validé pour la période 2014-2017, la part des énergies renouvelables sera de 20% dans la puissance installée prévue à l'horizon 2017. Et sur les 164MW prévus à l'horizon 2017, les 114MW seront de technologie solaire. En effet selon El Hadj Mamadou Thiam, le sous-secteur des énergies renouvelables représente un enjeu considérable puisque l'exploitation du potentiel national pourrait, outre l'amélioration du taux d'accès à l'électricité, apporter une contribution significative à l'atteinte de l'objectif d'amélioration de l'indépendance et de la sécurité énergétique. Mieux, poursuit M. Thiam : "l'atteinte de cet objectif de 20% d'énergies renouvelabls pourra ainsi amoindrir le coût d'approvisionnement en électricité et contribuer à la réduction des émissions de CO2". En outre, durant cette même période, un programme d'électrification par voie solaire photovoltaïque, d'infrastructures scolaires et sanitaires dans mille villages isolés sera réalisé. L'éclairage public par voie solaire sera également généralisé dans les régions à travers le programme en cours avec l'UEMOA. 

Par ailleurs, si on croit le Secrétaire permanent à l'énergie, le cadre légal et réglementaire relatif aux énergies renouvelables est quasiment finalisé avec la promulgation de la loi portant sur les énergies renouvelables et l'adoption de deux décrets d'application. Toujours, selon El Hadj Mamadou Thiam, une étude pour la mise en oeuvre de cette loi, avec entre autres objectifs, la détermination du tarif de rachat, vient d'être finalisée tandis que celle relative à l'intégration des énergies renouvelables dans le réseau interconnecté est déjà enclenchée. Au niveau institutionnel, une agence chargée de la promotion des énergies renouvelables a été créée depuis deux ans, dont la mission principale est de promouvoir l'utilisation des énergies renouvelables dans tous les secteurs d'activités.

Tout en soulignant que cette stratégie participe à renforcer la volonté du Sénégal de mettre en action une importante transition vers l'utilisation encore plus soutenue de l'énergie solaire dans l'électricité rurale et l'éclairage public. Il indique que l'Afrique en général, l'espace CEDEAO en particulier, demeure à la traîne des grandes régions qui ont tiré profit des services qu'offre l'énergie solaire alors que son potentiel dans ce domaine est de loin l'un des plus important du monde.

Charles Malick SARR

Dakar, le 8 Mai 2014 – "Les types d'énergies, notamment le solaire, s'affirment comme une solution pertinente pour le Sénégal", a déclaré El Hadji Mouhamadou Thiam, le secrétaire permanent à l'Energie. Il s'exprimait, hier, au nom du ministre de l'Energie, à l'ouverture de la conférence internationale sur la compétitivité de l'énergie solaire en Afrique de l'Ouest qui se tient les 6 et 7 mai à Dakar.

La conférence est organisé par le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l'un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d'autoconsommation basé en Afrique, et la société néerlandaise Solar Plaza, leader en networking, de l'industrie solaire mondiale. Un programme d'électrification, par voue solaire photovoltaïque, d'infrastructures scolaires et sanitaires dans 1 000 villages isolés et localités périurbaines sera réalisé entre 2014 et 2017 par l'Etat du Sénégal, a-t-il rappelé. Selon M. Thiam, la part des énergies renouvelables sera de 20% dans la puissance installée prévue à l'horizon 2017, les 114 mégawatts seront de technologie solaire dans le plan de production validé pour la période 2014-2017", a souligné le représentant du ministre. Le secrétaire permanent estime que l'atteinte de l'objectif de 20% d'énergie renouvelable pourra amoindrir le coût d'approvisionnement en électricité et contribuer à la réduction des émissions de gaz carbonique. 

Une centaine d'experts, de gouvernants, d'acteurs de l'énergie solaire ainsi que des représentants des bailleurs de fonds prennent part aux travaux. Les experts ainsi que les acteurs de la promotion de l'énergie solaire au Sénégal ont exhorté le gouvernement à renforcer la législation pour faciliter l'accès des citoyens à ce type d'énergie. Leurs préoccupations ne laissent visiblement pas l'Etat indifférent. M. Thiam a laissé entendre que le cadre légal et réglementaire relatif aux énergies renouvelables est quasiment finalisé avec la promulgation de la loi portant sur les énergies renouvelables et l'adoption de deux décrets d'application. "Une étude pour la mise en oeuvre de cette loi avec notamment la détermination du tarif de rachat vient d'être finalisée tandis que celle relative à l'intégration des énergies renouvelables dans le réseau interconnecté est déjà déclenchée", a-t-il ajouté.

Bakary Diop, directeur des études de la Senelec, a souligné que la voloné politique en faveur du développement de l'énergie solaire est réelle. "La Senelec a signé neuf contrats d'achat d'énergies renouvelables. On est sur la bonne voie. Les dispositifs réglementaires sont là pour que, dans les années à venir, les appels d'offres soient lancés pour que l'énergie solaire puisse être connecté au réseau", a dit M. Diop. Il ajoute que les société d'électricité espère avoir les premiers kilowatts d'énergie solaire vers le premier trimestre de l'année 2015.

Babacar DIONE


Dakar, le 7 Mai 2014 – La majorité des Sénégalais n'ont toujours pas accès à l'électricité. Et pour réduire le gap énorme, le gouvernement du Sénégal s'est fixé comme objectif d'atteindre un taux de pénétration de 20% d'énergies renouvelables à l'horizon 2017.

"Le sous-secteur des énergies renouvelables représente un enjeu considérable puisque l'exploitation du potentiel national pourrait, outre l'amélioration du taux d'accès à l'électricité, apporter une contribution significative à l'atteinte de l'objectif d'amélioration de l'indépendance et de la sécurité énergétique", a déclaré El Hadji Moussa Thiam, le secrétaire permanent à l'énergie au ministère de l'Energie. C'était, hier, lors de la conférence internationale sur la compétitivité de l'énergie solaire en Afrique de l'Ouest. En effet, il indique que dans le plan de production validé pour la période 2014-2017, "la part des énergies renouvelables sera de 20% dans la puissance installée prévue à l'horizon 2017". "Et sur les 164 MW prévus à l'horizon 2017, les 114MW serton de technologie solaire", inditque-t-il.

Et l'atteinte de cet objectif de 20% d'énergie renouvelable pourra ainsi, amoindrir le coût de l'approvisionnement en électricité et contribuer à la réduction des émissions de CO2. En outre, dit-il, "un programme d'électrification par voie solaire photovoltaïque, d'infrastructures solaires et sanitaires dans 1000 villages isolés et localités péri-urbaines sera réalisé dans cette période".

Pour sa part, Ibrahima Niane, le directeur de l'énergie au ministère de l'Energie de faire savoir que le Sénégal s'est fixé comme objectif d'atteindre 60%, en 2016 en ce qui concerne le taux d'électrificaton. Et pour cela, "le Sénégal a levé 16 milliards de Francs CFA, financés par le privé pour atteindre l'objectif de 60% en 2016".

Toutefois, il faut signaler que, contrairement au gouvernement du Sénégal qui annonce un taux de pénétration de 20% en 2017, les experts français de Nodalis, qui faisaient une présentation sur l'état des lieux et perspectives au Sénégal, de soutenir que s'agissant du taux de pénétration de 20%, l'évolution du potentiel est attendu en 2020. "S'agissant de l'évaluation du potentiel en 2020, le taux de pénétration est attendu à 20% avec 165MW", renseignent Martin Buchenshultz et Luc Chancelier, consultants à Nodalis. Ces experts, indiquent : "il n'y a pas de centrale rattachée au réseau du Sénégal, mais qu'il y a 9 projets de centrales solaires qui sont en cours". Par ailleurs, pour accélérer le développement du solaire au Sénégal, ils se fixent 5 défis à relever. "L'amélioration de la situation financière de la Senelec pour réduire le risque commercial. Encourager l'investissement privé. Evolution du principe de neutralité technique en matière d'électrification rurale. consolider l'entreprenariat local offrant des produits et des services de haute qualité. Intégrations ENR dans le plan directeur sectoriel et appel à concurrence".

M. NDIAYE


Dakar, 6 mai (APS) - Le monde comptait, en 2012, près de 1,5 milliard de personnes vivant sans électricité, dont 600 millions en Afrique subsaharienne, soit 68% de la population de ce continent, a indiqué mardi à Dakar El Hadj Demba Sène, directeur du Groupe Nadji.bi, une entreprise conceptrice de produits solaires optimisés destinés au monde rural.

S'exprimant au cours de la conférence sur la compétitivité de l’énergie solaire en Afrique de l’Ouest, il a précisé que parmi ces 600 millions d'Africains qui étaient sans électricité, 37% vivaient dans les zones urbaines, contre 86% en milieu rural.

Cette conférence, qui se tient pour la première fois en Afrique, vise à apporter de l’expérience et de l’expertise, tout en aidant à convaincre de la compétitivité du solaire, aussi bien en milieu rural qu'en milieu urbain, selon le directeur de Nadji bi.

Pour lui, la meilleure manière d’avoir des produits optimisés et adaptés pour le monde rural, est d’aller vers les populations rurales qui ont elles-mêmes proposé le nom de ‘’Nadji bi’’, le groupe éponyme qui fabrique ces produits.

‘’Le Groupe panafricain Nadji bi, un développeur de produits solaires pour l’autoconsommation et l’éclairage, s’investit au niveau des zones rurales en Afrique subsaharienne pour faire bénéficier les populations de façon rapide de l’électricité’’, a-t-il souligné.

‘’Ces produits sont dotés de puces électroniques Nadji bi qui améliorent l’autonomie de l’éclairage, l’efficacité scolaire et la durée de vie de la batterie’’, a expliqué M. Sène. ‘’Nous voulons que les populations s’identifient à ce groupe pour mieux déceler les besoins, les problématiques de ces communautés pour pouvoir optimiser nos produits par rapport à cela’’, a expliqué M. Sène.

Ces produits, a-t-il indiqué, sont optimisés et développés pour le monde rural après avoir recueilli les besoins des populations et amené les solutions. Le groupe présente également des lampes de rue solaires, des onduleurs à ondes pures et modifiées, entre autres.

SBS/ASG

Dakar, 6 mai (APS) - Les énergies renouvelables pourraient apporter une contribution significative à l’atteinte de l’objectif d’indépendance et de sécurité énergétiques en Afrique subsaharienne, car représentant un enjeu considérable dans le secteur de l’électricité, a déclaré mardi Maïmouna Ndoye Seck, ministre en charge de l’Energie.

‘’Cela explique que la part des énergies renouvelables sera de 20% dans la puissance installée prévue à l’horizon 2017. Sur les 164 MW prévus en 2017, les 114 seront de technologie solaire’’, a indiqué Mme Seck, dans un discours lu par le secrétaire permanent à l'énergie, El Hadji Mamadou Moussa Thiam.

Une conférence sous-régionale de deux jours sur la compétitivité de l’énergie solaire en Afrique de l’Ouest’’, organisée par la société ‘’Solar Plaza’’ et ses partenaires s'est ouverte mardi à Dakar.

Pour Mme Seck, ‘’l’atteinte de cet objectif de 20% d’énergie renouvelable pourra ainsi amoindrir le coût d’approvisionnement en électricité et contribuer à la réduction des émissions de CO2''. ‘’Cela veut dire que ces types d’énergie, notamment le solaire, s’affirment comme une solution pertinente pour notre pays’’, a-t-elle expliqué. ‘’Cette société participe à nos efforts visant à apporter des solutions structurelles aux problèmes d’accès à des services énergétiques modernes pour nos populations’’, a souligné Maïmouna Ndoye Seck.

D’après elle, les échanges sur les enjeux de l’utilisation de l’énergie solaire en Afrique et, particulièrement en Afrique de l’Ouest, traduisent la sensibilité de la communauté internationale aux problèmes majeurs de l’heure auxquels la région doit faire face. En plus, un programme d’électrification par voie solaire photovoltaïque d’infrastructures scolaires et sanitaires, dans 1000 villages isolés et localités périurbaines sera réalisé durant la période 2014-2017, a-t-elle ajouté.

‘’L’éclairage public par voie solaire sera également généralisé dans les régions du Sénégal, à travers le programme en cours avec l’UEMOA’’, a dit Maïmouna Ndoye Seck, estimant que cette rencontre d’experts de spécialités diverses, contribue à mettre à jour les expériences des uns et des autres.

Par ailleurs, elle a indiqué que le cadre réglementaire relatif aux énergies renouvelables est quasiment finalisé avec la promulgation de la loi portant sur ce secteur et l’adoption de deux décrets d’application.

‘’Au niveau institutionnel, une agence chargée de la promotion des énergies renouvelables a été créée depuis deux ans, dont la mission principale est de promouvoir l’utilisation des énergies renouvelables dans tous les secteurs d’activités’’, a indiqué la ministre. Toute cette stratégie, selon elle, participe à renforcer la volonté du gouvernement du Sénégal de mettre en action une importante transition vers l’utilisation encore plus soutenue de l’énergie solaire dans l’électrification rurale et l’éclairage public.

‘’Je reste persuadée qu’au sortir de cette conférence, un pas décisif sera franchi par rapport aux outils, mécanismes, moyens techniques et financiers pour l’atteinte de nos objectifs axés sur une indépendance énergétique encore plus accentuée au niveau de notre sous-région’’, a conclu Maïmouna Ndoye Seck.

SBS/ASG

Dakar, 7 mai (APS) - Une exploitation de l’énergie solaire permettra de passer ''d’une économie de dépendance et de dette à celle d’indépendance et de gain‘’, a relevé Julien Potron, consultant en énergie solaire.

‘’Le solaire permet d’enlever la subvention d’électricité, mais permet aux opérateurs de gagner de l’argent. On passe d’une économie de dépendance et de dette à une économie d’indépendance et de gain ‘’, a-t-il dit, dans un entretien avec l’APS.

Selon M. Potron du cabinet Efficient Solar Photovoltaïc Energy consulting (ESPEC), le solaire est ''la seule source d’énergie dont on connait le prix 25 ans à l’avance''.

‘’C’est exceptionnel. Le solaire, c’est le produit d’investissement phare de tous les investisseurs. Le solaire est compétitif aujourd’hui et le sera de manière croissante.

L’idée aujourd’hui, c’est de prendre le wagon au bon moment pour créer des groupes industriels panafricains qui vont créer des emplois et de la recherche et exporter l’électricité’’, a expliqué le consultant.

Il a indiqué que la technologie solaire est ''ultra compétitive'', comparée aux solutions fossiles de génération d’électricité. ''On attend la réaction assez rapide des gouvernements locaux, parce qu’aujourd’hui les bailleurs sont là, les investisseurs privés sont là, les techniciens sont là, les technologies sont là'', a signalé Julien Potron.

''Il suffit que chacun puisse jouer sa partition pour qu’en fin les économies puissent profiter du levier du développement économique et de croissance que représente le solaire et qui est absolument phénoménal’’, a-t-il souligné.

Une conférence sous-régionale de deux jours sur la compétitivité de l’énergie solaire en Afrique de l’Ouest’’, organisée par la société Solar Plaza et ses partenaires s'est ouverte mardi à Dakar.

BHC/AD

Dakar, 5 mai (APS) - Une conférence internationale sur le thème ‘’Competitive Solar Solutions West Africa’’, s’ouvre, mardi à 10 heures à l’hôtel Pullman Teranga de Dakar, en présence du ministre de l’Energie, Maïmouna Ndoye Seck, annonce un communiqué reçu à l'APS. La rencontre de deux jours se focalisera sur le développement du solaire compétitif et de ses solutions de financement pour l’Afrique de l'Ouest, selon la même source.
AD

Conférence internationale sur la compétitivité de l'énergie solaire à Dakar.

La rencontre majeure de Dakar, qui épouse la formule d'une conférence internationale, représente "une opportunité réelle et concrète pour que les économies d'Afrique de l'Ouest puissent profiter à leur tour de l'impressionnant réservoir de croissance que représente l'énergie solaire". Aux manettes de cette initiative se trouvent SolarPlaza et Nadji.Bi Sénégal. Solarplaza.com est une société néerlandaise leader en networking de l'industrie solaire mondiale et dépositaire d'une plateforme indépendante d'informations sinternationales sur la technologie, le commerce et les événementiels de l'industrie solaire photovoltaïque. A côté, le groupe panafricain Nadji.Bi Group est l'un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d'autoconsommation basé en Afrique.

Cette conférence, 59ème du genre, place au centre de son agenda la question du développement de solaire compétitif et de ses solutions de financement pour la sous-région d'Afrique de l'Ouest. A ce titre, les participants auront l'opportunité d'enrichir leurs réseaux et leur connaissances grâce à une mise en relation de premier rang, et grâce à l'intervention et au partage d'expériences d'experts mondialement reconnus de l'industrie solaire locale et internationale.

Dans la pratique, la conférence se focalisera sur le développement du marché et de ses solutions de financement tout en présentant des expériences locales et internationales concrètes offrant une vision et une projection réaliste et réalisable.

La fiche synoptique renseigne sur le choix de l'Afrique de l'Ouest. Pour les organisateurs, "c'est exactement le bon moment pour découvrir et discuter du potentiel considérable des différentes applications de la technologie solaire en Afrique de l'Ouest. L'énergie solaire s'affirme comme une solution extrêmement pertinente pour de nombreux pays d'Afrique de l'Ouest afin d'accroître rapidement leurs capacités de production d'électricité". Le développement rapide de cette région de l'Afrique nécessite l'utilisation des ressources solaires en abondance. 

Aujourd'hui, le Sénégal est l'un des supporters les plus actifs de l'énergie solaire en Afrique de l'Ouest grâce à ses incitations fiscales, à ses faibles taux de douane à l'importation et à ses projets phare. Sa prochaine ambition, en phase avec les projets présidentiels, est d'être un leader naturel de l'énergie solaire en Afrique de l'Ouest.

Réunis durant cette conférence, les professionnels, les financiers et les experts internationaux présenteront les solutions rentables, concrètes et finançables en Afrique de l'Ouest. La conférece permettra à tous les acteurs qu'il s'agisse du secteur public, du secteur privé ou encore des populations concernées par la problématique énergétique, de faire avancer leurs affaires, Elhadji Demba Sène, directeur de Nadji.Bi Sénégal, assure: "Les secteurs privés des mines, des bureaux commerciaux, et des petites usines ainsi que les communautés villageoises ont d'ores et déjà à disposition des solutions solaires compétitives défiant toute coucurrence. La présence de financiers et de professionnels de l'industrie solaire devrait permettre à ces acteurs de trouver des solutions rapides, synonymes de leviers importants de croissance et de profits". 

Arona BASSE


Dakar, le 6 Avril 2014 – Le groupe Pan-Africain Nadji.Bi Group, l’un des principaux fabricants de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation basé en Afrique, et la société néerlandaise SolarPlaza, leader en networking de l’Industrie Solaire mondiale, ont annoncé le 4 Avril dernier que le Sénégal a été choisi pour l’organisation de la première conférence Internationale en Afrique de l’Ouest dédiée aux « Solutions Solaires Compétitives », et que la conférence se tiendra les 6 et 7 Mai 2014 à l’hôtel Pullman de Dakar.

Annoncé le 4 Avril, jour de l’Indépendance au Sénégal, la conférence « Solutions Solaires Compétitives » se veut être une conférence pratique et axée sur le déploiement rapide des technologies solaires, afin de permettre l’émergence d’une indépendance énergétique rapide des pays d’Afrique de l’Ouest.

D’abord envisagé au Ghana, la conférence dédiée au déploiement du Solaire Compétitif en Afrique de l’Ouest, s’est orientée vers le Sénégal, pour faire écho au Plan Sénégal Emergent, « qui représente un modèle pour les économies francophones d’Afrique de l’Ouest, et qui pourra exprimer pleinement ses ambitions grâce à l’utilisation massive de l’énergie solaire » selon les organisateurs de la conférence.

Réunis durant cette conférence, professionnels, financiers et experts internationaux, présenteront les solutions rentables, concrètes, déployables et finançables en Afrique de l’Ouest. Qu’il s’agisse du secteur publique, du secteur privé ou encore des populations concernées par la problématique énergétique ; la conférence permettra à tous les acteurs de faire avancer leurs affaires au bénéfice du plus grand nombre.

« Les secteurs privés des mines, des bureaux commerciaux, et des petites usines ; ainsi que les communautés villageoises ont d’ores et déjà à disposition des solutions solaires compétitives défiant toute concurrence. La présence de financiers et de professionnels de l’industrie solaire devrait permettre à ces acteurs de trouver des solutions rapides, synonymes de leviers importants de croissance et de profits », annonce déjà Elhadji Demba Sène, directeur de Nadji.bi Sénégal.

Si 20 représentants des pays de la sous-région, la Banque Mondiale, la FMO, la KfW, la Proparco, l’Alliance pour l’Electrification Rurale, le Club ER, la CEREEC, l’IED, le World Energy Council, R20, Ernst & Young, SMA, SenRe Africa, RenEnergy, Powerhive, Juwi, Cronimet, Nodalis, SERC, Greenwish et l’AFD, ont déjà confirmés leurs présences ; quelques places réservées aux entreprises privées sont encore disponibles, sur le site :

www.solutionssolairesafrique.com

Une conférence internationale, représentant une opportunité réelle et concrète pour que les économies d’Afrique de l’Ouest puissent profiter à leur tour de l’impressionnant réservoir de croissance que représente l’énergie solaire.

Pour plus d’informations, veuillez contacter le service de presse :

Nadji.Bi Sénégal SARL : senegal[at]nadjibi.com

A propos de Nadji.Bi : www.nadjibi.com 

Nadji.Bi Group est un fabricant de solutions solaires mobiles et d’autoconsommation à croissance rapide et avec des opérations à faibles coûts. Basée en Afrique, la société possède des bureaux au Sénégal, au Cameroun, au Burkina Faso, en Asie et en France.

Nadji.Bi Group a su développer des produits innovants et répondant à la demande des marchés de l’Afrique Sub-saharienne. Nadji.Bi Group distribue ses produits à travers un vaste réseau de distribution dans le monde rural comprenant entre autres le Sénégal, le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Mali, le Togo, la Côte d’Ivoire, Madagascar et d’autres régions et pays.

A propos de SolarPlaza : www.solarplaza.com

Solarplaza.com est une plate-forme indépendante d'informations internationales sur la technologie, le commerce et les événementiels de l'industrie solaire photovoltaïque. Sa mission: “Fournir à chaque professionnel de l'industrie précieuses informations et contacts afin de faire prospérer le Solaire et leurs business”, grâce à :

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Entreprise privée, basée à Rotterdam, Pays-Bas, créé en 2004, elle dispose de plus d'une décennie d'expérience et de présence au cœur de l'industrie solaire mondiale, avec un réseau mondial de plus de 50.000 professionnels du Solaire, et + de 50 événements solaires organisés sur 5 continents dans plus de 20 Pays.

SolarPlaza est reconnu comme organisant des événements pionniers, dédiés à la mise en avant des marchés solaires émergents les plus prometteurs. (Chine en 2006, USA en 2007, Inde en 2009, Afrique du Sud en 2012, Brésil en 2012, Chili en 2012, Mexique en 2013, Arabie Saudite en 2013).